XALIMANEWS : Un candidat à la prochaine présidentielle est cité dans le scandale des sociétés offshores dénommé Panama Papers.
Selon Libération qui donne l’information, ce candidat dont le nom n’a pas été dévoilé, a été utilisé pour sortir de l’argent, au moyen de sociétés-écrans et de fausses factures avec la volonté d’échapper aux services anti-blanchiment.
Le journal, s’appuyant sur des documents, montrent qu’il est passé par le cabinet Mossack Fonseca pour, de Genève, montrer au Panama une société écran qui a enregistrer plusieurs actions douteuses. Et ce n’est pas. Les gérants de ladite société offshore sont impliqués dans des affaires de blanchiment, rapporte la même source.
Panama Papers : Un adversaire de Macky impliqué
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OK, c’est fort possible mais n’y a t il pas plus grave venant de nos actuels dirigeants ? 29 milliards du PRODAC, la CDC exemptée de tout contrôle entre les mains du frérot du président, le beau frère ministre qui se promène à Saint-Louis avec une cohorte de bolides des luxe hyper puissants, le flou total concernant les baisses du péage, et dans ce cas ci, on semble entrevoir un régime qui aiguise une machette pour la remettre au bourreau de notre économie, je cite SEnac Gérard.
Autant de masochisme au plus haut niveau de l’état me semble irréaliste, mais quand on est mis au palais grâce au soutien français, on leur doit tout, et dans des moments d’hystérie pro-servilité, macky sall a dit: »En Afrique, il y a des guerres, des maladies, les investisseurs qui viennent sont très courageux, on doit tout leur donner, c’est ça la vérité ! ».
Dans un pays oú la dignité a un sens, on attendrait pas les élections pour manifester son courroux, mais quand je repense à Trump, je reconnais que nous ne sommes pas loin d’être un PDM..
Macky nous ressemble car il est un exemple de l’homo senegalensis.
»En Afrique, il y a des guerres, des maladies, les investisseurs qui viennent sont très courageux, on doit tout leur donner, c’est ça la vérité ! ».
C’est triste, mais c’est quand même risible de constater que le président Sénégalais soit tombé dans ce piège tendu par beaucoup d’investisseurs qui viennent en Afrique. Ceci n’est rien d’autre qu’un moyen pour que les chefs Africains acceptent tout et n’importe quoi. Comment le général Al Sissi, président de la grande et fière Egypte a fait pour imposer un partage 50/50 avec la compagnie Italienne ENI qui a découvert des réserves de gaz estimées à 80.000.000 de m3 ? Je signale que le Général avait catégoriquement refusé de mettre une seule livre dans les recherches qui ont durées deux ans. Ceci pour dire que tout dépend des chefs que nous avons en Afrique noire, parce que l’Egypte n’est pas plus sûre que les autres pays d’Afrique, en majorité !