Xalima-news-La nouvelle Première Dame du Sénégal vient de se voir offrir une belle Mercedes flambant neuve par son président de mari. C’est d’ailleurs avec cette voiture que la first lady a effectué ses premiers déplacements protocolaires lors de la cérémonie de prestation de serment du président nouvellement élu
C’est au lendemain de son élection après sa victoire au second tour que le candidat Macky Sall a acquis auprès d’un concessionnaire de la place cette Mercedes au profit de son épouse
Il semble que le nouveau président ne souhaite pas que son épouse et sa famille disposent d’un parc automobile au frais de l’Etat
Dans cette même lancée pour l’austérité et l’économie du budget, le président Macky Sall a fait récupérer le véhicule du président de marque Mercedes que le président Abdou Diouf utilisait
C’est la société concessionnaire et représentante de la firme allemande au Sénégal qui a effectué les travaux d’entretien et la réparation de cette automobile qui a été acquise en 1996 sous l’ère des socialistes. Manifestement le véhicule présidentiel qu’utilisait le président Wade se trouve dans les ateliers d’un distributeur automobile situé sur l’autoroute
Source Nouvel Horizon/Xalimasn.com
TRES BIEN FAIT MAKY CETTE FEMME FEMME MERITE PLUS QUE CA.
on a pas besoin de vous felicitè l essenciel c est d eviter de faire comme laye ndiombar si no a bon entendeur salu
Il n’a pas pu l’acheter cash sinon pourquoi attendre d’être élu président pour le faire.
Ca doit être à crédit qu’il va régler avec les derniers publiques.
C’est dommage pour les sénégalais.
Dbilidio ya bone té niaaw khalate ! Mais Yalla baxna ! Parlez rek vous n’avancerez jamais ! Macky est Président de la République du Sénégal donc ton Président (si tu es sénégalais car j’en doute).
Libération programmée de Barthélémy Dias : Une grosse mise en scène.
C’est l’histoire d’une libération programmée. Le pouvoir, conformément à la promesse électorale de Macky Sall, tient à tous les coups à faire sortir Barthélémy Dias de prison. Le maire de Sicap-Mermoz-Sacré Cœur a été exfiltré de sa cellule pour les besoins d’une seconde perquisition qui a fait découvrir une autre arme chez lui. Comment ce pistolet a pu se retrouver là alors que la première perquisition au cours de laquelle les enquêteurs avaient fouillé sa maison de fond en comble sans pouvoir le découvrir ?
Pour comprendre cette affaire, nous avons essayé de suivre les traces de cette mystérieuse arme. Selon des informations obtenues, après investigations, la sœur de Barthélémy Dias avait à un moment fait le tour des armuriers de Dakar pour acheter un pistolet. Mais sa moisson ne fut guère fructueuse. L’un des armuriers nous a d’ailleurs confirmé le passage de la sœur de Barthélémy Dias dans son magasin. Mais c’était sans compter avec la détermination de cette dernière. Finalement, c’est en Inde que nous avons retrouvé ses traces. C’est effectivement dans ce pays qu’elle a pu se procurer le pistolet (un revolver CO2 Umarex Smith & Wesson MOD 686 d’une largeur de 285 mm avec un barillet de dix coups et dont les munitions sont de calibre 4,5 mm) que les enquêteurs ont découvert chez Barthélémy Dias lors de la seconde perquisition. La spécificité de cette arme, c’est qu’elle est de septième catégorie, donc en vente libre. L’autre particularité, c’est que ses munitions sont en plomb, mais aussi qu’elle est démontable et peut être facilement être transportée dans une valise sans attirer l’attention des douaniers.
Il est clair que si les enquêteurs se fondent sur ce pistolet, ils ne pourront pas retenir Barthélémy Dias en prison. Car, ce n’est pas cette arme qui a tué Ndiaga Diouf, mortellement atteint par une balle de calibre 38. Et ce n’est pas, non plus, la première arme de marque Taurus PT 917 CS TVL 11 733 que Barthélémy Dias a remis aux enquêteurs après son arrestation qui est en cause. L’arme fatale, dont les balles ont été extraites du corps de Ndiaga Diouf et de ceux des deux autres blessés, a mystérieusement disparu. On se souvient qu’un témoin avait déclaré à la police avoir vu un proche de Barthélémy Dias jeter un sachet, contenant probablement l’arme incriminée, dans la mer de Rufisque. Mais l’équipe de plongeurs dépêchés sur les lieux, en compagnie de policiers, n’avaient rien trouvé.
Pourtant, les images, qui ont fait le buzz sur Internet, montrent bien Barthélémy Dias avec deux pistolets tirant à bout portant sur Ndiaga Diouf et sa bande. L’un d’eux, de marque Taurus, est celui que le maire de Sicap-Mermoz-Sacré Cœur a remis aux enquêteurs. L’autre arme qu’il a mise récemment à la disposition des ces derniers à la suite de la seconde perquisition n’a jamais servi. Mais où est donc la fameuse seconde arme, qui a servi, que l’on voit sur les images dans les mains de Barthélémy Dias ?
Ce n’est pas une surprise parce que la libération de Diaz etait une promesse électorale chantée partout.