Alors que l’intéressé a nié les propos qu’on lui prête, les condamnations ont continué de plus belles venant surtout le plus souvent de dirigeants qui veulent jouer aux vierges effarouchées.
Entre « l’Afrique de merde » de Donald Trump et les dirigeants qui traitent leur peuple comme du bétail, la frontière est ténue.
Autant économiser notre energie d’indignation pour autre chose car de toutes façons avec Donald Trump ce sera toujours « suite et jamais fin » de la série de dérapages.
Chronique signée Abdoulaye Cissé