Les rumeurs faisant état du refus du ministre en charge de l’Energie, Karim Wade, de quitter le gouvernement, ont été formellement démenties par les proches collaborateurs du fils du président de la République. Ces derniers ont tout simplement classé cette information dans le souci des journalistes de la recherche du sensationnel.
C’est le magazine «Nouvel Horizon» qui a donné l’information à propos d’un éventuel refus de Karim Wade de quitter l’attelage gouvernemental. Une information largement relayée dans les radios et qui a fait couler déjà beaucoup de salive. Interpellés sur cette question, les collaborateurs de Karim Wade étaient à la fois stupéfaits et choqués. «C’est vous qui venez de me l’appendre. Je ne suis pas au courant que le ministre d’Etat Karim Wade doit quitter le gouvernement», a indiqué un proche de Karim Wade sous couvert de l’anonymat. Et de démentir formellement, non sans attaquer les auteurs de l’article. «Il n’a jamais été question pour le président de la République de limoger Karim Wade dans ce remaniement ministériel annoncé par la presse. Je considère que les auteurs de l’article sont tout simplement à la recherche du sensationnel au point de livrer de fausses informations», a-t-il martelé.
Notre interlocuteur s’érige en donneur de leçons. «Je pense que certains journalistes doivent revoir leur manière de faire. Parce qu’on ne peut pas, pour vendre son journal ou je ne sais quoi, à partir des rumeurs non fondées, écorner l’image de quelqu’un en créant de toutes pièces une polémique stérile», a-t-il tonné.
Les collaborateurs de Karim Wade promettent, par ailleurs, de réagir publiquement si toutefois ces rumeurs persistent. Est-ce le refus de Karim Wade de quitter le gouvernement qui a bloqué le remaniement qui semblait pourtant imminent ? Les proches du ministre de l’Energie bottent en touche.
Chimère Junior LOPY
rewmi.com
M. Le Président
Voici venir la onzième année de votre accession à la magistrature suprême. Onze longues années durant lesquelles les sénégalaises et les sénégalais ont souffert plus que le martyr. C’est dire qu’à l’heure du bilan, le peuple dans son entièreté crie son ras-le-bol, et manifeste urbi et orbi son désarroi tant les déceptions vécues sont à la mesure de l’immense espoir qu’avait suscité votre accession à la Magistrature suprême.
Au premier rang des déçus de l’alternance figure la jeunesse. Celle-là même qui fut aux premières loges dans le combat contre l’injustice, la gabégie et les dérives du régime socialiste. Cette jeunesse fut le porte-étendard de tous les combats effectués pour que notre pays puisse à l’instar des grandes démocraties, connaitre enfin sa première alternance, dans un climat apaisée. Je me remèmore tous les instants de cette longue et glorieuse journée du 19 Mars 2000 qui a vu les jeunes de tous bords, de toutes les obédiences politiques confondues, s’unir dans un grand élan national, pour la paix, pour l’emploi et pour la liberté, thèmes qui furent deux de votre campagne, et que promettiez de traduire en actes concrets dès lors que vous serez porté au pinacle au soir de cette journée historique du 19 Mars. Toutes les images de cette journées defilent encore devant l’Oeil de mon âme : les cris endiablés, les pas de danse improvisés, les embrassades entre inconnus, mais aussi la deferlante de cette jeunesse ivre de bonheur qui avait ,dès l’annonce des résultats, pris d’assaut votre villa du point E. Manifestement, un moment d’histoire tel qu’on ne le vit qu’une fois dans sa vie, venait à s’imprimer dans le grand livre de notre mémoire collective.
Cette journée M. Le président je l’ai vécu plus angoissé même que votre fils Karim. Et même si la nuit fut longue, la délivrance nous vint lorsque les radios libres annoncèrent que votre rival venait de vous appeler pour vous féliciter et reconnaitre pour ainsi dire sa défaite. Et la tension retomba pour laisser la place à une allégresse indicible, une joie difficilement contenue avait parcouru les pays de Dakar aux faubourgs de Sor. Le pays vivait dans l’extase de sa première alternance après quarante ans d’une semi Eclipse socialiste: le lion renaissait.
Alors pendant que l’euphorie gagnait le pays, je me souviendrai toujours de ces paroles d’un vieux du quartier. Il nous disait en substance ceci : « Voyez -vous chers petits enfants, certes voici qu’enfin vous venez de porter aux nues un homme et faisant de lui le plus puissant du pays, mais croyez moi votre déception sera grande et à la mesure de l immense espèrance qu’il a fait naitre. Cette homme vous decevra. Je ne serai plus de ce monde pour vous confronter ä l’évidence, mais sachez que d’outre-tombe, je vous enverrai mes sincères condoléances. Fin de citation…
Ces paroles incantatoires jetées à la figure d’une jeunesse joviale et euphorique qui venait de vous porter au sommet du pouvoir, ont pris tout leur sens au fur et à mesure que vous vous êtes installés dans le fauteuil présidentiel car ä partir de ce jour, tous les jalons que vous avez mis en place, tous les pas que vous avez effectués, ont fini par convaincre même les plus sceptiques que vous avez trahi les idéaux placés en vous.
je pense qu’il doit quiter le governement que ca soit fonde ou n’est pas fondee
il doit rendre le tablier il peux rien fair pour les senegalais il n’est la que pour boffer l’argen du contrbiable et gaspillage les senegalais je vous lance un appele on doit s’emmoler ni metre le senegale dna le comma mais on as notre carte d’electeur et 2012 arrive.
ne suivez pas les gens qui sont la que pour leur intrets personelles.
pour le mouvement y n’a marr je suis pour la cause mais pas pour la facons dont il veulent le combatre regarder cote d’ivoir et baucou payes africains et demondes la violance ne regle rien tous