1. L’usage de l’assistance vidéo (VAR)
Dans 4 cas de figure : la validation d’un but, l’attribution d’un carton rouge direct à un joueur, la décision d’accorder un penalty et la correction d’une erreur dans l’identification d’un joueur pénalisé par l’arbitre.
2. Le quatrième remplacement
Les coachs pourront effectuer un 4e remplacement à partir des 8e de finale, mais seulement en cas de prolongation.
3. Arrêt momentané du match en cas de commotion cérébrale
Outre la « pause fraîcheur », ou « cooling break », pour éviter les malaises de joueurs déshydratés, les arbitres pourront, lors de ce mondial, interrompre un match « jusqu’à trois minutes » en cas de soupçon de commotion cérébrale. « L’arbitre ne peut autoriser le joueur blessé à continuer de jouer qu’avec l’autorisation du docteur de l’équipe, qui aura le mot de la fin », selon la Fifa
4. Matchs arrêtés en cas d’actes racistes
Des observateurs indépendants surveilleront les comportements des supporters dans les stades. En cas d’actes racistes, une annonce sera faite par les haut-parleurs. Et si les fautifs persistent, les arbitres pourront arrêter la rencontre.
5. Des observateurs en tribunes
Les équipes pourront choisir deux observateurs vidéo et un membre du staff médical qui seront en tribunes, probablement aux côtés des médias, qui seront tous autorisés à communiquer avec leur banc de touche durant les matchs.
Élimane Sembene