Le Sénégal, malgré quelques progrès notés dans le domaine de la santé, n’est pas à l’abri des menaces qui pèsent sur l’inégalité sociale. Selon le rapport de l’Unicef sur la situation des enfants dans le monde, 49% des enfants de -18 ans vivent dans des familles pauvres en dessous du seuil de pauvreté. Il s’y ajoute que 23% des filles adolescentes de 15 à 19 ans sont mariées ou en union. Ce qui, selon l’Unicef Sénégal, contribue à augmenter le taux de décès néonatal. Cependant, malgré toutes les menaces, le Sénégal parvient à se tirer d’affaire contrairement aux autres pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
Sud Quotidien
A force de vouloir le beurre et l’argent du beurre, notre pays va être au banc des accusés de la communauté internationale ! De gros malins se sucrent sur cette misère des enfants dans la rue, qui sont en fait des soi-disant apprenants du coran. Plus de 90% de ces enfants ont été embarqués à Bissau et ses villages, en Guinée Conakry et au Mali. Si on y ajoute tous ceux qui ne peuvent pas exercer leur trafic en Gambie sous l’ère de Yaya Djameh, on peut dire que les « trafiquants d’enfants » et leurs « marchandises » sont en majorité des étrangers. Tant que nous n’ayons pas la lucidité et le courage de dire la vérité, le monde nous prendra toujours et encore comme un peuple de salopards qui maltraite ses enfants. Evidemment, ceux qui tirent leurs moyens de subsistance dans l’exploitation de ces enfants vont se mobiliser dans les médias pour que cela perdure!