Théoricien du coup d’état rampant, Mahmoud Saleh, actuel Directeur de cabinet de Macky SALL est un spécialiste des coups tordus, complots et sales combines en tous genres. Ce trotskyste au passé politique douteux, formé aux pires méthodes soviétiques, fait partie des jouisseurs de la République, totalement enivrés par les délices du pouvoir au point d’être atteint par le syndrome d’HUBRIS (une maladie du pouvoir qui se manifeste par la perte totale du sens des réalités).
Il faut anéantir les espoirs du fou du roi (SALEH) et de tous les partisans du régime qui ne doivent se faire aucune illusion : les élections locales de 2022 n’auront aucune incidence sur la situation juridique de Macky Sall en 2024 (qui sera dans la situation d’un président qui aura épuisé ses 2 mandats consécutifs). Du point de vue juridique, il n’y a aucune corrélation possible entre l’issue du scrutin local et la candidature à une élection présidentielle.
Au Sénégal, la compétition électorale est encadrée par le Droit. L’article 27 de la Charte suprême est clair, net et précis : « Nul ne peut faire plus de 2 mandats consécutifs ». Il n’y a pas matière à débat.
Pour être précis : Que la coalition BENNO BOK YAKAAR remporte les élections territoriales en janvier 2022 ou disons pour faire simple qu’elle rafle toutes les collectivités ; ou qu’elle perde lamentablement ces élections ; le résultat est invariablement le même : Macky Sall est totalement disqualifié en 2024, et ne pourra en aucun cas être candidat aux présidentielles de 2024.
Du point de vue de la Constitution sénégalaise, la candidature à une élection présidentielle ne se détermine pas par une victoire ou une défaite aux élections locales ou législatives, mais par les textes. Un point, un trait.
L’analyse du résultat d’une élection (locale ou législative) relève du commentaire politique. Libre aux journalistes, commentateurs ou politiciens membres du parti au pouvoir de commenter un scrutin et d’en tirer des conséquences politiques. Mais les conséquences politiques des locales de 2022 n’ont aucun lien avec la situation juridique de Macky Sall, qui, dans tous les cas, est empêché, de fait, par la loi d’être candidat en 2024.
La sortie fantaisiste (une farce grotesque) de Mahmoud SALEH a au moins le mérite d’être clair : Macky tâte le pouls de l’opinion et veut se représenter en 2024. Tous les ingrédients d’une confrontation entre Macky SALL et le peuple sénégalais, sont réunis puisque SALEH appelle ouvertement à un coup constitutionnel en 2024.
Pour Macky Sall, la folie d’une 3éme candidature, conduira inéluctablement à sa perte : Il risque de subir le même sort que le grabataire Alpha Condé, qui à cet instant précis, doit regretter amèrement sa forfaiture.
La déchéance : c’est le prix à payer pour un « hypothétique et impossible 3éme mandat ».Seybani SOUGOU – e-mail : [email protected]
Sougou et encore ses stupides sougoueries… M. Saleh est 1000 fois plus utile pour notre pays que cet enfoiré de Sougou avec sa tronche de somalien. Même le crachat de Saleh vaut mieux que toi qui est un lâche réfugié dans ton piteux pantaré à Paris… À la prochaine connerie…
La question du 3e mandat est absolument à ranger dans les oubliettes. On ne peut imaginer pareille boulimie et ambition inassouvie du pouvoir.Imaginez l’image de la gouvernance illégale et renégate qui s’en suivrait !
Merci Sougou Ce vieux tordu de M Saleh et ses pairs veulent nous faire avaler la couleuvre candidature de Macky en 2024. ça ne passera pas, Macky sera contraint de respecter sa parole. C’est lui qui a verrouillé la constitution « nul ne peut faire plus de mandat », basta! Les sénégalais ne veulent pas du tout du « wax waxete », le cas Wade est une jurisprudence sur ce point. Si ce dernier avait eu l’opportunité de présenter sa candidature, Macky n’aura point cette possibilité. Car contrairement à Wade, il reconnait lui même que la constitution qu’il a eu à modifier ne lui donnait pas cette possibilité. Donc il n’a qu’à assumer ses dires car les sénégalais refusent catégoriquement de se prêter à son jeu impertinent.