| L’ONU, le grand justicier du monde, serait-il en fait un simple « machin » au service des Grandes bourgeoisies occidentales ? On serait tenté de se poser une telle question tant les événements de ces dernières semaines dans lesquels elle s’est donnée un rôle prééminent, présentent des incongruités incompréhensibles de sa part. Certes sous cette bannière pompeusement nommée « la communauté internationale », l’ONU se donne pour mission d’être au chevet des peuples et de défendre partout la démocratie ; mais est-elle vraiment elle-même un modèle de démocratie. Voilà tout le problème, avec notamment le phénomène des « droits de véto » et autres notions comme « membres permanents » et « membres non permanent ». Autant de discrimination dans les prises de position sur des questions touchant la souveraineté des peuples, ou si on veut la démocratisation de cette gouvernance mondiale tant chantée par les occidentaux. Ou bien est-ce que l’ONU voudrait-elle consacrée cette « vérité » fallacieuse selon laquelle l’histoire est toujours écrite par les vainqueurs, donnant aux plus forts le droit absolu et irréversible d’orienter la marche du monde. Car comment comprendre que personne n’ose attaquer la chine ou les Etats Unis quels que soient leurs écarts par rapports aux normes de la communauté internationale. C’est pareil pour Israël qui massacre jours et nuits le peuple palestinien depuis des décennies, avec le mépris total de la communauté internationale et même le plus souvent sous sa complicité bien coupable. Y aurait-il des peuples qui méritent d’être massacrés au profit d’autres, au nom d’un banditisme d’Etat qui ne dit pas son nom. Tout ceci parce qu’il n’y a pas de démocratie à l’échelle de cette communauté Internationale ; elle n’agit vraisemblablement qu’au régime des désidératas des plus forts. Les guerres contre les peuples sont très souvent lancées au nom des intérêts des occidentaux, et pire même parfois au nom des caprices de certains chefs. Le cas de Bush junior voulant venger Bush père au nom de l’a |
