XALIMANEWS- Après l’annonce du décès de l’ancien ministre Djibo Ka, le Chef de l’Etat, Macky Sall, a tenu à rendre hommage au disparu.
A travers un communiqué, le Président de la République salue la dimension de l’homme politique et l’engagement de l’homme d’Etat. Il se consterne devant sa mémoire.
«J’ai appris avec beaucoup de peine la disparition de notre compatriote Djibo Leyti Kâ. Homme politique de dimension exceptionnelle, plusieurs fois ministre de la République et, depuis environ deux ans, Président de la Commission nationale de dialogue des territoires (CNDT), Djibo Leyti Kâ a porté jusqu’au bout les rigueurs et les contraintes de l’engagement au service de son pays», s’est-il exprimé.
Ainsi, pour Macky Sall, Djibo Ka, restera un symbole dont il faut encore toujours se souvenir. «C’est un illustre fils du Sénégal et son nom est intimement lié à notre histoire politique de ces cinquante dernières années, l’homme ayant assumé, avec constance et passion positive, parmi les plus hautes charges de l’Etat», s’est-il encore ému en transmettant «ses condoléances émues à toute la nation et la famille éplorée».
Macky Sall suite au rappel à Dieu de Djibo Ka: «Son nom est intimement lié à notre histoire politique…»
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Le président condoléanceur a encore une triste occasion de faire de la politique funèbre.
Ça ne veut rien dire pour moi. En bien ou en mal? That’s the question! Le nom de Thomas Sankara aussi est intimement lié à l’histoire politique du Burkina Faso. So is Blaise Compaore. So is Yaya Diamme. So is Patrice Lumumba. So is Laurent Bagbo. So is Hissene Habre. Que Dieu ait pitié de l’âme de Djibo Leyti Ka.
Eh oui le petit president et grand politicien bananier. Seulement j entend par politicien un menteur de classe exceptionelle. Il a reussi à faire du wax waxèt de wade un pêché mignon. Il a vendu son ame au diable qu’au point de faire des condoleances les grand moments de jeux politiques. Rappelez vous lors du déces de Al Maktoum, il en profita avec son fameu « sunu dajjai manak yaw farata la » qu’il lanca sournoisement au fils du défun, sans aucun scrupule sur les règles élèmentaires de bienseillance.
Mon cher, quand est petit, on reste petit pour l’éternité. Comme disait l’autre, grand penseur français: les postes éminents rendent les grands hommes encore plus grands et les petits hommes encore plus petits. Il ne saurait si bien dire.