Macky Sall acquitte Karim Wade et Khalifa Sall si…

Quelle est la différence entre une grâce et une amnistie ?
La grâce constitue l’acte par lequel le président de la République dispense un condamné frappé d’une condamnation définitive et exécutoire de subir tout ou partie de sa peine. La grâce individuelle doit être demandée par requête au président de la République. À l’issue d’une instruction qui implique l’intervention d’un magistrat du Parquet (ou Ministère public) : ensemble des magistrats chargés de représenter les intérêts de la société et de veiller au respect de l’ordre public et à l’application de la loi. Le ministère public est hiérarchisé (procureur général, procureur de la République) et subordonné au garde des sceaux. Le chef de l’État prend, le cas échéant, un décret accordant sa grâce. La grâce collective, qui consiste en une remise de peine accordée à certaines catégories de détenus, était autrefois utilisée pour désengorger les établissements pénitentiaires, par exemple à l’occasion du 14-Juillet en France ou du 04 avril au Sénégal. Notons que la grâce, si elle supprime ou diminue le quantum de la sanction, ne fait pas disparaître la condamnation qui reste inscrite au casier judiciaire.
L’amnistie, au contraire, consiste à supprimer rétroactivement le caractère d’infraction ou comportement interdit par la loi et passible de sanctions pénales. On distingue trois catégories d’infraction selon la gravité et les peines encourues : les contraventions, les délits et les crimes. Elle possède des conséquences plus fortes que la grâce : avec l’amnistie, c’est la condamnation elle-même qui disparaît. Cependant, cette disparition est sans effet sur la partie déjà exécutée de la peine.
L’amnistie est un acte législatif relevant de la compétence exclusive du parlement, organe collégial qui exerce le pouvoir législatif (adoption des lois et contrôle du pouvoir exécutif).Au Sénégal, c’est l’Assemblée Nationale qui précise la nature et la gravité des infractions concernées. Si la loi d’amnistie est normalement un acte général et impersonnel, elle peut néanmoins conditionner ses effets au respect par le délinquant de certaines obligations (par exemple, le paiement de l’amende Condamnation à payer au Trésor Public une somme d’argent fixée par la loi.).

l’aveu de taille sur l’instrumentalisation de la justice.
peine perdu, le point de non retour est atteint. 2019 on va te balayer comme comme des feuilles mortes

mais c’est incroyable, il n’a pas de conseiller en communication ce nullard?
on soupçonnait au départ un procés politiques mais là c’est flagrant. torturer une famille entière pour des fin politique et venir cracher ces vomissures c’est du délire. j’ai honte d’avoir voter en 2012 pour cet homme. pfffffff dégoutant vraiment, j’ai la haine.
Vivement 2019 pour qu’il dégage, y en a marre pffffffffffffffffffffffffffffff

C’est juste une insulte aux sénégalais. Macky est habitué à regarder les sénégalais comme étant des moutons. Il se dit que les sénégalais ont déjà oublié que même sa dite grâce » pour Karim n’en était pas une. Macky était obligé de trouver un ridicule scénario pour se tirer d’affaire. S’il pense avoir ainsi échapper à la CPI, il se fourre le doigt dans l’œil. Il en aura la certitude quand il quittera le pouvoir. Même le passeport de Karim lui a été confectionné en prison. ET Macky veut faire croire qu’il avait un choix ? Non, il était obligé, obsédé par un second mandat, parce que la fin de son règne est une perspective de cauchemars.

EN DISANT VOULOIR ADMINISTIER KARIM WADE ET KHALIFA SALL SEULEMENT APRES SA RÉÉLECTION, LE PRÉSIDENT VIENT DE FAIRE UN AVEUX DE TAILLE, CONNU DE TOUS, IL S’EST AIDÉ DE SA JUSTICE POUR UNIQUEMENT ÉLIMINER DEUX ADVERSAIRES TROP CORIACES.