- A 17 h 45, les forces françaises, dont une vingtaine d’avions se trouvent actuellement en Libye, ont ouvert le feu sur un véhicule militaire. Nicolas Sarkozy a indiqué que les avions français empêcheront des attaques contre les rebelles.
- Nicolas Sarkozy a lancé le début de intervention militaire internationale sur le territoire libyen, après un sommet diplomatique à Paris. Il a indiqué que des avions français, qui survolent déjà le territoire libyen, empêchent déjà des attaques aériennes contre Benghazi et sont prêts à intervenir contre des blindés de l’armée. Kadhafi peut « encore éviter le pire » en respectant la résolution de l’ONU, a ajouté le chef de l’Etat, pour qui « la porte de la diplomatie se rouvrira lorsque les agressions cesseront ». Londres participera à cette opération, tout comme le Canada. L’Allemagne soutient la démarche, mais n’enverra pas de forces militaires.
- Le nombre de Rafales participants à cette opération n’est pas encore connu. Une source militaire, cité par l’AFP, indique que plusieurs patrouilles ont été mobilisées. Les avions, armés « en configuration défense aérienne », sont conçus pour des missions de bombardement, de reconnaissance et de défense aérienne. L’armée française dispose de 40 Rafales.
- Au lendemain d’un cessez-le-feu unilatéral, les combats se poursuivaient dans l’est de la Libye. Les rebelles, retranchés dans la ville de Benghazi, étaient la cible de bombardements intenses par les troupes pro-Kadhafi. Un avion militaire, vraisemblablement un MiG-23, a été abattu sous les caméras des télévisions internationales. Le pouvoir libyen assure toujours ne pas être à l’origine de ces attaques, accusant les rebelles de ne pas respecteur le cessez-le-feu. (Voir la carte des combats en Libye).
- Un porte-parole du régime de Mouammar Kadhafi a annoncé que le leader libyen a envoyé plusieurs lettres à l’ONU, à Barack Obama à David Cameron et à Nicolas Sarkozy, mettant en garde contre toute ingérence. Les insurgés mettent en garde contre « une catastrophe » s’il n’y a pas une intervention rapide de la communauté internationale.
bizarre …le peuple lybien vaut mieux k le peuple ivoirien…
ils veulent seulement volés le petrole lybien…
avant tout la france ferait mieux de s occuper des problemes internes tels que l insecurite, le chomage, les sans domicile fixe, la vie trop cher. alors au lieu de balayer devant la porte de son voisin, on balaye devant sa porte et tout cela dans un but de tirer profit des richesses de pays… alors, mal acquis n en profitera jamais…