Le célèbre promoteur de lutte a recouvré la liberté à la faveur d’une liberté conditionnelle accordée par la commission pénitentiaire consultative de l’aménagement des peines de la prison de Thiès. Luc Nicolaï a bénéficié des faveurs accordées à Yérim Seck et Tamsir Jupiter Ndiaye.
À l’instar des journalistes Cheikh Yérim Seck et Tamsir Jupiter Ndiaye, deux autres célébrités, Luc Nicolaï a bénéficié d’une liberté conditionnelle. Fin janvier 2014, il avait été transféré à la maison d’arrêt et de correction de Thiès. »Le promoteur des grands événements » a été libéré par la commission pénitentiaire consultative de l’aménagement des peines de la prison de Thiès.
Composée du juge de l’application des peines, d’un représentant du procureur, des membres de l’administration pénitentiaire et de ceux de la MAC, la commission s’est réunie dernièrement pour se pencher sur le sort du promoteur mbourois. À l’issue de la réunion, la commission a jugé nécessaire d’accorder une liberté conditionnelle à Luc Nicolaï, condamné à 5 ans de prison dont 2 ans ferme. Il a pu donc bénéficier de la volonté des autorités de désengorger les prisons sénégalaises.
Cette décision qui fait le bonheur du monde de la lutte s’explique par le fait que le promoteur de lutte a été condamné pour association de malfaiteurs, détention de drogue et complicité de tentative d’extorsion de fonds. Mais aussi, parce qu’il a purgé la moitié de sa peine. ‘’S’il avait été reconnu coupable de trafic de drogue, il n’aurait pas pu être libéré.
Car, dans ce cas de figure, pour qu’il puisse bénéficier d’une libération conditionnelle, il aurait fallu qu’il purge les 4/5 de sa peine’’, explique une source proche de l’administration pénitentiaire. Et de poursuivre : ‘’Pour une libération conditionnelle, il y a des conditions à remplir : il faut être définitivement condamné et avoir purgé la moitié de sa peine, si c’est un délinquant primaire.’’
Il ressort de ces explications que la libération conditionnelle ne peut être accordée que lorsque la durée de la peine purgée par le condamné est au moins égale à la durée de la peine qui lui reste à subir. Toutefois, les condamnés en état de récidive légale, au terme des articles 42, 43 et 44 du code pénal, ne peuvent bénéficier d’une mesure de libération conditionnelle que si la durée de la peine accomplie est au moins égale au double de la durée de la peine restant à subir. Pour les condamnés aux travaux forcés à perpétuité, le temps d’épreuve est de 25 ans.
Cette commission, créée par décret présidentiel, donne la chance aux condamnés qui présentent des gages sérieux de réadaptation sociale.
NDEYE FATOU NIANG (THIES)
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Justice à 2 vitesses.
Opération de sécurisation aux abords du Terminus de Yoff : La police met la main sur 12 kilos de chanvre indien
La Sureté urbaine a fait une descente, ce mardi 18 février vers 11 heures, aux abords du Terminus de Yoff. Ce qui lui a permis de mettre la main sur un dealer du nom de Mame Djine. Selon la Rfm, qui donne l’information dans son édition de 12 heures, la police a trouvé dans sa chambre douze (12) kilogrammes de chanvre indien.
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Attendons de savoir ce que ces dealer de chanvre indien vont prendre après leur jugement pour faire le parallèle avec les 26 boulettes de cocaïne de LUC NICOLAS ! Non seulement LUC s’en sort, lui qui sait où trouver de la cocaïne dans notre pays, mais il se trouve des Sénégalais qui ne seraient pas choqués de le voir avec une licence de promoteur de notre sport national! Si tel était le cas, je me ferais une opinion définitivement que que notre pays est comme une République bananière, ou la mafia de la drogue a ses soutiens. J’ ose croire que la majorité des Sénégalais ont toujours le sens de la morale, et vont dire Non et Non !