« Caprices du bonheur » est le nouveau roman de Thierry Albert Akpo. Un roman qui raconte les drames de la vie d’Angèle, une orpheline dont l’héritage est confisqué. Cette triste histoire inspire déjà le romancier à y faire un téléfilm. Le natif de la Médina faisait face à la presse hier jeudi 25 novembre 2010 à Keur Birago Bou Bess au Point E.
Le 7e roman de Thierry Akpo intitulé les «Caprices du bonheur » est préfacé par le président du Comité national olympique sénégalais (Cnoss), Mamadou Diagna Ndiaye. Dans ce roman de 200 pages, l’auteur relate l’histoire tragique d’une jeune orpheline. Angèle a vécu une enfance très difficile. Ainsi, elle a fait ses études avec Arame, la fille de sa tante. Son cycle scolaire sera difficile et pénible. Elle sera finalement renvoyée de son collège d’origine et fut acceptée dans une école privée où elle obtient son premier diplôme scolaire.
Au cours de ce face à face avec la presse, l’auteur des « Caprices du bonheur » a expliqué que les drames se multiplient et se vivent de plus en plus dans la société sénégalaise. Mieux, il explique que la tyrannie du « masla » gagne de l’ampleur et que la société ne doit pas protégé certaines personnes qui détruisent la vie des autres. L’expert comptable s’empresse d’ajouter : « On doit les dénoncer, il y a des personnes qui souffrent à cause d’eux. Ce qui n’est pas normal, nous devons combattre », a soutenu l’auteur.
« La vie est un combat, rien n’est acquis pour toujours, rien n’est permis », poursuit-il. L’auteur du roman « Caprices du bonheur » voit que les femmes et les enfants souffrent beaucoup au moment des guerres et qu’elles sont victimes de viols et d’autres crimes. Il estime que la femme qui est la plus touchée, est très sensible, mais aussi chargée de véhiculer des messages à travers la société. Elle est le miroir de la société. Bref, elle est une éducatrice. C’est pour cela, pense-t-il, qu’elle est la cible principale. Thierry Akpo souhaite porter son roman à l’écran, à l’image des télé-novelas (séries brésiliennes) diffusés largement dans nos différentes chaines de télévisions.
Le romancier a signalé qu’il travaille déjà avec ses partenaires. « J’ai commencé à contacter mes partenaires pour que mon roman passe à l’écran. On est en Afrique où tout est possible. Et on peut faire mieux. C’est le cinéma, il faut des répétitions, le cadrage, le montage et un petit résumé de quelques minutes », renseigne Thierry Akpo.
Sous ce rapport, Alioune Badara Béye dit que « des écrivains doivent accepter que leurs œuvres soient réadaptés et dans cela les idées de l’auteur ne soient pas trahis ». Et de renchérir : « Certains peuvent être traduits en plusieurs langues et diffusés à la télévision ». L’enfant de la Médina est aussi l’auteur de « La ligne continue », publié en 1998, « La jungle urbaine » (en 2002). En 2001, il était nominé au Prix Jean Brière de poésie à travers son ouvrage « Quand dansent les feuilles de nos diasporas ».
sudonline.sn
A quoi servent ces chiens reniffleurs. Oh les Y VOIT RIEN, vous jouez trop de films Ca me rappelle la Campagne d’Obama-McCain la bas au moins il y a la menace Terroriste qui concerne tout le monde. Mais a Abidjan qui va poser une bombe, sinon un RPG44 et la le chien ne reniffle pas car c a partir de 100taines de m que l’obus est projete.
Ces chiens sont la juste pour amuser la galerie, c’est du deco meuble