La révélation a été faite par le maire de Mermoz Sacré-Cœur, Barthélémy Dias lui-même, lors de son audition ce mercredi 2 mai. Entendu pendant 8 tours d’horloge, le responsable des jeunesses socialistes a, selon L’As, dit au juge Mahawa Sémou Diouf qu’en réalité, c’est lui qui détient l’arme en question : il l’a bien gardé quelque part. Il a d’ailleurs promis de la lui remettre.
en croire M Dias, contrairement à ce que pensaient les enquêteurs, il ne s’agit pas d’un barillet de calibre 38, mais d’un pistolet à plomb, une arme factice, qui avait tant suscité des débats et qui intriguait la police. Selon une source du journal l’As, c’est depuis sa première audition, qui lui a valu son inculpation, que le jeune maire socialiste a voulu s’en ouvrir au juge. Mais ce dernier lui avait fait savoir que ce n’était pas le moment et qu’il aura l’occasion de s’expliquer sur le fond. Ce qu’il a fait hier, mercredi de 9h30 à 18h.
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Ils veulent simplement produire une arme qui n’a servi à rien pour blanchir Barthélemy.
On est loin d’une justice indépendante si Barth est élargi par les nouvelles autorités
quoi qu’il en soit c un etre humain qui été tué ,personne n’a le droit de liberer un assassin,personne ne peut évoquer la légitime défense car les assaillants n’étaient pas armés.
l’arme detenue par le suspect sur les images devrait etre confiquee aussitot.c’est un element de preuve important pour les examens ballistiques et autres.son domicile, son bureau devaient etre fouilles pour obtenir d’autres elments de preuve pour une meilleure enquete.