Les premiers mots d’Assane Diouf après sa libération

One love Assane. Nékal si jam. Mais s’il te plait boul nék di sag au Sénégal, use sa brain et utilise une autre tactique pour khékh fofou. Nékal si jam Assane, nékal si jam. Love U

Merci à Assane Diouf, merci à Françoise Hélène Gaye, d’avoir réussi à démasquer les adversaires du peuple sénégalais, ceux là qui jubilent quand la dictature de Macky Sall marque des points.
Comme baume à votre combat, rappelez-vous que cela fait plus de 60 ans que le peuple palestinien subit un génocide, donc plus de 60 ans que les épris de justice dans le monde, les seuls qui méritent le nom d’humains, vivent des déchirures internes en voyant ce qu’on fait subir à ce peuple, avec la jubilation de journalistes en sus, et le tout en voyant les auteurs du mal accumuler « succès » sur « succès ».
Mais, question: la multiplication des succès du mal doit-elle pousser les humains à réviser la conception d’humanité ? Devrait-on réviser nos croyances religieuses parce que le mal, par ses succès sur succès, nous fait trop souffrir ? Ce serait le plus grand service que nous rendrions au mal. N’est ce pas tout ce qu’il recherchait ?
Face aux « succès » du mal, l’honneur de l’humain se trouve dans la douleur. Ne jamais oublier que « les succès » du mal ne le transformeront jamais en bien.
Le combat contre le dictateur légionnaire se poursuit.

Merci encore Assane pour tout. Ça se voit que vous vous battez pour des convictions nobles et grandes: Diam la Paix pour tous. Rien que pour cela, vous avez été utile dans votre séjour terrestre. Et ce combat ne s’est jamais arrêté depuis la nuit des temps. N’est ce pas les français qui disent: qui veut la paix prépare la guerre?

Xeme
tu dois mediter azu moins les propos du drere d’Assane Diouf car la famille ne supporte pas cet irresponsable et idiot qui ne la part des choses et confond liberté d’opinion et insulte.
« « Je suis le frère utérin de Assane Diouf. Je tiens à dire d’emblée qu’aucun membre de la famille n’approuve les insultes et insanités qu’il a proférées à l’endroit de ses concitoyens. Mais ce serait, faire preuve de lâcheté que de l’abandonner à son propre sort. », confie Mame Balla avant d’ajouter que sa famille ne peut que solliciter le pardon du chef de l’Etat et de toutes les personnes à qui, Assane a causé du tort.
L’opposition est aux abois, battue à plate couture lors des legislatives, elle se cramponne à n’importe quel fait divers pour en faire une consolation.