XALIMANEWS : Le problème de la distribution de l’eau au Sénégal a fait l’objet de débat hier Lundi à l’assemblée nationale. Le ministre de l’hydraulique et de l’assainissement invoquant le problème de l’eau à Touba annonce entre autres mesures la fin de sa distribution gratuite.
L’approvisionnement de la capitale du Mouridisme en eau constitue un problème qui nécessite une solution structurelle d’autant plus que le liquide précieux y est gratuit jusqu’à maintenant. C’est ce qu’a déclaré le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement.
En effet, annonce Mansour Faye, a fait savoir que « Personne ne paie l’eau à Touba, y compris les boulangers et les stations d’essence, alors qu’il s’agit de la ville la plus peuplée de notre pays après la capitale. Cette situation ne peut pas durer ad vitam aeternam».
Selon lui, le phénomène des branchements clandestins fait aussi, que le réseau hydraulique est confronté à de nombreuses fuites.
Et pour y remédier, le maire de Saint-Louis a annoncé que «l’idée retenue est que l’eau de Touba étant saumâtre, il s’agit de faire transfert à partir d’une autre zone avec un réseau parallèle et en ce moment-là, l’eau non saumâtre sera payante ».
Solution qui a trouvé l’approbation de la majorité des parlementaires présents à l’hémicycle mais qui a fait jasé certains députés notamment l’honorable Sérigne Modou Mbacké Bara Doli.
Il est incompetent ce ministron
Non Meuz, il faut affronter le probleme de face.
Tout le monde doit payer l’eau. C’est ce qui est normal non?
comme beaucoup de sénégalais, vous ne comprenez rien !
Peut être que l’eau doit être payante à Touba, mais pourquoi aussi doit on continuer à doter chaque député de 300 litres d’essence chaque mois, alors qu’il a son salaire? Le président et les questeur ont droit à 1.000 litres d’essence par mois. Encore que ces litres d’essence sont achetées à des compagnies françaises.
C’est de la foutaise. Le prix de l’eau a Touba est minime comparé à la gabegie au sommet de l’état. La caisse noire du président est alimentée en milliards et personne ne sait où l’argent rentre.