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pr Khadiyatoulah Fall Université du Québec à Chicoutimi : «Macky Sall ne doit pas reproduire ce qu’il a vécu»

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De loin, il suit avec passion la situation politique sénégalaise. Professeur Khadiyatoulah Fall, responsable de la Chaire d’enseignement et de recherches interethniques et interculturels de l’Université du Québec à Chicoutimi, jette son regard d’expert sur les premiers mois de Macky Sall à la tête de l’Etat,
l’avenir de la coalition présidentielle où se concentrent plusieurs personnalités politiques de ce pays, la recomposition de la famille libérale. Dans cet
entretien, il revient aussi sur les rapports entre l’intellectuel et le politique.
Professeur, que vous inspire le rythme actuel du pouvoir de Macky Sall après 100 jours ?
Je ne fais pas de la focalisation sur cent jours d’un pouvoir. C’est un peu trop court. Dans un an, on verra s’imprimer une orientation et on percevra où le Président Sall veut mener le Sénégal. Si je dois retenir aujourd’hui quelque chose, c’est que le Président Macky Sall a accepté «volontairement d’être un président sous haute surveillance». J’avais écrit lors du second tour que le Sénégal entrait dans l’ère des présidents sous haute surveillance. A travers cette expression, je me démarque de ceux qui disent que Macky Sall est aujourd’hui otage, qu’il est cadenassé et qu’il ne peut pas bouger. L’attitude de Macky Sall qui donne une visibilité, une présence, une écoute à ses alliés est une attitude bien réfléchie. Elle lui permet même de se protéger contre les dérives possibles, les précipitations de son jeune parti. Il a un jeune parti qui est en train de se structurer, qui se cherche, qui a besoin d’être tempéré dans ses exigences d’un nouveau parti qui prend le pouvoir.
Est-ce qu’il a un véritable parti ?
Oui, il a un parti mais un parti qui arrive soudainement au pouvoir et dont les membres sont issus de différents horizons. Ce parti a plus besoin d’élaborer son identité. Et dans ce contexte, il a besoin d’être bridé. Et la présence à côté du Président Sall de personnalités fortes comme Tanor Dieng, Mous­ta­pha Niasse, Abdoulaye Bathily, Idris­sa Seck, Amath Dansokho, personnalités en provenance d’autres partis, qui ont pour certaines une assise populaire et politique, pour d’autres une assise intellectuelle et symbolique, cette présence force la prise en compte dans l’Apr d’une attitude de partage du pouvoir. Macky Sall sait que ces personnalités n’accepteront pas tout. Il y a dans cette attitude con­sentie d’être un Président sous haute surveillance, une démarche d’éducation au partage du pouvoir.
Est-ce pour éviter ce qui s’est passé avec Wade ?
Macky Sall a été avec Wade, les chefs de partis qui l’accompagnent ont été avec Wade. Ils connaissent tous ce qu’a été jusqu’ici l’expérience du pouvoir politique au Sénégal. Prendre le pouvoir a toujours été : «Pousse-toi pour que je m’y mette.» C’est regrettable à dire mais, Wade avait pris tout le pouvoir et décidait de tout. L’espace politique actuel semble converger vers la volonté de ne plus reproduire le même cheminement. Il y aura peut-être plus tard des clashs entre les alliés, mais il semble se dessiner un nouveau vivre ensemble du politique marqué par le refus de l’appropriation unilatérale du pouvoir.
Mais est-ce-que cela ne désagrège pas trop son pouvoir en tant que chef d’Etat qui a besoin d’asseoir son autorité ?
Je ne pense pas que Macky Sall donne l’impression de quelqu’un qui ne dirige pas la barque. Il a su montrer une autorité pour la désignation du président de l’Assem­blée nationale et montrer aussi qu’il tient bien son parti. Il y a aujourd’hui un autre visage de la configuration politique qui se présente et à laquelle les Sénégalais ne sont pas habitués. Ils y voient une complexité, un avenir d’incertitudes, une déchirure à venir. Le Sénégal était en panne de cadre pour le dialogue politique et l’intelligence des uns et des autres et donner un destin à cet attelage participe à l’éducation démocratique. Etre avec les autres, savoir écouter les autres ne veut pas dire absence d’un pouvoir fort.
Etes-vous d’accord avec ceux qui disent que Macky Sall est un Président par défaut ?
Par défaut de quoi ? Il y avait une forte motivation durant l’élection présidentielle et c’était de faire partir Wade. Il y avait des candidats et le Peuple a choisi celui qui inspirait le plus confiance. Je ne crois pas qu’il puisse s’élever une querelle de légitimité. Après le score décevant de Wade au premier tour et celui surprenant de Macky Sall, aucune autre option que celle de rejoindre Macky ne s’offrait à ses alliés d’aujourd’hui. Le rythme, les motivations, les en­jeux, les propos tenus, les gestes posés durant la campagne les obligeaient à suivre Macky Sall, au ris­que d’être désavoués par leurs militants.
Ce qu’il faut dire aussi, c’est que Macky Sall sait gagner des élections. Il a porté Wade au pouvoir lors de la Présidentielle, il a gagné lors des Législatives. C’est depuis qu’il est parti que Wade a commencé à avoir moins de succès lors des élections et a perdu en 2012.
Comment expliquez-vous le succès de Macky Sall à cette élection présidentielle ?
Ce n’est pas parce qu’il a décliné un programme économique, un Yonuu Yokuté (programme de cam­pagne de Macky 2012) qui a captivé l’attention des Sénégalais. L’explicitation du Yonuu Yokuté est encore à expliciter. Je crois qu’il a su rencontrer une sensibilité, une aspiration des Sénégalais dans un grand moment de cacophonie des valeurs et un moment d’inquiétude. Les Sénégalais avaient déjà un préconstruit favorable sur la figure de Macky Sall. Il a été un Premier ministre travailleur et peu polémiqueur. Mais c’est surtout sa révélation comme porteur d’un avenir de paix et de stabilité qui a fait sa victoire. Contrairement à ce que disent les analystes, il y a bien eu un ndiguël, mais sous une for­me différente. Le ndiguël renvoie d’habitude à l’injonction ex­plicite d’un chef religieux à l’endroit de ses disciples afin de voter pour X ou Y. Cette fois-ci, l’attitude de la plupart des chefs religieux et des chefs coutumiers a été d’inciter à voter pour une idée, une valeur : la paix. L’expression «paix», avec ses prédications «paix sociale, paix politique, paix religieuse», a été statistiquement l’expression la plus fréquente de la campagne électorale. Et elle a eu une forte disponibilité chez les guides religieux. Plusieurs chefs religieux ont demandé de voter pour la figure, pour la personnalité qui incarnait le plus un avenir de paix. Lorsque Wade rencontrait les chefs religieux pour demander un ndiguël dans son acception traditionnelle, Macky Sall arrivait le lendemain pour laisser l’image de celui qui incarne la paix pour demain. Mê­me s’ils défendaient dans la rue, lors des manifestations des positions légitimes, certains leaders politiques de l’opposition d’alors, par leur attitude parfois belliqueuse, re­van­charde, par le discours guer­rier qu’ils tenaient, ont donné l’impression de ne pas être des fi­gures de tempérance qui pouvaient garantir à l’avenir une situation d’équilibre et de dialogue. Les ré­sultats indiquent que le Président Wade, lui aussi n’a pas su convaincre comme un homme de paix, un homme du juste milieu et un hom­me de dialogue. Wade n’a pas incarné l’éthos de celui qui pou­vait rassurer et, comble de tout, en s’as­sociant à Béthio (guide des thian­tacounes emprisonné pour meurtre). Il est devenu l’anti-mo­dèle de la figure qui rassure.
Macky Sall et ses conseillers ont eu une sage lecture sociale et culturelle de la sensibilité politique des Sénégalais. Les images publiques associées à Macky Sall : une détermination et une pondération et l’éloignement de la furie guerrière des foules en ont fait l’homme serein qui inspirait confiance, qui saurait préserver la paix sociale et politique.
Le succès de Mansour Djamil Sy aux Législatives, avec 130 000 voix, reflète aussi la volonté des Sénégalais de faire émerger des figures politiques porteuses d’un éthos de dialogue. Mansour Sy, associé à Elène Tine, cela a été également perçu comme rencontrant l’appel à la réinstauration d’un autre espace de paix, celui de l’espace du dialogue religieux et de l’équilibre entre les confréries que plusieurs critiques accusaient Wa­de d’avoir déstructuré.
Macky Sall a un passé im­portant de compagnonnage avec le Président Wade. Com­ment se fait-il que ce passé ne soit pas devenu pour lui un handicap dans la con­quête du pouvoir ?
Le présent de Macky Sall n’est pas une page vierge. Si Wade se plaisait à dire (ce que d’ailleurs Ma­cky Sall reprenait, alors Pre­mier ministre de Wade) : «Les So­cialistes ne m’ont rien laissé», Ma­cky Sall ne pourra pas dire «Wa­de ne m’a rien laissé». Et de ce que Wade laisse, Macky Sall est un des artisans. Il est reconnu que Macky Sall a lancé les chantiers de Wade et c’est bien lui qui, le tout premier, a eu l’ambition de vouloir opérationnaliser la vision de Wa­de. Macky Sall a été directeur de campagne de Wade en 2007 et il a sillonné tout le Sénégal portant à haute voix le slogan weddi guiss bokku ci. C’est pour dire qu’il approuvait la vision par laquelle Wade voulait bâtir le pays. Macky Sall, comme plusieurs d’entre nous, a dit à un moment don­né : «Il est malheureux que le Prési­dent Wade ait pris le pouvoir si tard.» Peut-être aussi que cela n’est pas connu de tous mais Wade en 2007 pensait à reporter l’élection présidentielle et Macky Sall est un de ceux qui l’en ont dissuadé. Car il était convaincu que les réalisations de Wade pouvaient fai­re la différence. Et Macky Sall a gagné la Présidentielle et les Lé­gislatives.

Que Macky Sall ait le sens de ce passé n’entrave nullement sa liberté, ni son ambition de faire mieux. Croire qu’il faut renier pour construire est parfois une erreur. Macky Sall doit avoir un esprit du passé pour s’inspirer de ce qui a réussi, de ce qui aide à passer à l’avenir, mais aussi pour se délester, se détacher de ce qui a été honni, rejeté par les Sénégalais. De Wade, beaucoup de choses peuvent être critiquées. De Wade aussi, il y a beaucoup de réalisations, il y a des chantiers et la population comprendrait difficilement que certains projets qui ont tant mobilisé d’énergie et d’argent et qui sont porteurs ne puissent pas aboutir. Sur ces projets, la population réclame une poursuite et une gestion saine et transparente.
La situation économique du Sé­négal reste difficile et les Sé­né­galais seront encore confrontés à d’énormes problèmes. Ils sont fa­tigués de l’annonce répétitive d’une entrée dans l’émergence qui tarde toujours. L’émergence semble devenue une utopie. Les Sé­négalais auront à vivre d’autres sacrifices et ils n’accepteront d’accompagner les défis auxquels fait face Macky Sall que si sa gouvernance est juste et que si, lui-même, est un modèle d’éthique. Quand il n’y a pas de démocratie, quand l’esprit d’imputabilité et de subsidiarité n’existe pas, une société n’est pas préparée à entendre le discours de la vérité. Abdoulaye Wade est parti, non pas parce qu’il n’avait pas une vision qui pouvait être porteuse pour l’avancement du pays, pas une vision pour la création de la richesse. Ce que j’entends dire le plus souvent depuis que je suis ici, c’est que Abdoulaye Wade a été battu parce qu’il n’a pas été juste, parce que la paix sociale semblait déstabilisée, parce que la richesse créée n’a pas été partagée et parce que les Sénégalais ont senti un laisser-aller dans la gestion des biens collectifs et dans l’équilibre du pouvoir. En plus de faire aboutir ce qui de l’ancien régime est porteur, Macky Sall devra convaincre par une identité différentielle. Comment Macky Sall, en plus de la vertu démocratique, va-t-il marquer le futur économique du Sénégal ? Comment Macky Sall, nous fera-t-il espérer, rêver ?
Macky Sall a été élu malgré son compagnonnage avec Wade parce qu’il portait quelque chose de Wade que les Sénégalais ne peuvent totalement nier malgré leur déception. Wade a été un bâtisseur ; Macky Sall l’a aidé dans cette voie. Quelque chose des qualités reconnues en Wade a été perçu chez Macky Sall. Donc, les Séné­galais ont fait partir Wade sans totalement renier ce qu’il pouvait porter.
Qu’en est-il alors de l’héritage politique puisqu’on parle ici et là de la reconstruction de la famille libérale ? Peut-on vraiment reconstituer la famille libérale ?
Macky Sall est un libéral, il a déjà gouverné comme un libéral. Il gouvernera comme un libéral. Il ne parlera pas de déwadisation, ni ne se dira héritier. Il sera, comme l’a dit un ancien conseiller de Wade, dans un libéralisme de rectification. Il sera dans une logique de rectification des erreurs et des abus du passé. Après les décantations que feront les audits, l’espace politique sera moins obscur pour permettre des négociations pour les retrouvailles de la famille libérale qui ne heurteront pas la morale de la population.
Est-ce que la coalition Bby n’est pas limitée dans le temps à cause de la mutualisation des forces des gens qui viennent avec leurs ambitions politiques comme Idris­sa Seck qui n’a pas encore renoncé à être président de la République ? Quelle espérance de vie peut-elle avoir ?
Est-ce que Idrissa Seck, Tanor Dieng, ou encore Moustapha Nias­se n’ont pas d’ambitions présidentielles ? Est-ce que Djamil qui est la révélation des Législatives pour être sorti quatrième, n’a pas d’ambitions ? C’est valable aussi pour Cheikh Tidiane Gadio. Macky Sall n’est pas là pour faire un seul mandat. Certains de ses alliés partiront. Macky Sall devra savoir mé­nager les alliances et jusqu’à l’extrême limite pour ne pas donner l’impression de celui qui a provoqué les ruptures. Surtout il ne doit pas reproduire ce qu’il a vécu : construire des figures de victimes politiques.
Que sera, à votre avis, l’orientation du discours de politique générale du Premier ministre. Est-ce-que de cette Dpg va dépendre la survie de cette coalition ?
J’ai l’impression que l’application des conclusions des Assises et la suppression du Sénat ne sont pas les demandes urgentes de la population. Je serai surpris que ce soit-là les axes forts de la Dpg. Je crois que la Dpg tentera d’apporter des réponses en relation avec l’économie, les finances publiques, la bonne gouvernance, l’emploi, l’énergie, la demande sociale, l’agriculture et la poursuite des infrastructures indispensables. La population attend surtout que le gouvernement déploie la même audace dans la réponse à la demande sociale que celle qui avait guidé la politique des infrastructures.
Quelle est la relation entre l’intellectuel et le pouvoir ?
Une relation difficile, surtout dans le contexte sénégalais. Car, l’universitaire qui côtoie le pouvoir risque de perdre, aux yeux de beaucoup, le capital de la connaissance, car cette connaissance court le risque d’être souvent perçue comme orientée, conditionnée. Le discours de l’intellectuel est diffusé dans un marché discursif hétéroclite où les lecteurs dominants sont surtout des partisans qui n’y cherchent que les indices de ton appartenance ou non à leurs familles idéologiques. De plus, l’intellectuel qui s’aventure dans ce chantier s’expose devant ces lecteurs qui risquent d’être à la merci de ce que j’appelle «la citation par fragment» ou «la citation salafiste». La citation par fragment pour dire qu’on cherchera seulement l’énoncé pro ou contre. Citation salafiste pour dire que seule l’interprétation littérale de ton énoncé sera considérée. Face à ce risque, Il y a une stratégie rhétorique que tentent, de plus en plus, de développer les intellectuels qui veulent préserver une popularité : dissimuler la partisannerie. Le discours intellectuel se construit aujourd’hui dans l’art rhétorique de dissimuler la partisannerie.
Vous avez eu à conseiller des hommes politiques de ce pays. Comment cela s’est passé ?
J’ai eu l’honneur d’être sollicité à plusieurs reprises par des leaders politiques du pays. Ainsi, j’ai participé à l’écriture de la Dpg de Macky Sall et ensuite à celle de Souley­mane Ndéné Ndiaye qui est un ami. Pour Macky Sall, j’ai eu aussi à apporter une contribution à plusieurs de ses discours, autant ici qu’à l’étranger (New York, Wa­shington, Paris). Sur certains dossiers politiques sensibles, j’ai eu à donner mon humble point de vue au président Wade, autant lorsque Macky Sall était Pm que lorsque Ndené occupait ce poste. Je ne suis membre d’aucun parti politique. Je n’ai jamais été rémunéré pour un poste politique. Je ne suis membre d’aucun groupe politique, d’aucune association politique et surtout je n’ai rien à voir, ni de près, ni de loin avec la naissance ou le fonctionnement d’aucune structure, mouvement de soutien ou association politique.
Vous me donnez ici l’occasion de rappeler certains faits pour situer mon propre rapport au pouvoir. Après la rédaction de la Dpg de Macky Sall, ce dernier a voulu récompenser ma contribution au travail et, avec une grande gentillesse, il m’a remis une somme d’argent assez substantielle. Il a été fort surpris lorsque, j’ai refusé de prendre l’enveloppe, en lui indiquant que j’étais venu tout simplement lui apporter le soutien d’un patriote. Quelque temps après, Macky Sall a apporté un soutien financier à la création de l’hebdomadaire Espace nouveau que moi, et deux autres amis allions fonder (El Hadj Kassé et Moustapha Guirassy). Là encore, j’ai refusé que l’argent transite par moi. Un geste que j’ai apprécié de Macky Sall fut de m’avoir offert un billet pour le pèlerinage à la Mecque.
Cela n’est pas pour dévoiler un secret d’Etat car cela n’en est pas un, mais pour montrer que les intellectuels, surtout les universitaires qui s’épanouissent dans leur enseignement, leur recherche et leur rayonnement ne côtoient pas nécessairement le pouvoir pour des postes politiques et pour de l’argent. Un intellectuel recherche une influence à travers les idées. Il doit chercher à influencer les décideurs. Il doit chercher à faire progresser des idées. Il peut se tromper dans ses choix. L’intellectuel qui acquiert un capital symbolique doit prendre le risque d’influencer, surtout dans le sens de la justice sociale. Si l’on n’arrive pas à influencer, il faut se retirer. Si l’on s’est trompé, il faut avoir l’humilité de le reconnaître. C’est pour dire que la relation entre l’intellectuel, surtout entre l’universitaire qui s’épanouit dans le milieu universitaire et le pouvoir, cette relation peut être motivée par la simple recherche d’un espace d’influence pour faire progresser des idées et non pas pour accéder à un poste politique ou recevoir de l’argent. Si on peut réussir à influencer par les idées, il faut prendre le risque.
Avez-vous eu à regretter ou à connaître quelques impairs dans cette collaboration ?
Je voudrais revenir sur un évènement dans lequel votre journal a été impliqué. C’était lors de la préparation de la première grande sortie médiatique de Macky Sall devant la Rts. Ma contribution à la préparation de ce grand oral s’était retrouvée dans les pages du Quo­tidien. Je n’ai jamais compris ce que visait Le Quotidien en pu­bliant un texte qui ne lui était pas destiné. Ce geste a eu des dommages collatéraux. Certains ont pu penser que j’étais l’auteur de cette fuite. J’ai aussi eu à soupçonner des connaissances qui n’avaient rien à voir avec toute cette aventure ro­cam­bolesque. Au­jourd’hui, je suis soulagé. J’ai appris enfin que ma contribution vous était parvenue par le canal d’un de vos journalistes qui avait reçu le texte par e-mail directement de l’entourage d’alors du Premier ministre, Ma­cky Sall. Etait-ce un envoi volontaire ou un envoi involontaire ? Il peut y avoir des événements douloureux dans cette relation. C’est en ce moment que l’on se rend compte que les règles du jeu du milieu intellectuel et politique ne sont pas les mêmes. Devant l’erreur, le politique se protègera toujours et cherchera à sauver la face en entretenant le flou. Je relate plus en détail tous ces événements dans un livre à paraître.
Que pensez-vous de la situation politique du Mali ?
La Communauté internationale tarde à intervenir alors que nous assistons à l’escalade de l’horreur. Les islamistes ont amputé la main d’un voleur, le trafic de la drogue s’amplifie, des humains sont lapidés à mort et des tombeaux de saints profanés. Au nom de l’Islam qui n’a rien à voir avec ces nouveaux fous de Dieu mais surtout au nom du respect de l’être humain, il faut intervenir.
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3 Commentaires

  1. L’ELECTION PRESIDENTIELLE 2012 AU SENEGAL :LA PROGRAMMATION DU DEPART D’ABDOULAYE WADE ET L’INTRONISATION DE MACKY SALL PAR LES FRANÇAIS DEPUIS PLUS DE QUATRE ANS.
    Cette élection a pose beaucoup de questionnements a de nombreux sénégalais et etrangers.Mais dans les milieux diplomatiques et autres, ce n’est point une surprise. Pourquoi ce complot, pourquoi Macky, pouquoi les actions de Youssou, Tine, Diouma diakhate et consorts ?
    Les français avaient choisi de faire partir Wade, aides en cela par les Américains parce qu’il est n’est pas docile ,que leurs inteterets étaient en jeux et qu’ils avaient moins la main mise sur le Senegal.En avait trop ose et les avait humilies même(réhabilitation des tirailleurs Senegalais,l’affaire de Thiaroye44….)Rappelons nous de certaines de ses déclarations : ‘’Les Américains contrôlent les sous qu’ils donnent aux Africains….’’ ;’’Les Français accordent une aide mais prennent en retour trois fois plus….’’.Il s’est mis a dos la France et s’est tourne vers les pays asiatiques(Chine ,Inde…)et Arabes (Dubaï…).Le 09septembre 2007,un nouveau concessionnaire pour le port a conteneurs est choisi, Dubaï Port Authorithy,pour une durée de 25 ans au nez du groupe Bolloré qui gérait les installations depuis plus de 20 ans sur le deuxième plus grand port de l’Afrique de l’ouest après celui d’Abidjan. Le président du groupe Bollore, Vincent Bollore,en fait un problème d’etat.Rappelons que c’est Bolloré qui finance l’UMP, le parti du président Sarkozy.Abdoulaye Wade confisque les terres de l’armée francaise.En février 2008,des homosexuels sont arrêtes et mis en prison au Sénégal :Rama yade est dépêchée par Sarkozy pour que le Sénégal signe la charte de protection des homosexuels, la LGBT »’(Lesbian ,Gay ,Bisexual and Transgenderet).Wa En février 2008,des homosexuels sont arrêtes et mis en prison au Sénégal :Rama yade est dépêchée par Sarkozy pour que le Sénégal signe la charte de protection des homosexuels, la LGBT »’(Lesbian ,Gay ,Bisexual and Transgenderet).Wade refuse. C’est a ce moment que TINE devient l’ennemi jure de WADE ,étant lui-même soupçonné de bisexuel.la goutte d’eau a dépasse le vase, c’est le moment de planifier les stratégies du complot.
    de refuse. C’est a ce moment que TINE devient l’ennemi jure de WADE ,étant lui-même soupçonné de bisexuel.la goutte d’eau a dépasse le vase, c’est le moment de planifier les stratégies du complot.
    Il faut trouver celui qui doit remplacer Wade. Ils avaient pense en premier lieu a Idrissa seck mais le trouvent trop ruse. Ensuite a Karim, il n’est pas encore aime du peuple pour eux. Mais qui alors ?……..MACKY SALL.26 février 2008,il est élevé au grade de grand officicier de la légion d’honneur de la France par les mains de Jean Christophe rufin,ambassadeur de la France au Senegal.En mai 2008,Macky est initie a la franc-maçonnerie a la grande loge nationale française (GLNF).09 novembre 2008,Macky cherche un prétexte pour démissionner de l’assemblée nationale et créer son directoire. Le 01 décembre 2008 il crée son parti politique, l’APR, et choisit comme symbole maçonnique le cheval, correspondant au chapitre VI de l’Apocalypse, VERSET 8.Sur de lui, il commence sa campagne électorale trois ans avant tout le monde. Avec quels moyens ?21 janvier 2009 il rencontre Omar Bongo président du Gabon a cette époque qui lui aurait donne beaucoup d’argent. Dans les srategies,il faut s’approcher des media :on fait intervenir Youssou ndour pour utiliser ses organes .Pour que Youssou soit mieux dans le coup il est fait docteur honoris causa de l’université de Yale ,alliée secret des Illuminati,branche maçonnique.11 septembre 2011,Macky rencontre le president Gabonais ,Ali Bongo Odimba,ami maconique.Pour créer la diversion,ils font intervenir Diouma diakhate ,proche de la famille Bongo, dans la danse qui est reçue en France 72 heures avant le dépôt des candidatures. Pour incriminer la cour constitutionnelle, Youssou ndour fait exprès de déposer une liste de 10.000 signatures avec des affiliations incomplètes pour que son dossier soit rejeté.
    Quels sont les rôles joués par des segments actifs de la population ? Y’EN MARRE, JOURNALISTES, SOCIETES CIVILES…
    Beaucoup de sénégalais ont été innocemment trompés par des démagogues.
    ? Pour briser le M23 dont certains n’avaient rien compris, c’est Youssou qui joue le jeu. Il va participer aux meetings selon que c’est celui deMacky ou pas. Pourquoi Macky a-t-il trahi le M23.
    ? Pourquoi les media européens ne voulaient croire que ce que l’opposition leur disait de façon démagogique ?
    ? Pourquoi la présence de l’ex-ministre français de la culture qui est un homosexuels et pédophile reconnu et qui se dit être un vrai ami de Youssou ndour ?
    ? Pourquoi les représentants des observateurs, malgré la transparence de l’élection, continuaient a semer le doute en parlant des morts dans le fichier ou des achats de conscience par le FAL 2012 alors que pour cette fois- ci l’APR était plus actif dans tous les départements dans ce domaine ?
    QUE DIEU BENISSE LE SENEGAL.. Nous devons nous défendre contre l’arrivée des homosexuels, des franc-maçon, des incultes qui ne croient qu’a leurs intérêts physiques et psychiques. Notre president actuel avait dit :’’il faut gérer l’homosexualité de façon responsable selon les sociétés modernes’’…….’’Les marabouts ne sont que de simples citoyens….’’

    Actuellement, monsieur MAKY SALL a tous les problèmes pour justifier la provenance de ses biens: une partie de mes biens est un bien commun avec ma femme, les deux villas de 70 a 80 millions appartiennent a ma femme, une partie m’a été donnée….Cela frôle l’idiotie. Une femme qui dit qu’elle n’a jamais travaille. Cela ne fait que confirmer la thèse du soutien des lobbies franc-maçon et homosexuels. Ce président ne gouverne pas, il est pris en otage intérieurement par les partis du M23 et extérieurement par ces lobbies qui lui ont fait gagner. Ses conseillers sont nuls, car en voulant le défende ils se contredisent.
    PITIE POUR LE SÉNÉGAL. Bientôt la perversion des meurs sera toute banale dans notre pays.
    Le Groupe Bolloré : Vers Un Retour En Force Au Sénégal
    Article mis en ligne le 6 juin 2012 par THIESINFO

    Le Groupe Bolloré : Vers Un Retour En Force Au Sénégal
    Article mis en ligne le 6 juin 2012 par THIESINFO
    Durant toute la campagne électorale de la présidentielle, des rumeurs parlaient d’une proximité entre le candidat Macky Sall et Bolloré. Certains disaient même tout haut que Bolloré a participé au financement de la campagne de la coalition Macky 2012. Le groupe Bolloré qui avait été chassé du port de Dakar au profit de Dubaï port Word par le régime de Wade n’a jamais digéré cette défaite. Il a tout fait pour revenir dans ce port. On dit qu’il combattait Wade et son régime farouchement. C’est d’ailleurs dans ce cadre qu’il a rencontré l’opposant Macky Sall qui lui a promis de le faire revenir une fois élu. Ces rumeurs commencent à se confirmer petit à petit. Hier le chef de l’Etat, Macky Sall a reçu en audience au palais de la République le groupe Bolloré, représenté par le Directeur générale de la filiale africaine du groupe, Dominique Laffont et Mamadou Racine Sy, le PCA de Bolloré Arica Logistics entre autres personnalités. La même délégation a été reçue par le premier ministre Abdoul MBaye. Les choses se précisent de jour en jour. Tout porte à croire que le groupe Bolloré va revenir en force au Sénégal sous peu. L’indépendance de nos Etats n’est qu’illusion. La France reste toujours maîtresse du jeu. Elle tire les ficelles de loin pendant que les populations pensent que ce sont elles qui font et défont les présidents de la République.
    Source senego.
    Le groupe Bollore,les lobbies franc-maçons et homosexuels ,en s’appuyant sur des taupes comme le M23,des organisations des droits de l’homme dont la plus active est la RADDHO,Y’EN MARRE, une très grande frange de la presse (SUD. FM ,le fameux Souleymane jules Diop,Abdou Latif Coulibaly, LE FAUX MARABOUT Maodo Faye de sud.fm ,le griot Papa Ale Niang de 2sTV…)…ont instrumentalisé beaucoup de Sénégalais pour participer au départ de Wade. La majorité des Sénégalais vont regretter…MACKY AVAIT TOUT ACCEPTE RIEN QUE POUR GOUVERNER.

  2. L’ELECTION PRESIDENTIELLE 2012 AU SENEGAL :LA PROGRAMMATION DU DEPART D’ABDOULAYE WADE ET L’INTRONISATION DE MACKY SALL PAR LES FRANÇAIS DEPUIS PLUS DE QUATRE ANS.
    Cette élection a pose beaucoup de questionnements a de nombreux sénégalais et etrangers.Mais dans les milieux diplomatiques et autres, ce n’est point une surprise. Pourquoi ce complot, pourquoi Macky, pouquoi les actions de Youssou, Tine, Diouma diakhate et consorts ?
    Les français avaient choisi de faire partir Wade, aides en cela par les Américains parce qu’il est n’est pas docile ,que leurs inteterets étaient en jeux et qu’ils avaient moins la main mise sur le Senegal.En avait trop ose et les avait humilies même(réhabilitation des tirailleurs Senegalais,l’affaire de Thiaroye44….)Rappelons nous de certaines de ses déclarations : ‘’Les Américains contrôlent les sous qu’ils donnent aux Africains….’’ ;’’Les Français accordent une aide mais prennent en retour trois fois plus….’’.Il s’est mis a dos la France et s’est tourne vers les pays asiatiques(Chine ,Inde…)et Arabes (Dubaï…).Le 09septembre 2007,un nouveau concessionnaire pour le port a conteneurs est choisi, Dubaï Port Authorithy,pour une durée de 25 ans au nez du groupe Bolloré qui gérait les installations depuis plus de 20 ans sur le deuxième plus grand port de l’Afrique de l’ouest après celui d’Abidjan. Le président du groupe Bollore, Vincent Bollore,en fait un problème d’etat.Rappelons que c’est Bolloré qui finance l’UMP, le parti du président Sarkozy.Abdoulaye Wade confisque les terres de l’armée francaise.En février 2008,des homosexuels sont arrêtes et mis en prison au Sénégal :Rama yade est dépêchée par Sarkozy pour que le Sénégal signe la charte de protection des homosexuels, la LGBT »’(Lesbian ,Gay ,Bisexual and Transgenderet).Wa En février 2008,des homosexuels sont arrêtes et mis en prison au Sénégal :Rama yade est dépêchée par Sarkozy pour que le Sénégal signe la charte de protection des homosexuels, la LGBT »’(Lesbian ,Gay ,Bisexual and Transgenderet).Wade refuse. C’est a ce moment que TINE devient l’ennemi jure de WADE ,étant lui-même soupçonné de bisexuel.la goutte d’eau a dépasse le vase, c’est le moment de planifier les stratégies du complot.
    de refuse. C’est a ce moment que TINE devient l’ennemi jure de WADE ,étant lui-même soupçonné de bisexuel.la goutte d’eau a dépasse le vase, c’est le moment de planifier les stratégies du complot.
    Il faut trouver celui qui doit remplacer Wade. Ils avaient pense en premier lieu a Idrissa seck mais le trouvent trop ruse. Ensuite a Karim, il n’est pas encore aime du peuple pour eux. Mais qui alors ?……..MACKY SALL.26 février 2008,il est élevé au grade de grand officicier de la légion d’honneur de la France par les mains de Jean Christophe rufin,ambassadeur de la France au Senegal.En mai 2008,Macky est initie a la franc-maçonnerie a la grande loge nationale française (GLNF).09 novembre 2008,Macky cherche un prétexte pour démissionner de l’assemblée nationale et créer son directoire. Le 01 décembre 2008 il crée son parti politique, l’APR, et choisit comme symbole maçonnique le cheval, correspondant au chapitre VI de l’Apocalypse, VERSET 8.Sur de lui, il commence sa campagne électorale trois ans avant tout le monde. Avec quels moyens ?21 janvier 2009 il rencontre Omar Bongo président du Gabon a cette époque qui lui aurait donne beaucoup d’argent. Dans les srategies,il faut s’approcher des media :on fait intervenir Youssou ndour pour utiliser ses organes .Pour que Youssou soit mieux dans le coup il est fait docteur honoris causa de l’université de Yale ,alliée secret des Illuminati,branche maçonnique.11 septembre 2011,Macky rencontre le president Gabonais ,Ali Bongo Odimba,ami maconique.Pour créer la diversion,ils font intervenir Diouma diakhate ,proche de la famille Bongo, dans la danse qui est reçue en France 72 heures avant le dépôt des candidatures. Pour incriminer la cour constitutionnelle, Youssou ndour fait exprès de déposer une liste de 10.000 signatures avec des affiliations incomplètes pour que son dossier soit rejeté.
    Quels sont les rôles joués par des segments actifs de la population ? Y’EN MARRE, JOURNALISTES, SOCIETES CIVILES…
    Beaucoup de sénégalais ont été innocemment trompés par des démagogues.
    ? Pour briser le M23 dont certains n’avaient rien compris, c’est Youssou qui joue le jeu. Il va participer aux meetings selon que c’est celui deMacky ou pas. Pourquoi Macky a-t-il trahi le M23.
    ? Pourquoi les media européens ne voulaient croire que ce que l’opposition leur disait de façon démagogique ?
    ? Pourquoi la présence de l’ex-ministre français de la culture qui est un homosexuels et pédophile reconnu et qui se dit être un vrai ami de Youssou ndour ?
    ? Pourquoi les représentants des observateurs, malgré la transparence de l’élection, continuaient a semer le doute en parlant des morts dans le fichier ou des achats de conscience par le FAL 2012 alors que pour cette fois- ci l’APR était plus actif dans tous les départements dans ce domaine ?
    QUE DIEU BENISSE LE SENEGAL.. Nous devons nous défendre contre l’arrivée des homosexuels, des franc-maçon, des incultes qui ne croient qu’a leurs intérêts physiques et psychiques. Notre president actuel avait dit :’’il faut gérer l’homosexualité de façon responsable selon les sociétés modernes’’…….’’Les marabouts ne sont que de simples citoyens….’’

    Actuellement, monsieur MAKY SALL a tous les problèmes pour justifier la provenance de ses biens: une partie de mes biens est un bien commun avec ma femme, les deux villas de 70 a 80 millions appartiennent a ma femme, une partie m’a été donnée….Cela frôle l’idiotie. Une femme qui dit qu’elle n’a jamais travaille. Cela ne fait que confirmer la thèse du soutien des lobbies franc-maçon et homosexuels. Ce président ne gouverne pas, il est pris en otage intérieurement par les partis du M23 et extérieurement par ces lobbies qui lui ont fait gagner. Ses conseillers sont nuls, car en voulant le défende ils se contredisent.
    PITIE POUR LE SÉNÉGAL. Bientôt la perversion des meurs sera toute banale dans notre pays.
    Le Groupe Bolloré : Vers Un Retour En Force Au Sénégal
    Article mis en ligne le 6 juin 2012 par THIESINFO

    Le Groupe Bolloré : Vers Un Retour En Force Au Sénégal
    Article mis en ligne le 6 juin 2012 par THIESINFO
    Durant toute la campagne électorale de la présidentielle, des rumeurs parlaient d’une proximité entre le candidat Macky Sall et Bolloré. Certains disaient même tout haut que Bolloré a participé au financement de la campagne de la coalition Macky 2012. Le groupe Bolloré qui avait été chassé du port de Dakar au profit de Dubaï port Word par le régime de Wade n’a jamais digéré cette défaite. Il a tout fait pour revenir dans ce port. On dit qu’il combattait Wade et son régime farouchement. C’est d’ailleurs dans ce cadre qu’il a rencontré l’opposant Macky Sall qui lui a promis de le faire revenir une fois élu. Ces rumeurs commencent à se confirmer petit à petit. Hier le chef de l’Etat, Macky Sall a reçu en audience au palais de la République le groupe Bolloré, représenté par le Directeur générale de la filiale africaine du groupe, Dominique Laffont et Mamadou Racine Sy, le PCA de Bolloré Arica Logistics entre autres personnalités. La même délégation a été reçue par le premier ministre Abdoul MBaye. Les choses se précisent de jour en jour. Tout porte à croire que le groupe Bolloré va revenir en force au Sénégal sous peu. L’indépendance de nos Etats n’est qu’illusion. La France reste toujours maîtresse du jeu. Elle tire les ficelles de loin pendant que les populations pensent que ce sont elles qui font et défont les présidents de la République.
    Source senego.
    Le groupe Bollore,les lobbies franc-maçons et homosexuels ,en s’appuyant sur des taupes comme le M23,des organisations des droits de l’homme dont la plus active est la RADDHO,Y’EN MARRE, une très grande frange de la presse (SUD. FM ,le fameux Souleymane jules Diop,Abdou Latif Coulibaly, LE FAUX MARABOUT Maodo Faye de sud.fm ,le griot Papa Ale Niang de 2sTV…)…ont instrumentalisé beaucoup de Sénégalais pour participer au départ de Wade. La majorité des Sénégalais vont regretter…MACKY AVAIT TOUT ACCEPTE RIEN QUE POUR GOUVERNER.

  3. Aucune dignité ce professeur de machin. Tu peux draguer Macky en espérant d’avoir un strapontin de jeune retraité en cas de retour au bercail mais stp arrête de diaboliser Wade que tu as soutenu et que tu soutenais jusqu’à sa chute. Je n’ai même pas terminer de tout lire car tellement que c’est répugnant en jouant les laudateurs. Vous avez été au coeur du systeme Wade le Wade, le mauvais, en rant que conseiller occulte. Je me demande pourquoi nos soi disant intello ne savent pas faire une analyse objective et scientifique sans verser dans le griotisme. Toujours du yamanekh en vers le nouveau PR. Je te plains cher « pou fesses seur ». Allez ayez de la dignité pour vos parents, amis. épouse et enfants!

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