Macky Sall marque son autorité. En tant que président de la République, il martèle qu’il a le pouvoir et le «privilège» de réfléchir d’abord, de proposer ensuite et enfin de prendre la décision finale.
N’en déplaise à Idrissa Seck et Omar Sarr dont les partis, les deux poids lourds de l’opposition, ont décidé de boycotter les discussions avec le gouvernement sur l’Acte III de la décentralisation.
En recevant les partis politiques de moindre envergure qui ont répondu à son invitation, Macky Sall, rappelle qu’il est le président de la République et par conséquent, il a le pouvoir et surtout le «privilège» de réfléchir d’abord, de proposer ensuite le fruit de sa réflexion et enfin de prendre la décision finale. «Chacun à la liberté de participer à ces discussions ou de les boycotter. Mais, en tant que président de la République, j’ai la prérogative de réfléchir et ensuite d’appeler les autres. Cela, il faut que les gens le sachent», martèle Macky Sall recevant les leaders de la majorité présidentielle hier au Palais.
Macky Sall qui tient à rappeler au Pds à ses alliés de Bolo taxawu askan wi et à Rewmi son autorité, affirme que le dernier mot lui reviendra après discussions avec la classe politique, les syndicats et la société civile. Il en est ainsi avec la réforme sur la décentralisation et il sera de même avec la réforme des institutions, dit-il. En effet, le président Sall qui a commandité une réflexion sur la réforme des institutions, affirme qu’il choisira ce qu’il veut des conclusions d’Amadou Mokhtar Mbow et cie. Parce que dit-il, il a le privilège d’avoir le dernier mot. «J’ai demandé à une commission de réfléchir sur la réforme des institutions et de me faire parvenir par écrit ses conclusions. Mais, je suis le président de la République et il m’appartiendra de choisir ce qui m’intéresse parce que le dernier mot me revient», assène encore le président de la République qui préconise par ailleurs une réforme territoriale en deux temps.
Selon lui, la première réforme ne remettra pas en cause les limites territoriales des régions actuelles. La seule nouveauté, d’après lui, ce sont les élections locales qui seront «décalées» de trois mois et porteront sur l’élection des conseils municipaux, départementaux et régionaux et la suppression des conseils ruraux.
Cependant, Ismaël Madior Fall, le président du Comité de pilotage de cette réforme, souligne que les trois départements de Dakar n’auront pas de conseils départementaux. Ce sont des zones essentielles urbaines, explique-t-il. Ainsi le Sénégal compte 45 départements, mais il n’y aura que 42 conseils départementaux.
La deuxième phase de la réforme, la plus délicate, d’après Macky Sall puisqu’elle concerne les regroupements des régions, se fera après les locales.
Charles Gaïky DIENE
Le chef de l’Etat a dialogué avec sa majorité hier en l’absence de l’opposition
walf.sn
quand un president de la republique doit crier,que c’est moi le president de la republique,c’est moi qui doit prendre les decisions,c’est qu’il y’a quelque chose qui cloche;ça me fait penser à ce père de famille,qui crie dans sa maison,c’est moi le père de famille,c’est moi qui doit prendre les decisions,mr le presi me fait plus penser à lamine ndiaye de DAARAY COOK qui disait à sa femme dié astou,MANE GOORE LA,SAMA YAAYE NEENA GOOR LA,quand le ridicule ne tue pas,moo qui koumoy khatioole
vous etes tous des ereinteurs de naissance et vous allez mourrir ainsi yala moy falll djitt et c lui qui a mis le president sall dans ce pays un president qui est entrain de faire de bon resutats mais comme vous etes tous des fils de voleurs rien ne vous arrangent a part son depart mais digunenn khamni yala moy fall
Quand j,ai lu cette déclaration du président, en tant que femme je me suis dit, putain, il récite la leçon de Marième sall qui lui a dit dans le lit, boula kéne yap yaye président, yay djeul décision yi
Il est débile ce mec
Jusqu’en 2017 MACKY SALL est et sera le seul maitre a bord au Sénégal;
Messieurs les politiciens respectez le choix du PEUPLE souverain