spot_img

Le petit dictateur de Mbodiène. Par Adama Diouf

Date:

« A partir d’aujourd’hui, je n’accepterai plus d’être attaqué impunément.  Je ne permettrai plus à personne de porter atteinte à l’image du président de la République… . Ce n’est pas moi qui le dis ; c’est la Constitution de notre pays ». Yaya Jammeh ? Non,  Macky Sall. Ils sont bien du président de la République du Sénégal, ces mots, et ils traduisent son état d’esprit. Ils ont été prononcés, samedi 22 décembre, loin de Dakar, à Mbodiène, sur la petite côte, bourgade sérère, nichée au cœur d’une magnifique lagune où, agriculture, tourisme et biodiversité font sa recette.

Face aux violentes attaques du Pds (opposition), Macky Sall joue la carte de la menace. Il veut se réfugier derrière la constitution pour fermer le claquet à ses opposants ou les envoyer en prison. En parlant comme il l’a fait à Mbodiène, il a choisi le portrait le plus mauvais et le plus caricatural des dictateurs.

Il faut naître, un certain samedi 22 décembre 2012, pour croire que le président de la République, s’adressait seulement aux dirigeants du Pds. Non, il s’adressait plutôt à toutes les plumes et voix  contestataires de sa politique.

On peut comprendre que le chef de l’Etat ait le droit de se défendre. Nous ne lui refusons pas ça, tant s’en faut. Mais il doit prendre de la hauteur et éviter de se mêler dans des débats du café du commerce (comme on en voit tous les jours dans ce pays), comme le font les philosophes de comptoir.

Totalement surréalistes et grotesques, les accusations de Me Amadou Sall, ne devaient pas l’amener à sortir des clous, quelle qu’ait pu être leur tonalité.

C’est connu par ses proches, Macky Sall n’aime pas les critiques et la contradiction. Mais il doit savoir, la démocratie est une épreuve ;  être un démocrate, c’est accepter la liberté de pensée ; être un président de la république, c’est  s’attendre à tout : aux critiques, attaques,  piques les plus violentes et aux accusations les plus fantaisistes.

Que ça soit clair, je ne défends pas Me Sall, que je ne  connais pas et pour lequel je n’éprouve ni sympathie, ni antipathie. Mais, il a dit ce qu’il pense ( vrai ou faux). Même si c’est gros, insipide et puéril.

Pourquoi le président et ses partisans s’étonnent t-ils de ses paroles ?  Il a parlé comme la plupart  des  politiciens de ce pays, je dirais  même du monde entier. Il n’a pas fait pire que le président Makcy Sall. Rappelez vous, le candidat avait accusé publiquement, lors de la présidentielle de 2012,  l’ancien directeur de la Rts, Babacara Diagne, (qu’il a nommé par la suite, ambassadeur en Gambie) d’avoir voulu  publier des résultats truqués, fabriqués par le régime de Wade. Grave accusation ! Qui mettait, non seulement en danger,  Babacar Diagne,  mais aussi, tous les agents de la Rts et la stabilité du  pays. Pire, en pré-campagne, il accusa le président Wade de recruter des mercenaires venus de la Côte d’Ivoire, obligea ainsi, Abidjan de fendre un démenti sous forme de communiqué.

Me Sall, n’a pas,  non plus, fait pire que les Dias, dont le père est un fervent soutien du président de la République. Devant les caméras du monde entier,  Jean Paul Dias accusait Wade de vouloir faire le sang de son fils, un bain mystique pour se réélire. Même les accusations à l’emporte pièce n’ont pas épargné le sage Dansokho, (pour qui j’ai beaucoup d’estime)  aujourd’hui  proche collaborateur de Macky Sall, qu’est ce qu’il n’a pas dit sur Wade? De tout : de toutes les indécences du monde. De tous les président de la république sénégalaise, il fut le plus accusé (à tort ou à raison), insulté, humilié, ridiculisé, … par les politiques, simples citoyens et les divas médiatiques.

Et quand des jeunes rappeurs se mettaient à le critiquer avec des mots virulents et inconvenants, Macky Sall, Moustapha Niasse, Bathily, Tanor … étaient derrière en train de les écouter et applaudir.

Alors Monsieur Président, le problème n’est pas nouveau. Vous ne pouvez pas empêcher les gens de dire ce qu’ils pensent, de votre gestion et de vos actes. Vous entendrez plus même. Le pire reste à venir.

En tant que président de la République, vous n’avez pas besoin d’aller en justice pour défendre votre image. Le jour du jugement (la prochaine présidentielle), Votre bilan sera votre défense, face à une justice plus équitable,  plus impartiale… : la justice du peuple.

Alors, vite au travail et  « Bien faire et laisser braire ».

Adama Diouf

 

PS. J’ai ajouté Mbodiène, pour faire clin d’œil aussi, à un ami, originaire de cette localité, généreux, sérieux, honnête, sincère et pieux (chrétien).

A vous tous, chers lecteurs, bon Réveillon de Noël

MACKYMENACE

22 Commentaires

  1. Le Président Macky SALL donne ici l’occasion à tous les citoyens épris de justice de se lever et d’etre plus déterminés à donner leur opinion dans la marche du pays.Si c’est un conseil qui vient d’un de ses nombreux ministres conseillers,il doit le limoger.Les langues vont se délier et c’est un début.Pour un rien,il a montré son vrai visage.Nous sommes dans une démocratie quoi de plus normale que de donner son point de vue par rapport à un problème bien défini?Me Amadou SALL dit ce qu’il croit comprendre de cette situation,vrai ou faux,il l’a dit et assume ses propos.Et s’il avait raison?Le Président WADE a subi toutes les insultes du monde,trainé dans la boue,calomnié,vilipendé,traité de cannibale,tué,enseveli sans etre enterré et pourtant il n’a pas bronché sinon quand avec humour,il disait qu’il va enterrer ceux qui voulaient l’enterrer si vite.Monsieur le Présidsent SALL,quand on veut diriger un pays on ne tire pas sur tout ce qui bouge.Quand on veut diriger un pays ,on s’arme de patience ,de tolérance ,d’intelligence et d’écoute,de competences et d’actions sinon vous allez verser dans la dictature et la tyranie.Le jour de la déchéance arrivera et gare à vous Mr le Président.

  2. Adama, un conseil: continue comme ça. Garde ton indépendance et sois toujours objectif. Ne fais pas comme les autres qui ont tôt vendu leur âme au diable et à l’argent. Que Dieu vous garde et protège votre site xalima, la référence.

  3. Ce que Adama Diouf relève ici c’est la complexité même de la personnalité publique, politique, artiste ou autre qui ne s’appartient plus. Si la plus part des hommes et femmes célèbres portaient plainte contre toutes les formes de diffamations et d’insultes, les tribunaux ne consacrerait leur temps rien qu’à instruire ce genre de dossier. Parfois au Sénégal, on a l’impression que les gens ne savent qu’insulter ou être vulgaire, sur le net notamment. On a complètement galvaudé cette notion cardinale qu’est la liberté d’expression qui est devenu pour des politiques et des personnages médiatiques un moyen d’insulte et de dénigrement. Mais que peut faire la personne offensée ? Si c’est un politique au pouvoir on prétendra toujours qu’il est contre la liberté d’expression. C’est pourquoi la position des personnalités politiques est plus délicate. Que faire finalement ? Ne rien faire justement. Laisser faire, se laisser insulter, se laisser calomnier et rien d’autre. Ne surtout pas répéter les erreurs de Diouf (répression tous azimuts) ou celles de Wade (menaces et bavardages inutiles). C’est difficile et parfois ça peut faire mal mais partout dans le monde, surtout dans le Sénégal d’aujourd’hui, le dénigrement devient un argument politiquement rentable. Plus de morale ni rien. Un petit de rien du tout qui insulte quelqu’un qui pourrait être son père (ou mère) ou même son grand père (ou grand mère), c’est la triste réalité de notre pays et la vie politique en fournir des exemples édifiants. Adama Diouf a raison : le pire pour Macky Sall reste à venir. Il devrait laisser faire et continuer son boulot, ne jamais répondre aux provocations mais seulement aux besoins des sénégalais. Après tout, s’il doit rendre compte, ce sera uniquement au peuple et non aux maîtres chanteurs médiatiques et politiques. Je crois quand même que les médias devraient aussi faire leur travail. Pourquoi quand un journal ou un journaliste dérape aucun autre organe de presse ou aucun autre journaliste ne le dénoncer ? Dans notre Sénégal, si un média ou un journaliste en attaque un autre c’est souvent, pour ne pas dire, toujours pour de bas intérêts et jamais pour des questions d’étique. Il est temps que la presse fasse son travail avec plus de rigueur et ne pas accepter la facilité. Même les démentis ne sont jamais assumés (certains avaient dit qu’un mandat d’arrêt avait été lancé contre Karim Wade, ce qui était archi faux car dans aucun pays on ne délivre un mandat d’arrêt comme ça, au Sénégal encore moins, mais le journal en question a réitèré ses affirmations sans broncher et sans conséquences. Extraordinaire quand même ! Comme de fois un organe de presse a annoncé la mort d’une personne connue alors que c’était faux ?). Parfois ce sont de petits trucs, mais mis ensemble, on se rend compte de manque de responsabilités de nos médias et surtout de leur légèreté. Mais ça ne les dérange pas. Je ne parle même pas des sites internet qui laissent passer tout et n’importe quoi.
    Merci Adama Diouf pour cet article juste et vrai. Macky Sall tient là un excellent conseil, qui appliqué lui voudra bien des réussites.
    Wa salam

  4. Tout le monde a le droit d’emettre des critiques contre le Pr actuel sauf son prédecesseur Wade, le versatile de Versaille .

    Nous lui avions confié la Magsatrature Suprème durant pusieurs années. Il a usurpé d’un second mandat et s’est imoosé pour être candidat à un troisième mandat. A la fin , il a instauré le népotisme abusé , en voulant nous refiler son oligophrène cleptomane. Il a voulu soumettre tous les hommes valeureux aux services de ses dérives fantasques .
    L’un d’entre eux a pris son courage à deux mains pour l’affronter.
    Epris de djom, il l’affronté malgré les menaces et intimidations .
    Soutenu par le peuple souverain, il a retiré le pouvoir usurpé à Wade Ubu.

    Il faut que WAde se taise et arrête la manipulation contre la République.

    Que son fils transige , rende l’argent au trésor public et s’éxile dans son pays natal, la France terre d’accueil d’…un Hongrois comme Sarkozy..

  5. BRAVO Adama, trés bonne analyse, que des vérités. J’ai toujours pensé que cette homme cachait quelque chose, maintenant je crois qu’il cache des faiblesses, et peut etre de la peur face à ses responsabilités.

  6. The moron is showing all his colors now! Sans en prendre en conscience, si cette information est prouvee, Macky Sall donne au MFDC l’occasion de monter en puissance et d’exiger une redistribution des cartes aux prochaines negociations. Comment pourrait on au regard de ces prebendes accordees aux negriers modernes que sont les « CHEFS » confreriques ne pas acceder aux exigences irredentistes de nos compatriotes du sud. Le Senegal est dorenavant sur la ligne rouge ou son legendaire equilbre social risque d’etre torpille par la faute d’un President-talib. Attention! Tout peut arriver. Voila un fourbe qui s’est joue des charlots de Benno Senegal pour se retrouver just like that catapulte a la Presidence da la RepubliqueQue pouvait-on esperer d’un individu qui a ete pendant 9 ans dans le coeur du dispositif que nous avions tous combattu . La republique des
    marabouts, des talibes, celle la meme contre laquelle peuple senegalais a lutte pour deboulonner wade est le levier dont se servira le petit Macky Sall pourv regner . En votant contre Wade en 2012, le peuple senegalais lancait par la meme occasion une volonte de se liberer du joug (le mot est juste) de l’entente politic0-maraboutique pour revendiquer la prise en charge de son propre destin, et non par l’entremise d’un quelconque obscur demiurge: qu’il fusse de Touba, Tivaoune, Ndiassane ou de je sais quel autre bourg « religieux ». Entre nous qu’est ce ces familles confreriques ont apporte a l’amelioration du bien etre des senegalais?

  7. Je me suis trompe de blog mais c’est en accord avec le registre sur lequel Macky Sall est entrain d’emarger. VOila un President qui perd la tete et se croit drape des grands habits loufoques d’un Empereur. Il faut jamais arreter d’apporter la contradiction et les ripostes necessaires quand la Republique vacille. Des gens au cerveau de moineau de Macky Sall n’ont rien a foutre dans une Republique. Meme Wade, ridicule, traine dans les boues de Dagoudane et Lompoul fait mieux sur ce registre.

  8. @M. Adama diouf
    Dans une République qui se respecte, les citoyens doivent « RESPECT » à leur Président. D’après votre analyse à deux balles, le Sénégal serait une République bananière où tout le monde insulte et manque de respect à celui que le peuple a choisi comme guide. Epargne nous de ce genre de contribution. Nafeekh nga rek

  9. Pour dire vrai, j’ai honte.I’am ashamed.Nous avons un président de la république bizarre.En plein conseil présidentiel,il répondait à Madiambal, qu’il ne voulait pas faire l’ojet de critiques de la part des médias, alors il a instruit au ministre des finances de ne plus réduire l’aide à la presse, d’environ cent millions.Notre Président se préoccupe plus de son image qu’à celui de son peuple.Ce dernier doit se préparer à découvrir d’autres facettes de ceux qui nous dirigent aujourd’[email protected]

  10. adama diouf bayil nafekh si tu es journaliste fait ton travail de journaliste et ne fouille pas autres chose ce pays est à la dérive abdoulaye wade a instauré le bordel dans ce pays jusqu’à ce que persone ne sais plus se limiter ce n’set pas çà la démocratie ségégal si tu esaie de mettre de l’ordre tous les nafekh et saytanés se lèvent pour jouer leur rôle çà c’est fini je viens de comprendre que si le parti socialiste se laisser faire il ne durera pas ici tu est un fumistre ADAMA DIU+OUF PARCE CE QUE ON NE VOUS DONNE PLUS DE L ARGENT CEST çà la vérité

  11. Je réagis rarement maintenant , mais je ne cesse d’admirer la pertinence de Monsieur Adama Diouf, qui a osé dire ce que beaucoup de journalistes pensent mais qui ont ce complexe de la Vérité.

    Diouf est un modèle…….relisez toutes ses contributions et vous vous rendrez compte.Je sais pas mais bizarrement même les Xalimanautes s’y mettent, ça se voit que seul le bon sens compte.Rien de plus.

    Quant’ à Macky (Heureusement j’avais pas voté pour lui), je l’ai toujours considéré comme un aigri, une personne « mégalomaniaque » et « autocratique ». Ceux qui ont détourné de l’argent public, n’ont qu’à rendre et répondre à la justice.Si on était dans un pays normal, un pays indépendant ce serait la justice elle-même qui s’occuperait de ces cas de malversation financière, sans que l’Exécutif ne soit mêlé ni de près , ni de loin, je rêve de cette justice là dans mon pays.Wassalam

  12. C’est à se demander parfois que veulent les sénégalais? En démocratie on se respecte sinon c’est le désordre et la pagaille. C’est ce que veulent les gars du PDS et c’est ce qui leur reste à faire.
    Me Wade était l’instigateur de tout ce grabuge passé; il foulait au pied tout et ne se souciait point de ce que l’opinion allait penser et des torts qu’il nous causait. Et voilà, il prend une bonne leçon de démocratie: un score à la communiste au 2nd tour.
    Macky a bien fait d’avertir! Maintenant la justice s’occupera du reste sur ce régistre.
    Kilifa bene yone lay wakh!(le responsable ne parle qu’une fois)
    Même dans la vie courante on ne s’envoie pas des insannités. A plus forte raison entre des gens dépositaires d’un mandat électif donc polarisant une certaine légitimité.
    Je ne suis d’aucun parti politique mais observant cette scène politique depuis les années 78 (j’étais à l’école primaire et j’achetais le journal politicien), il est temps de changer une bonne frange de ces politiciens car n’étant plus actuel car les urgences sont ailleurs mais pas dans ce verbiage que nous interdisons à nos enfants. La vraie question qu’il faille posée est :Qu’est-ce qui s’est passé pour faire perdre le calme à Me Amadou Sall? Je pense que c’est du sérieux qui avance vers eux.
    Nous avons grandi dans l’ajustement structurel (au temps ou les gens mangeaient de la semoule et du « Béréfs » (pépins de melon salés), nous avons débuté notre vie active (j’ai débuté en 1992) dans la dévalaution (1994)en supportant nos familles et vous voulez que nous préparions notre retraite avec cette fratrie de farceurs PDS! Pour l’amour et l’avenir de nos enfants, droits dans nos bottes nous refuserons!
    Notre génération jouera sa partition et lucidement. regardez bien autour de vous:les magistrats, les ministres, les Dg de société, préfets, officiers,etc.. sont de quelle génération.
    Même après Macky nous traquerons ces bien mal acquis. Des pays ont mis 20 ans pour retrouver leus biens. nous aussi nous prendrons le temps qu’il faut.
    Wa salam!

  13. Nous saluons le discours de Modiène du Président de la République, Son Excellence Macky SALL. Discours hautement nationaliste à haute portée économique et sociale qui a clairement ébranlé le camp des pilleurs de la République d’où sûrement ce texte honteux du pseudo-Journaliste Adama Diouf. Texte tiré par les cheveux, truffé de contre-vérités gratuites,nul et qui explique pourquoi le site Xalima est si désespérément nul…
    «L’argent du pays appartient au Sénégal et celui qui le prend illégalement le rendra de gré ou de force ». C’est la ferme mise en garde lancée par le chef de l’Etat, Macky Sall, samedi dernier, dans le cadre de l’Université d’Eté des jeunes de l’Alliance pour la République (Apr). Elle prend d’autant plus de relief qu’elle intervient au moment où le défilé de quelques dignitaires de l’ancien régime se poursuit à la brigade de recherches de la gendarmerie de Colobane…
    Nous redisons notre soutien le plus total au Président de la République et lui demandons d’aller au bout de sa logique salvatrice pour l’émergence d’un Sénégal plus Juste et plus prospère…

  14. L’argumentaire biaisé!!!
    J’ai bien écouté le President Macky SALL et j’ai bien lu et relu votre contribution et ce qui me permet d’y jeter mon grain de sel.Votre contribution aurait pu valoir tout son pesant d’or si votre postulat de départ était solide. Mais, très cordialement, la rigueur n’est pas de mise. Le style « C’est connu par ses proches, Macky Sall n’aime pas les critiques et la contradiction » me fait penser à ces journalistes qui, en manque d’éléments tangibles et plausibles » versent dans le subjectif. Pour paraphraser Coluche je dirai, justement dans ce registre, comme vous « selon les milieux autorisés », ou simplement « il paraitrait ». Pensez-y la prochaine fois, au risque d’entacher votre crédibilté
    Xalima-nautement

  15. […] • Utilisation abusive de l’article 80 du code pénal, offense au chef de l’État, un fourre-tout, une sorte d’épée de Damoclès sur tous les citoyens sénégalais et une arme politique pour museler les adversaires politiques (Lire cet excellent article visionnaire Le petit dictateur de Mbodiène ); […]

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_img

DEPECHES

DANS LA MEME CATEGORIE
EXCLUSIVITE

Une Nouvelle Route Vers la Prospérité : Comment le Sénégal Peut Capitaliser sur la Ligne Maritime Agadir-Dakar

L’ouverture par la société marocaine Atlas Marine d’une nouvelle...

Une justice à deux vitesses et les dispositions claires de l’article 272 (Par Pape Konaré DIAITÉ )

Dans une République où l’état de droit est constamment...

Suspension des permis de construction dans les régions de Dakar et Thiès : Le gouvernement envisage une main-levée conditionnelle

XALIMANEWS-Le Secrétaire général du gouvernement a publié une note...