XALIMANEWS : Démissionnaire de la magistrature, l’ex juge Ibrahima Hamidou Dème a annoncé la création de son mouvement politique, « Ensemble, changeons le Sénégal ».
Invité ce samedi 31 mars sur le plateau de télé de la 2STV, dans l’émission « Ça me dit Mag » du confrère Pape Alé Niang, le juge Dème informe, « Je suis entré dans la politique depuis ma démission. Je suis libre, je suis en réflexion avec des amis, dans les prochaines semaines, nous allons mettre en place notre mouvement politique».
D’ailleurs, le juge Dème a lancé un appel à ses concitoyens à se joindre à lui pour « ensemble, changer le Sénégal ».
« Nous invitons les Sénégalais à venir nous rejoindre pour une politique des valeurs », a annoncé le juge Dème, qui a par ailleurs souligné que » la pédagogie a été faussée dans le procès de Khalifa Sall ».
Je vote pour vous Monsieur merci
Voilà un sénégalais honnête et qui sait que l’année à venir est un virage exceptionnel donc il va falloir choisir les vrais gens et s’allie avec eux.
On connait la chanson : il va bientôt déclarer sa candidature pour 2019 et comme les autres, puis il va devenir spécialiste du chantage dans d’éventuelles coalitions sachant qu’il va directement grossir les rangs du 0,05 % des suffrages (comme les Alassane Sène, Gackou, Abdoul Mbaye, Guirassy). Il va bientôt s’opposer au parrainage et on sait pourquoi…
Il faut pas avoir peur de l’avenir. M. DÈME ne ressemble à aucune personne ici et c’est dans l’intérêt de la jeunesse de le tester. Je veux vous faire comprendre que c’est dans notre intérêt d’avoir un représentant comme lui car tout ce qu’il connait c’est rendre sa justice au peuple sénégalais. pas de politique politicienne avec cet homme de foi fidèle à ses principes.
Rien dans le discours (si c’est sincère de sa part) ne le distingue du discours de Ousmane SONKO. Il aurait été beaucoup plus crédible en intégrant un Parti vraiment patriotique tel que Pastef-Les Patriotes… Mais vouloir créer un nième mouvement politique et demander qu’on se range derrière lui, c’est un peu trop fort…Et le coup de »sombréro » à la MACRON ne passera pas.
Ce sont seulement les vrais gentleman comme lui qui osent se mettre à leur propre compte et je vous le certifie que c’est vraiment efficace et comme Macron et Obama DÈME va passer au premier tour
IL SERA BIENTOT DANS LES OUBLIETTES PARCEQUE LES SENEGALAIS NE SONT PAS DUPES .
C EST LUI QUI A ASSISTE AUX DETRACTEURS DES MAGISTRATS
Il sera bientôt candidat à l’élection présidentielle de 2019. Les sénégalais sont vraiment conscient c’est pourquoi ils ne partagent pas votre inquiétude.
Le message est très clair Monsieur DÈME. Vous êtes entré dans la politique depuis cet acte exceptionnel de courage que vous avez posé. Votre conscience a toujours été votre atout. Comme votre excellent amie, elle est la première a vous tenir loin de l’impasse, loin de la honte, donc plus prêt de la vertu. Vous êtes libre, et vous pouvez compter sur vos amis qui ne vont ménager aucun effort pour servir l’homme né pour servir une grand dessein. Nous sommes les premier à soutenir cette vision de sénégal du progrès.
Ensembles changeons le Sénégal.
OUI C’EST POSSIBLE.
DEME PRESIDENT C’EST POSSIBLE.
D’ailleurs, le juge Dème a lancé un appel à ses concitoyens à se joindre à lui pour « ensemble, changer le Sénégal ».
« Nous invitons les Sénégalais à venir nous rejoindre pour une politique des valeurs
À Monsieur Ibrahima Deme, magistrat démissionnaire de la fonction publique d’État.
1 avril 2018
Cher Monsieur,
Je réponds à votre lettre ouverte par laquelle vous cherchez à nous embarquer dans la contestation des institutions républicaines, notamment le président de la République et le Conseil Supérieur de la Magistrature. Vos allégations d’instrumentalisation sont non seulement mensongères mais ne résistent pas à la revue de la seule fonction présidentielle de nomination au sein de ladite instance. Il valide la sélection de vos pairs. Aussi, nous n’avons pas connaissance d’un processus de fragilisation ni d’actes réputés malmener l’institution judiciaire. Les autorités politiques tout comme les citoyens ordinaires se soumettent à la souveraineté de la loi et savent parfaitement que les magistrats, hauts fonctionnaires totalement décomplexés, peuvent briser des élans et se retirer des dossiers sans frais. Les discours du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, relevés devant l’Assemblée Nationale sous le contrôle des honorables députés et de l’Union des Magistrats du Sénégal, manifestent un grand respect de l’institution judiciaire et une sincérité éprouvée dans le traitement des causes syndiquées. Si la magistrature du Sénégal fonctionne indépendamment des régimes politiques, c’est que les anciens ont su poser des débats opportuns, inspirer des mesures dédiées à la construction d’une administration judiciaire post-coloniale libre et indépendante. En 2018, vous seriez magistrat au Gabon, au Nigéria ou au Ghana, vous n’auriez aucune liberté ni celle de démissionner.
Par ailleurs, votre science aurait été plus utile à enrichir les débats sur le dérèglement global de la sécurité publique dans un contexte de lutte contre les extrémismes et les crises de leurs manifestations, le durcissement de la réglementation dédiée à la protection de la petite enfance et la tolérance des incivilités, des délits et des crimes en contexte électoral. Nous abreuver de textes bavards qui énoncent des jugements de valeur, il faut vraiment s’être écarté de la noblesse de sa mission pour le faire. Un magistrat n’est pas un militaire pour “capituler” devant l’autorité politique. Il est investi d’une mission républicaine au-dessus de toutes celles codifiées par le législateur ou le pouvoir exécutif. Il peut même pénaliser le président de la République à l’issue de son exercice. En votre qualité de citoyen, débarrassé de la fonction judiciaire, vous avez maintenant le droit de militer en politique et d’en subir la dure réalité.
Plus loin, vous évoquez la “longue culture d’honneur, de dignité et d’indépendance de la hiérarchie judiciaire”. Vous n’ignorez pas que les anciens n’ont jamais marqué l’institution avec des démissions spectaculaires, sensationnelles et émotionnelles, sauf celle qui “lâcha la République au milieu du gué” qu’on cherche toujours à « romancer » avec des discours sur l’éthique et la déontologie. Maintenant parlons politique, ce sport de combat que nous comprenons très bien. Vous dites que les “sénégalais sont fatigués” pour singer un discours, prononcé il y a 37 ans, qui dénonçait une “augmentation exponentielle des prix des denrées et des charges domestiques” étrangère à son auteur. Vous ne nous direz pas que les prix des denrées de base suivent la trajectoire d’un avion en phase de montée en trajectoire. Le régime a non seulement réussi, et pour la première fois dans l’histoire de notre société politique, à bloquer les prix depuis 6 ans mais a su normaliser la baisse des charges domestiques.
Suivant l’ordonnancement de votre texte, nous sommes d’accord que la sécurité est l’affaire des services de l’Etat. Nous demandons la reconduction de la politique de “tolérance zéro” même avec des « Baye Fall » en marche. L’indiscipline et l’insalubrité révèlent la persistance de comportements anormaux et la difficulté à corriger des adultes mal éduqués. Ce n’est pas de l’indignité, du déshonneur, de l’improbité et de la déloyauté. Des concepts forts pour des citoyens habitués à la deconstruction des valeurs et des normes, processus antérieur à l’élection du régime en exercice.
Sur la politisation des acteurs publics, il faut méconnaître l’histoire du Sénégal pour dater le processus en 2012. L’activité remonte à la condition coloniale entre les groupements de résistants et de collaborateurs. Les archives coloniales nous permettent de les renseigner. Après le transfert des pouvoirs souverains, des fonctionnaires ont servi, sous couvert de la technostructure de l’État, des régimes et les autorités politiques pour diverses raisons. D’autres se sont retrouvés nuitamment avec des clandestins pour planifier le dérèglement des services de l’État. Leurs carrières ont bien entendu été cassées par un régime socialiste impitoyable. Les fonctionnaires syndiqués et contestataires ont toujours disputé le monopole de l’intégrité à leurs collègues convaincus de l’opportunité des politiques de la majorité.
Enfin, si vous êtes si sûr que “ceux qui décident ne savent pas”, dites-nous ce que nous ne savons pas ou qui devrait l’être mais demeure omis par ignorance. Retenez que le Sénégal est un pays bien gouverné qui garantit toutes les libertés dans l’ordre.
Samba Alassane Thiam
Que les mots sont des idées mes amis je vous invite à bien vouloir lire ce monsieur qui semble descendre de la planète mars.
Nous savons que le Sénégal est diriger par quelqu’un dont le soucis est de bien faire seulement nous sommes convaincu que DÈME peut mieux que l’actuel président qui est entrain d’améliorer timidement le vécu des sénégalaise. Sans doute de nouvelles directives qui se démarquent de l’ancienne école peuvent changer les choses.
Nous savons que le Sénégal est diriger par quelqu’un dont le soucis est de bien faire seulement nous sommes convaincu que DÈME peut mieux que l’actuel président qui est entrain d’améliorer timidement le vécu des sénégalaise. Sans doute de nouvelles directives qui se démarquent de l’ancienne école peuvent changer les choses.
Ensemble changeons le sénégal.
Sierra-Leone: le candidat de l’opposition remporte la présidentielle
Julius Maada Bio, candidat du parti d’opposition SLPP, a remporté l’élection présidentielle organisée samedi au Sierra Leone, montrent les résultats officiels auxquels Reuters a eu accès mercredi.
Ce genre d’information nous réconforte dans notre position de soutien à un potentiel candidat qui peut faire la différence en 2019.
Il était opposé à Samura Kamara, issu de l’APC (Congrès de tout le peuple), le parti du président sortant, Ernest Bai Koroma.
Le magistrat en chef de la Cour suprême a déclaré à Reuters que le vainqueur du scrutin prêterait serment dans la foulée de l’officialisation du résultat.
un autre illuminé qui est atteint de ce meme syndrome (l’illuminisme).
Vouloir creer un model qui n’existe nul part ailleurs que dans sa tetes .Il n’a qu’a alle en Guinée voir Alpha Conde ou en tunisie en libye en irak et leur demande si ils ont respecté ce qu’il avaient promis a leur peuple .
plus simple allez voir sarkhozy ou fillon et leur demandé si la justice francaise fonctionne bien .Dans une démocratie on est libre de creer son parti ou de s’opposer mais de grace ne nous brouillez pas avec ces comportement hypocrite just pour faire le buzz
Cher Monsieur Dème Respect !!!
On vous le doit. Parce que l’engagement, ce n’est pas du blabla, c’est un sacrifice, malgré la diversion que veulent semer des commentaires malhonnêtes.
Bon vent.