« Ce que le Conseil constitutionnel a fait en admettant la candidature de Bassirou Diomaye Faye est une faille. Il a fait fi du décret de dissolution du parti auquel il appartient en le faisant candidat par conséquent, le Conseil constitutionnel a été le premier à ouvrir la voie d’amnistie pour les événements. On ne peut pas être président si on a eu à avoir un tel rapport avec l’État du Sénégal. Tu ne peux pas être chef d’un État que tu as contribué à déstabiliser. Il a été arrêté par la police, il a été déposé au niveau de la justice. À partir du moment où il y a ces charges-là, je doutes qu’un juge électoral puisse effacer tout ». C’est Abou Abel Thiam, membre du secrétariat exécutif national de l’APR ( Alliance pour la République, parti au pouvoi), qui s’exprimait ainsi sur les ondes de Sud Fm.
Pour lui, le Conseil constitutionnel d’avoir créé un tumulte judiciaire et institutionnel. Il estime ainsi que « la décision du Cc d’intègrer Bassirou Diomaye Faye dans les listes électorales a été le premier geste vers « l’amnistie ». La composition de la liste des candidats a été la source de nombreux problèmes, entraînant des contestations et des perturbations dans le processus électoral ».
L’intégration de Diomaye, une faille du Conseil Constitutionnel, selon Abou Abel Thiam (Apr)
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Abou Abel Thiam noce bi diekhe na depuis 2012 ti as toujours ferme ta grande gueule puante tu ne l’ouvres que pour chaque fois soit c’est pour chanter les louanges de ton bienfaiteur pur pour calomnier les opposants
Maintenant c’est fini empocher des millions sans rien foutre c’est fini va chercher du travail et ferme ta sale gueule
Donc si je comprends bien l’objectif de dissoudre le PASTEF c’était de l’empêcher d’avoir un candidat et ainsi baliser une voie libre à Macky Sall et sa gang de mafiosi pour continuer à sucer le sang des sénégalais. Qu’ils sont dégueulasses ces gens là. C’est quand bien même horrible de constater jour après jour que ce sont ces gens là qui ont été au cœur de la gouvernance du régime de Macky Sall. Honnêtement quelle valeur ajoutée ce abou Abel Thiam peut-il avoir dans la société sénégalaise sinon voler, détourner, et contribuer à l’accaparerement des ressources foncières du Sénégal en plus de bénéficier des salaires fictifs venant du palais présidentiel.
Raisonnement bidon, donc si je comprends bien il suffit d’accuser des gens de tous les maux et de dissoudre leur parti pour les empêcher de se présenter. Que fait on de la présomption d’innocence ? Il faut que les gars arrêtent de se comporter comme des voyous faire de la politique c’est accepter la compétition, l’adversité et non préparer des coups bas. Ils n’ont pas vu ce coup venir , ils sont devenus trop prévisibles.
Le conseil constitutionnel est le premier responsable de ce chaos. Ces 7 soit disant sages ont fait ce qu’ils ont voulu même en bravant le président de la république. Pure foutaise. La loi interdit cela. Un membre d’un parti dissout être candidat
Encore un de ces gros bouffons du palais payés au frais du contribuable, pour nous sortir encore leurs habituelles inepties. Ces larbins, grands lécheurs de c.. , sont de piètres laudateurs, sous les traits d’une malhonnêteté intellectuelle criarde. Ces faussaires d’une autre époque représentent une vraie grande gangrène, dont il convient de se débarrasser, afin d’assainir la république. Plus que jamais, le Sénégal se trouve à un tournant décisif qui exige la promotion de ses dignes fils. Ceux-là qui demeurent aptes à tout point de vue, à restaurer les valeurs républicaines sapées par 20 années de règne de la médiocrité. Une nouvelle citoyenneté, un patriotisme sincère, authentique devrait être à l’œuvre et qui exprime un don de soi sans réserve pour la république. Car comme le disait si bien un certain John Fitzgerald Kennedy « Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous plutôt ce que vous pouvez faire pour votre pays ». Game is over ! Les politicards et autres adeptes de la politique du ventre, ces énergumènes à la vision borgne, nombrilique du pouvoir, de l’état, sont totalement disqualifiés dans la gouvernance pour un Sénégal de renouveau. Un Sénégal plein d’espoir, de devenir, véritablement émergent pour le grand bonheur de tous ses fils, l’épanouissement de sa jeunesse trop longtemps marginalisée.
les magistrats du conseil constitutionnel sont garants de notre justice un candidat avec un casier vierge est éligible même le décret de dissolution était attaquable ils ont dirigé ce pays comme des tortionnaires la justice du bon dieu est au dessus de tout.