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Place de l’Obélisque : Abdou Samath Mbacké axe son sermon sur la candidature de Wade
Dakar, 27 jan (APS) – L’imam Abdou Samath Mbacké, qui a dirigé la prière du vendredi à la place de l’Obélisque, a axé son sermon sur la volonté du président de la République, Abdoulaye Wade, de briguer un nouveau mandant à la tête du Sénégal, a constaté l’APS.
S’adressant aux nombreuses personnes venues prendre part au rassemblement organisé sur les lieux par le Mouvement des forces vives de la Nation (M23), le guide religieux a indiqué que cette ‘’candidature inconstitutionnelle est plus que d’actualité’’.
Il a ensuite appelé les fidèles à une ‘’résistance pacifique’’ si la demande du secrétaire général du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) de solliciter les suffrages de ses compatriotes venait à être acceptée.
Après la prière du vendredi, le rassemblement donnait l’impression de toucher à sa fin. La foule était en effet devenue moins compacte.
‘’Les gens vont se reposer un peu, déjeuner et se rassembler encore’’, a cependant expliqué un responsable de l’organisation juché sur le podium sur lequel est montée une puissante sonorisation distillant des versets du Coran.
Plusieurs leaders politiques membres du M23, comme Idrissa Seck (Rewmi), Macky Sall (APR), Youssou Ndour (FKCB), Abdoulaye Bathily (LD), Ibrahima Fall (Takhaw Tem), Ousmane Tanor Dieng (PS) et Cheikh Bamba Dièye (FSD/BJ) ont pris part à la prière organisée par le M23 à la place de l’Obélisque.
Le président Abdoulaye Wade a officialisé sa candidature à l’élection présidentielle du 26 février, en déposant son dossier au Constitutionnel.
Mais sa volonté de solliciter à nouveau les suffrages de ses compatriotes suscite une vive opposition du M23, mouvement mis en place en juin dernier, au lendemain des manifestations contre le ticket présidentiel.
Acteurs de la société civile et opposants regroupés au sein de cette structure estiment que le président sortant a déjà fait deux mandats et qu’il ne peut plus se représenter en vertu de la Constitution.
Une vision bien différente de celle de ses partisans regroupés au sein des Forces alliées (FAL) qui, sur la base de cette même loi fondamentale, estiment qu’il peut valablement briguer les suffrages des Sénégalais.
Heurts entre militants de l’APR et de Rewmi à la place de l’Obélisque
Dakar, 27 jan (APS) – Des heurts ont éclaté, vendredi à la place de l’Obélisque, entre militants de l’Alliance pour la République (APR, opposition) et du parti Rewmi, a constaté l’APS.
Les partisans des deux anciens premiers ministres en sont venus aux mains, lorsqu’ils se sont retrouvés au même endroit.
Ils se sont affrontés à coups de pancartes, créant des attroupements à la place de l’Obélique, où le Mouvement des forces vives de la Nation (M23) tient un rassemblement pour protester contre la volonté du président Wade de briguer un nouveau mandat à la tête du Sénégal.
Mais les forces de sécurité se sont très vite interposées pour séparer les deux parties. Finalement, pour éviter un nouvel incident, Idrissa Seck, candidat de la coalition Idy4président, et ses partisans ont préféré se diriger vers un autre endroit de la place.
Cependant, le leader de l’APR, Macky Sall, dément tout affrontement entre les militants des deux camps, affirmant qu’il y a eu juste des bousculades.
Coincé entre les somptueuses villas du quartier résidentiel des Almadies, le nouveau siège du Conseil constitutionnel est sorti de l’anonymat, à la faveur du dépôt des candidatures à la présidentielle du 26 février.
Situé au milieu d’habitations, de bureaux et de chantiers, le nouveau lieu de travail des cinq sages du Conseil constitutionnel n’a rien de particulier. Construit sur une grande superficie, le bâtiment de couleur blanche ressemble aux maisons qui l’entourent. L’endroit est calme. Rien ne vient perturber le travail des juges.
Devant le bâtiment, des gendarmes sont en faction. Un peu plus loin, quelques journalistes guettent l’arrivée d’un potentiel candidat à la présidentielle. Les véhicules des gendarmes effectuent des va-et-vient, pour veiller au grain, devant le siège du Conseil constitutionnel et dans les ruelles du quartier.
’’Ils sont venus en repérage’’, lance un journaliste à ses confrères. Les journalistes suivent attentivement les mouvement des gendarmes en tenue de combat. A bord des pick-up, les éléments de la LGI quadrillent les routes d’entrée aux Almadies.
L’annonce de l’arrivée de la couturière Diouma Dieng Diakhaté change le décor. Cameramen et journalistes ne veulent aucunement rater les premiers pas de la couturière de certaines Premières dames africaines.
Allure de top model, Diouma Dieng Diakhaté, accompagnée d’une dizaine de ses partisans, entre au siège du Conseil constitutionnel pour déposer sa candidature. Dehors, les supputations se poursuivent sur les intentions réelles de la couturière.
L’attente devient longue pour les reporters et les curieux exposés à un vent glacial. En costume, le leader du parti humaniste Niax Jarinu, Oumar Khassimou Dia, descend d’un véhicule.
Accompagné de quelques membres de son parti, Oumar Khassimou Dia rejoint Diouma Dieng Diakhaté, à l’intérieur, pour allonger la liste des candidats venus déposer leur dossier.
Après plus de deux heures, Diouma Dieng Diakhaté ressort des locaux du Conseil constitutionnel. Devant la presse, elle dit avoir déposé sa candidature.
’’Je n’avais pas l’intention de déposer ma candidature. Mes compatriotes m’ont sollicitée pour que je les assiste. Je vais défendre la cause des chômeurs’’, explique-t-elle.
La candidate de l’Initiative Démocratie Jubël s’engage à être l’avocate des chômeurs, des femmes et des enfants.
Tout en espérant la validation de sa candidature, Diouma Dieng Diakhaté donne rendez-vous aux journalistes durant la campagne.
A la tombée de la nuit, la sécurité se renforce davantage autour du siège du Conseil constitutionnel. Le commandant de la Légion de gendarmerie Ouest, Moussa Fall, fait son apparition. Devant la porte d’entrée, il tient une réunion avec ses subordonnés, avant de repartir.
La liste officielle des candidats attendue vendredi
Le dépôt des candidatures à l’élection présidentielle se poursuit, tandis que le Conseil constitutionnel doit arrêter et publier vendredi, soit à 29 jours du premier tour du scrutin, la liste des candidats conformément aux dispositions du Code électoral.
Plusieurs personnalités politiques (Ousmane Tanor Dieng, Macky Sall, Idrissa Seck, le chef de l’Etat sortant, Abdoulaye Wade, Ibrahima Fall, Moustapha Niasse, Cheikh Tidiane Gadio, Cheikh Bamba Dièye, l’artiste Youssou Ndour, la couturière Diouma Dieng Diakhaté, le financier Kéba Keïndé, Oumar Khassimou Dia, Mor Dieng) ont déjà déposé leurs candidatures.
La publication officielle des listes se fera par affichage au greffe du Conseil constitutionnel qui peut en outre faire procéder à toute autre publication qu’elle estime nécessaire.
Une fois les concurrents connus, le droit de réclamation contre la liste des candidats est ouvert à tout candidat. Ces réclamations doivent parvenir au greffe du Conseil constitutionnel avant l’expiration du jour suivant celui de l’affichage de la liste des candidats au greffe. Le Conseil constitutionnel statue sans délai.
Selon l’article LO 123 du Code électoral, ‘’lorsqu’il est nécessaire de procéder à un deuxième tour de scrutin, les retraits éventuels de candidature sont portés à la connaissance du Conseil constitutionnel par les candidats 24h au plus tard après la proclamation définitive des résultats du scrutin (…)’’.
La déclaration de candidature est déposée au greffe du Conseil constitutionnel par le mandataire du parti politique ou de la coalition qui a donné son investiture ou celui du candidat indépendant.
Pour s’assurer de la validité des candidatures et du consentement des candidats, le Conseil fait procéder à toute vérification qu’il juge utile, stipule l’article LO120 du Code électoral.
Le dossier de candidature à la présidentielle doit comporter les nom, prénom, lieu de naissance et de filiation du candidat, la mention qu’il est de nationalité sénégalaise et jouit de ses droits civils et de ses droits politiques, la mention qu’il a reçu l’investiture d’un parti légalement constitué ou d’une coalition de partis politiques légalement constitués ou se présente en candidat indépendant.
Dans ce document, on doit aussi retrouver la photo et la couleur choisie pour l’impression des bulletins de vote et éventuellement le symbole et le sigle qui doivent y figurer, la signature du candidat.
La déclaration de candidature doit être accompagnée d’un certificat de nationalité, d’un extrait d’acte de naissance de moins de trois mois, d’un bulletin N°3 du casier judiciaire de moins de 3 mois.
S’y ajoute une attestation par laquelle un parti politique légalement constitué ou une coalition de partis légalement constitués déclare que ledit parti ou la coalition a investi l’intéressé en qualité de candidat ou une liste d’électeurs appuyant la candidature et comportant les prénom, nom, date et lieu de naissance, indication de la liste électorale d’inscription et signature des intéressés.
Cette liste doit comprendre des électeurs représentant au moins 10.000 inscrits domiciliés dans 6 régions à raison de 500 par région.
Dans la panoplie de documents figure aussi une déclaration sur l’honneur par laquelle le candidat atteste que sa candidature est conforme aux dispositions des articles 4 et 28 de la Constitution, qu’il a exclusivement la nationalité sénégalaise, qu’il sait écrire, lire et parler couramment la langue officielle, le français.
Par cette déclaration sur l’honneur, il doit aussi prouver qu’il est en règle avec la fiscalité, a versé une quittance confirmée par une attestation signée par le directeur général de la Caisse des dépôts et consignation attestant du dépôt du cautionnement de 65 millions de francs CFA.
En cas d’irrecevabilité, cette somme est remboursée 15 jours après la publication définitive de la liste des candidats.
Dans le cas où le candidat obtient au moins 5% des suffrages exprimés, ce cautionnement lui est remboursé dans les 15 jours qui suivent la proclamation définitive des résultats.
OID/AD
La page Wade est tournée.
Votez les Assises Nationales: Ibrahima Fall, Niass et Talla Sylla. Voila de vrais patriotes qui peuvent réussir le Sénégal de demain. Pardon, la vérité est bonne a dire : Maky, Idy, Aminta Tall, Gadio et beaucoup d’autres font leur campagne avec l’argent du contribuable sénégalais. Des pauvres qui se sont enrichis au dépend du TRESOR PUBLIC. Il ne faut jamais croire un changement avec le PS de Tanor, toujours les mêmes têtes et responsables. Votez l’équipe de Ibrahima Fall / Niass au deuxième tour.
Waax deeg rekknak.
Les recommandations d’actes de violence préconisés ici et là par des membres du Mouvement M23 auraient été pertinentes si le Sénégal vivait sous occupation de forces ou de pays étrangers ou bien sous une dictature féroce! Ce qui, vous en conviendrez avec moi, n’est pas encore le cas dans notre pays, et j’espère que cela ne le sera jamais. Le Sénégal dont les populations, au temps de nos grands-pères, n’a jamais opté pour une solution de violence, ni à l’égard des esclavagistes qui traversaient la savane, de l’Est vers l’Ouest, du Nord vers l’Ouest sans pratiquement jamais avoir été tendus en embuscade par des populations, ni à l’égard des colonialistes qui imposèrent à nos grands-pères l’occupation de notre patrie! Est-ce donc aujourd’hui que nous allons nous entretuer pour que des politiciens, imbus de leur égo accèdent au Palais de la République? Non le peuple Sénégalais est un peuple de mesure, pacifique, même au pire de notre histoire Coloniale. Ce peuple que je crois connaître, ne fera rien qui serait le contraire de ce que le monde entier connait en nous, c’est à dire un peuple très intelligent, qui n’a pas de grandes richesses, autres que humaines, mais qui, à force de persévérance et d’imagination, a réussi à entamer un développement harmonieux dans la paix et la concordance nationale. Ce peuple- là n’est pas prêt à voir un seul de ses fils ou filles couvert(e) de sang, blessé(e) ou mort(e) du fait de politiciens souvent motivés par le gain rapide pour une meilleure existence de leurs familles élargies. Ceux d’entre nous qui seraient tentés de passer outre les lois de la République, en descendant dans les rues de nos villes, s’ils étaient envahis de mauvaises intentions pouvant produire mort d’homme et de femmes, seraient à coup sûr, les premiers à en souffrir! Jamais , depuis Senghor, peuple ne peut prétendre être plus libre que le peuple Sénégalais qui depuis toujours, n’a jamais supporté d’être réduit en régime dictatorial, quand, bien même, malgré lui, il n’avait pas les moyens suffisant pour combattre des envahisseurs venus de contrée lointaines. Il faut raison garder et ne pas se fier à la fougue de militants d’un mouvement dont les têtes pensantes n’ont fait de leur vie qu’un moment d’amusement, alors que ceux de leurs âges, ont pour la grande majorité été dans les bonnes écoles ou dans les Universités pour acquérir les armes qui leur permettront de participer efficacement au développement de leur pays. Quand tout le monde, au Sénégal et à l’extérieur, reconnait la réussite de notre pays dans tous les domaines, nous tous devons en être très fiers et devons encourager l’équipe et le Président en place. Le monde est tellement devenu incertain dans sa marche, à cause d’une crise financière redoutable que nous devons nous ceindre les reins, en ayant à l’esprit que nous ne pouvons pas nous permettre de réduire à néant ce que nous avons mis douze années de sacrifices et d’efforts à construire. Notre peuple n’est pas aussi inconscient pour ne pas préserver ce que nous avons de plus : LA PAIX QUI AUTORISE A REVER D’UN AVENIR RADIEUX POUR DES GENERATIONS ENCORE !!!!
SADAGA,
UNE FOIS UNE PARTIE DE TON INTERVENTION EST JUSTE MAIS JE NE SUIS PAS D’ACCORD AVEC TOI- LE SENEGAL EST TRES MAL VU A L’EXTERIEUR ET LES SENEGALAIS NE MANGENT PLUS A LEUR FAIM-
SI FAITES PARTIS DES NOUVEAUX RICHES VOLEURS IL FAUDRA TE SIGNALER C MIEUX – BYE BYE
VOTEZ TANOR POUR TOUNER LA PAGE DES WADE ET WADAILLONS-
VOTEZ TANOR POUR TOURNER LA PAGE DES WADE ET WADAILLONS-
une fois de plus ,j’ai honte pour mon pays le senegal,nous avons à la tete de l’état un vieux sénile qui va détruire le peu d’économies que des sénégalais valeureux avaient acquis à la sueur de leur front, dans le seul but de garder le privilège familial .moi en tant soignant la seule question que je pose comment le viellard abdoulaye puisse gerer ses besoins fréquents de miction car comme vous le savez à cet age tout homme presente une hypertrophie de la protate surtout d’apres les etudes chez les noirs.
j’étais présent pour soutenir ceux qui manifester contre la candidature de wade,quand les dandits et criminels attaqués les forces de l’ordre.ceci n’est pas normal.un policier est 1 citoyen com nous tous;il est pour ou contre le pouvoir et is étaient là pour faire leur boulot.ceux qui ont attaqué les forces de l’ordre n’ont pas leur place dans l’opposition et ne méritent pas de diriger ce pays.c cette meme attitude que j’avais quand des policiers ont été sauvagement assassinés en 1994.
Que Abdoulaye Gbagbo Wade et ses Yao Ndré sachent que nous les combattrons jusqu’à la mort. L’inconscience et la corruptibilité de ces 5 singes a déjà causé la mort d’un policier et plusieurs brasiers un peu partout au Sénégal. Ils ont parié que les protestations des patriotes se limiteront au soir du 27 Janvier et basta. Ils ne perdent rien pour attendre. La bataille ne fait que commencer.
Pour ma part, je ne présenterai mes condoléances à la police que lorsque celle-ci présentera enfin ses condoléances aux familles des très nombreux cadavres qu’ils ont semés dans la cours de leur commanditaire logé et accroché à la porte des toilettes du palais pour ne pas en sortir. Nous rendrons coup pour coup à ces forces de l’ordre que l’argent a rendu lâches.
Ablaye, on arrive. Bilaye on arrive, et on te délogera, même caché dans les chiottes comme disait ton sosie Poutine. Dis le à Karim aussi et à vos 5 singes
je voudrais dire à youssou ndour que le senegal compte trop d’intelectuels pour etre diriger par un musicien sans bagage intelectuel
c avec regret et indignation que la validation de la candidature a plonge tout le pays dans un desaroi mais cependant je voudrais dire au chef de letat que ce pays lui a tout donne et vouloire marcher sur les institutions ades fins politiques n est que haute trahison.ce peuple avait une confiance absolue en vous comme un democrate mais abdou diouf a eu raison sur tout le monde car disait- il vous n etes qu un pouvoiriste mais en faite vous etes plus que cela il vous suffit de vous regarder dans un miroir et vous saurez
mefiez des articles que vous reprenez chez dakaractu de yerim seck c un vendu fou malade na rien assurez vous de l information il avait meme menti expres et l embassade des etats unis lui avait dit de corriger ce qu il avait dit