Yékini est mon idole. C’est un lutteur que j’adule. Il m’a téléphoné le jour du combat à midi. Il m’a contacté via Yékini Junior. Il a prié pour que la victoire me revienne. Il m’a demandé de ne pas me mettre la pression sur les épaules », confie Malick Niang, dans le colonnes du Quotidien. « Sois tranquille mon grand, rassure-toi », lui a-t-il répondu. « Je lutte en intégrant à l’idée ses propos disant de moi que je suis son digne successeur. Yékini est quelqu’un de bien.
Il est conscient de mes qualités. J’ai dû reporter un voyage avec lui en Suède pour privilégier le championnat de lutte que j’avais remporté (il y a un an)», se rappelle Malick Niang. «Yékini m’a désigné comme son successeur. Être « Roi des arènes » est un titre que Dieu décerne à qui il veut. Je suis en train de me battre. Et je me plierai à ce que le Tout-puissant décidera de ma carrière. Yoff n’a jamais manqué de champion. Dieu a fait que ce soit moi qui ai eu la chance de livrer un grand combat pour notre écurie», renchérit le tombeur de Sa Thiès.
Malick boul nagou dé, reste toujours concentré.