Dans son livre intitulé « Wade, un opposant au pouvoir », le journaliste Abdou Latif Coulibaly avait écrit que les moteurs de la Pointe de Sangomar (Avion de commandement) avaient été vendus et que l’argent avait disparu. Les autorités de l’époque avaient du mal à faire passer leur démenti. 11 ans après, un homme qui était au cœur de l’affaire revient pour donner sa version des faits. Un démenti formel d’un militaire, qui a cherché à « faire éclater la vérité sans parti pris », tente de rétablir les faits, arguments à l’appui. Madické Seck, ancien commandant de bord de l’avion présidentiel, s’est confié au journal L’Observateur à ce sujet ».
Dans le livre « Wade un opposant au pouvoir », Abdou Latif Coulibaly avait dit que les moteurs étaient vendus et que l’argent avait disparu. Ce qui était faux. A l’époque, j’étais désigné pour donner les explications qu’il fallait et j’ai emmené vos confrères à Perpignan, il y en a qui ont cru, d’autres qui n’ont pas cru. Mais, aujourd’hui, 11 ans après ceux qui n’étaient pas convaincus ont l’occasion de l’être, parce que les moteurs sont dans un hangar à l’aéroport de Dakar depuis deux ans. J’ai été marqué par les écrits contenus dans ce livre. Dans la mesure où, voir des contrevérités de cette dimension, ça peut surprendre et ça peut décevoir. En mon âme et conscience, j’ai essayé de faire éclater la vérité sans parti pris aucun, parce que je suis un militaire, je ne défends personne. J’étais chargé du dossier technique et j’ai donné mes explications le plus honnêtement possible ».
Madické Seck a été élevé au rang d’officier de la Légion d’honneur par la France à l’occasion du 14 juillet.
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Et voilà ce que je disais, les intellectuels ont laissé la place aux saltimbanques qui s’expriment comme des troubadours qui propagent des nouvelles dans un village. sincèrement, comment en est-on arrivé à donner de l’échos à une personne qui ne bénéficie d’aucune légitimité électorale, d’une compétence pour juger notre économie dont il ne parle même pas, en matière d’agriculture, de santé, d’éducation et d’investissement. Il lui a fallu, le verbe, l’éloquence sûrement en wolof que je ne maîtrise peut-être pas dans ses intonations qui peuvent convaincre un initié de ce dialecte parlé partout au Sénégal. Ce verbe haut d’un homme, accompagné d’un culot qui s’attaque aux plus hauts dignitaires politiques ou religieux en les insultant a pu séduire une majorité d’entre nous. La libéralisation « anarchique » d’une presse qui concurrence aux titres à sensation n’est pas étrangère à la montée en puissance de cet homme. Bien sûr que la libéralisation et l’indépendance de la presse s’imposait dans une démocratie Sénégalaise du 21° siècle, mais n’est-on pas allé très haut et vite? je pense bien que oui, car la concurrence des titres à sensation font des ravages et à chacun d’ameuter le plus grand nombre de lecteurs pour gagner son pain avec un « journal » de cinq pages vendu à 100 francs CFA. De cette brèche ouverte, Jules Souleymane Diop a eu l’outrecuidance et la ruse de trouver la faille béante qui peut hisser au sommet tous ceux qui osent défier, se mesurer à une autorité. Il lui a suffi de s’acharner à « l’écriture » de quelques lignes de calomnies et d’un discours qui sortent de l’ordinaire dans un Sénégal habitué au consensus de bonne conduite envers les autorités. Dans le même ordre d’idées, Latif Coulibaly opte pour des livres qui font la une d’une certaine presse. Et de ce principe élémentaire de chimie, quand deux corps de réaction explosive se rencontrent, on ne voit que du feu. Dans l’ignorance passagère d’un peuple acculé par la communication nouvelle formule, toute une population se retrouve comme anesthésiée, manquant d’un esprit de jugement et de clairvoyance. La grande faute revient aux intellectuels qui se sont laissé ravir leur place, leur rôle laissés aux prédateurs sans vergogne qui profitent de l’aubaine pour prendre le pouvoir parce qu’ils se retrouvent en face d’un vide institutionnel. Cependant, il serait très difficile que nos saltimbanques rejouent le même scénario avec ceux qu’ils ont aidés à prendre le pouvoir car ceux-là les connaissent mieux que le reste des Sénégalais, qui eux aussi commencent à redresser la tête et à voir clair. Espérons que ces énergumènes encombrants de la république sont au début de leur chute vertigineuse et il ne faut pas s’étonner que « l’influence » financée par les ONG des Y’EN A MARRE suit le même déclin que leurs complices des sociétés dites « civiles ». Les bennos comme le reste des Sénégalais les ont maintenant à l’œil et ils auront du mal à se refaire une virginité de nuisance. Vive le Sénégal, vive la démocratie et vive la prise de conscience des élites Sénégalaises et la reprise de leur place et toute leur place pour bouter dehors les usurpateurs.
Latif n’a fait que mentir de toute sa vie. Il a toujours été un mercenaire de la plume. Vous payez, il écrit. Pour le compte de l’UNACOIS face à Mimran. Pour le compte de Hanne d’Eximcor face à Abdou Diouf. Pour le compte d’un patronat contre le directeur qui leur refuse des marchés biaisés. Pour le compte de la France Afrique face à Wade. Vous payez, Latif écrit.
Mais c’est là l’occasion de comprendre les choses un peu plus. Dans le cadre pure et dure de la politique, cet art de vaincre sans avoir raison, quelle importance y a t il à révéler que Latif avait menti ? Même Latif, je crois bien qu’il finira par nous dire, un jour, qu’il avait menti, ne serait ce qu’au moment de son extrême onction. Il sait pertinemment qu’il ment, en ce moment-ci. Mais dans la vie qu’il s’est choisi son travail consiste à réussir par le mensonge. Il est payé pour cela. Il a de la renommé pour cela. Il a un statut spécial, dans la république pour cela. Il peut aider un candidat à être élu. Il peut travailler à faire tomber un candidat. Et il le réussit bien. Alors, quelle importance de comprendre qu’il avait menti ? Il s’avait bien, lui Latif, que tous ses mensonges finiront par être découverts. Mais ce sera après qu’il aura réussi. Ce qu’il y a de mieux à comprendre c’est que Latif ment AUJOURD’HUI. Pas seulement hier. Parce qu’il exerce le même métier.
Qui disait que ce énergumène de latif coulibaly va réussir par le mensonge; l’histoire de ndiole sokône se confirme.
Pour vous prouvez qu’il est adepte du mensonge, regarder sa physionomie, Fékhou, il a l’amertume au visage et des signes d’un adeptes de Bacchus, est-ce pour noyer sans complexe de culpabilité. Le doyen O.Camara, face aux mensonges de ALC, il lui avait dit « BAYINA AK YALLAH ». Pour qui connait, c’est la justice divine qui est sollicitée, elle ne saurait tarder
Pourquoi perdre votre précieux temps à parler de cette pourriture de Latif Coulibaly il finira mal