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Que faut-il savoir du Prix Nobel de médecine ?

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XALIMANEWS- Le Nobel de physiologie ou de médecine est le premier des prix décernés chaque année au nom de la Fondation Nobel. Ce prix s’accompagne d’une récompense de onze millions de couronnes (environ 860’000 francs suisses), soit la plus haute valeur nominale (dans la devise suédoise) dans l’histoire plus que centenaire des Nobel.

Et la semaine des prix Nobel

La saison des Nobel se poursuit à Stockholm mardi avec la physique, puis mercredi la chimie, avant les très attendus prix de littérature jeudi et de la paix vendredi, seule récompense décernée à Oslo. Le plus récent prix d’économie clôt le millésime lundi prochain. Décernés depuis 1901, les Nobel récompensent les « bienfaiteurs de l’humanité ».

1 COMMENTAIRE

  1. Les découvertes scientifiques qui sont primées au Nobel ne sont pas toujours révolutionnaires (grande utilité pour la santé), car le fait d’une névrose – et donc d’un “égarement” (tourmente). Et il faut aussi se désoler qu’il y’a encore quelques idéalistes qui croient à la ‘’toute puissance de la science’’ ; ils vont bientôt déchanter quand la réalité leur montrera ses limites. Oui, je persiste à croire, comme beaucoup de confrères, que la Science a fait fausse route ; les chercheurs ont brûlé des étapes importantes ; ils ont négligé l’étape ‘’philosophique’’ de la recherche qui en est pourtant le temps primordial et qui englobe nécessairement la dimension religieuse. pour s’orienter au mieux ; sinon, c’est inévitablement la tourmente (la névrose) qui, du fait du foisonnement des idées qu’elle génère, peut être à l’origine de découvertes, mais le plus souvent non essentielles, parfois inutiles voire saugrenues, constituant une perte de temps et d’argent considérable. Et il faut oser le dire, beaucoup de découvertes scientifiques ne sont que le fait d’une névrose (tourmente spirituelle). Et au demeurant, cette étape philosophique qui doit être le premier temps de toute recherche scientifique ne pourrait se passer de la religion (conception islamo judéo chrétienne de l’homme de l’univers et de la vie). Il est donc nécessaire de dé-séculariser nos sociétés – une entreprise titanesque !
    Et certes, être scientifique, c’est de nos jours, être avant tout “rationnel”, mais pas exclusivement, car tout savant qui ne se consacre qu’au rationnel et qui élimine l’irrationnel dans son domaine d’investigation finira inexorablement par perdre sa rationalité. Actuellement, la plupart des médecins croyants (musulmans, chrétiens et juifs) sont en train de vivre une véritable « aventure ambiguë » ; oui, ils ont des convictions religieuses quasi inébranlables, mais leurs maîtres occidentaux, généralement athées ou agnostiques, trouvent indécent d’en parler ou de les intégrer dans un projet de recherche scientifique (axes de recherche), alors qu’aucun principe épistémologique ne l’interdit. Il est donc grand temps de se libérer de cette « dictature idéologique » et de réconcilier ces deux types de rationalités (scientifique et religieuse) qui, loin d’être antinomiques, doivent fusionner et féconder pour faire évoluer véritablement nos connaissances scientifiques – L’illustre Avicenne (dont le nom est porté par le service des urgences chirurgicales de l’Hôpital Dantec et d’un hôpital en France) était médecin, philosophe et exégète du Coran. Oui, c’est dans cette perspective que doivent s’inscrire nos réflexions sur la plupart des problématiques sanitaires (santé mentale et physique).
    Il est donc temps que notre médecine moderne – qui est laïque par essence – reconnaisse le rôle et la place de la spiritualité qui, indéniablement, améliore notre hygiène de vie, nous libère du stress et de l’anxiété, change donc nos schémas de fonctionnement biologique et prévient efficacement les maladies psychosomatiques ; et même une fois installée, l’évolution et le pronostic devraient en être positivement influencés. Et véritablement, il s’agit là du nouveau paradigme pour la santé avec des perspectives très prometteuses pour l’améliorer dans le monde entier …
    Et dans cette perspective, nous devons aussi avoir le courage de déplorer le diktat de l’industrie pharmaceutique, en ce qui concerne la recherche scientifique. Oui, le business tue la recherche !

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