XALIMANEWS- Poursuivi pour atteinte à la sûreté de l’Etat et blanchiment de capitaux, en faveur d’un second retour de parquet, Rilke Ndongong fera face, ce mardi, au Procureur qui a décidé d’ouvrir une information judiciaire confiée à un juge d’instruction.
En attendant, le voile de mystère qui entourait l’enquête de la DIC commence à se dissiper.En vérité, des sources renseignent que concernant le blanchiment présumé de capitaux, la DIC évoque un montant de 500 millions d’euros (337 milliards de francs CFA). Celui-ci correspond à plusieurs projets présumés que Rilke Ndongong devait financier à travers des fonds levés dans une banque européenne très connue. Mais pour les enquêteurs ces projets, dont des investissements dans les Mines, ne sont que le prétexte pour injecter du cash au Sénégal afin de financer des activités délictuelles contre le régime. Qui plus, ces projets sont portés par des sociétés Offshore dont les bénéficiaires économiques sont difficiles à identifier, renseigne le journal Libération.
Rilke Ndongong a plaidé la bonne foi devant les enquêteurs mais il a été incapable de citer le nom des soit disant partenaires sénégalais avec lesquels il travaillerait. Qui plus, il avait refusé de donner le code de son ordinateur aux enquêteurs qui ont dû recourir aux services de la police technique.
Selon ledit journal, tous ces éléments cités plus haut ont été retrouvés dans plusieurs fichiers qui sont encore en cours d’analyse à la DIC. Ces recherches ont d’ailleurs permis aux enquêteurs d’identifier un présumé complice de Rilke Ndongong, un ingénieur financier sénégalais vivant en Italie. Lequel a pris la fuite lorsqu’il a été mis au courant de l’arrestation de son partenaire.
Tout le monde sait que le régime de macky Sall est entrain d anticiper à une probable libèration de Karim par le Quatar après le rappel de notre ambassadeur.
Et à chaque fois ils sont obligés de recourir aux services d un ètranger pour faire leur salle besogne parcequ ‘aucun senegalais assoiffé d argents n aurait accepté ce deal pour ensuite salir toute sa descendance.
Mes parents pulaar disent: « Deftere janngirtee ko deftere banndum » (Un livre se lit par un autre livre). Si cette sagesse pouvait servir aux fanatisés….
En 2012, instruction fut donnée à l’Observateur de Youssou Ndour de lancer le thème de diabolisation de « 600 véhicules volés au Palais ». Pendant, au moins, 3 mois, les sénégalais vécurent un vrai bashing sur ce sujet. Tout fut fait, chaque jour, pour sertir dans le cerveau de certains sénégalais qu’effectivement 600 véhicules ont été volés depuis la présidence de la république. Mimi Touré donna un ultimatum de 72 heures pour restituer les véhicules « volés » (je rappelle qu’ils avaient été distribués dans le site de la FIDAK, pour des volés). Chaque jour, l’Obs et ses journaux soutiens nous firent consommer des titres du genre « Véhicules de Koureys Thiam arrêtés avec des plaques mauritaniennes qu’il tentait de changer », « Véhicule de Bro arrêté au service des mines où il était venu changer la plaque », « Des véhicules pris dans la forêt sous des tas de pailles », etc, etc. Et lorsque les légionnaires, apprentis sorciers, jugèrent que les fanatisés sont devenus de bons moutons maintenant, moutons qui n’aimeront jamais ceux qu’on vient de diaboliser, consigne fut donnée à l’Observateur de Youssou Ndour de trouver un moyen de finir le mensonge, avant qu’il ne se retourne contre eux. Et l’Obs titra: « Tous les 600 véhicules récupérés, dossier clos ». Essayez d’en faire parler l’Obs aujourd’hui. On vous dira que le dossier est clos. Mais la raison est autre. Les maîtres vaudou vous diront qu’on ne donne pas de sel (aliment salé) à un zombi. Et un zombi, on peut même lui donner un couteau et lui demander d’aller tuer quelqu’un. Il le fera sans se souvenir de ce qu’il a fait. Mais, une alimentation salé le réveille de son somnambulisme. D’où la règle d’or de ne jamais lui donner de sel. De la même manière, lorsque l’orchestration des médias des légionnaires arrive à transformer les fanatisés en de vrais moutons prêts à insulter sur ordre, il faut prendre la précaution de ne jamais faire l’erreur de les réveiller. Pas de sel.
La mule de Karim fut donc lancée par Madiambal. Il ne l’a pas fait ex nihilo. Il visait un travail sur le cerveau des fanatisés, en cette veille d’élections. Lorsqu’il commence à s’avérer que le mensonge ne peut être entretenu par un déluge de titres, lorsqu’il y a risque que le mensonge se retourne contre la peinture de Macky Sall, un autre journaliste de la mafia de contrôle de l’opinion se charge de l’arrêter à temps.
Croyez moi, la même méthode sera réutilisée très prochainement. Pourquoi changer ?