En ces premiers jours de l’année 2012, où il est de bon ton de formuler des vœux pour l’année qui s’ouvre à nous, six de nos compatriotes, des soldats de l’armée nationale, demeurent les otages du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc). Voilà donc 18 jours que le Président de la République, Chef suprême des armées, son ministre des Forces armées ou encore son chef d’Etat-major des armées, tout comme les hautes autorités de la Casamance membres du gouvernement, observent un silence méprisable et coupable sur la mort de plus d’une dizaine de soldats sur le théâtre d’opérations au sud du pays. Leurs frères d’arme et leurs familles cherchent encore à comprendre comment le Sénégal en est arrivé à tomber aussi bas, au point de rendre vulnérables les hommes ayant volontairement choisi d’offrir leur vie au service de la protection de l’intégrité du territoire national, de la sécurité de ses personnes et de leurs biens.
[Opinion-Blog] On vous tue, l’etat vous deshonore Par Frédéric TENDENG
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