spot_img

Révélations d’E-média : Petrosen dément!

Date:

Révélations d’E-média : Petrosen dément!

XALIMANEWS : Accusée par les révélations d’E-média sur le versement de 3 millions de dollars qu’elle aurait reçu de Tuwoil, Petrosen dément et révèle que c’est plutôt Tuwoil qui n’a pas respecté les clauses du contrat.
Petrosen a décidé de sortir un communiqué avec les détails des 3 millions de dollars selon Ndiamé Dionne un des cadres de Petrosen.

1 COMMENTAIRE

  1. Je me demande si ce n’est pas le gouvernement du Sénégal qui aurait fait croire aux Sénégalais que notre pays a des réserves de pétrole et de gaz immenses, pour nous donner des raisons d’espérer vivre comme les populations du golf ! Evidemment, il suffirait de demander aux prospecteurs ayant gagné les marchés d’aller dans ce sens pour amadouer les Sénégalais. En vérité, ce que nous avons en pétrole et en gaz, ne nous fera pas avancer plus que le Maroc , la Tunisie, l’ÎLE MAURICE et même la petite Croitie.

    pour info 6 POUR INFO :

    Pétrole et gaz: «Non, l’Afrique n’est pas un nouveau Moyen-Orient»

    On dit que l’Afrique dispose de très importantes réserves de pétrole et de gaz. Certains avancent même que les nouveaux champs gaziers mis à jour récemment vont repositionner le continent sur la carte de la fourniture énergétique mondiale. C’est excessif, tempère Jean-Pierre Favennec. Le président de l’Association pour le développement de l’énergie en Afrique s’est confié à Géopolis.

    Une plateforme de production pétrolière et gazière à Amenam, dans le Delta du Niger au Nigeria. Le pays a été classé premier producteur africain de pétrole en 2017 devant l’Angola. Avec 1,6 million de barils par jour. (Photo AFP/Pius Utomi Ekpei)

    Martin MatesoRédaction AfriqueFrance Télévisions

    Mis à jour le 23/02/2018

    De l’Algérie au Mozambique en passant par le Nigeria, l’Angola, le Sénégal et la Mauritanie, les réserves de pétrole et de gaz naturel sont importantes, reconnaît Jean-Pierre Favennec, consultant et spécialiste des questions pétrolières et énergétiques. Mais pour lui, le poids de l’Afrique reste relativement limité sur le plan mondial.

    «L’Afrique pèse seulement 10% des réserves mondiales de pétrole et environ 7 à 8% des réserves de gaz dans le monde. Il est vrai que récemment on a fait pas mal de découvertes de pétrole et de gaz, mais l’Afrique n’est pas un nouveau Moyen-Orient», tempère-t-il.

    Une production pétrolière stationnaire

    Selon certains économistes, la production de pétrole africain a déjà atteint son apogée. Soit près de 8,5 millions de barils par jour. Ils prévoient même une légère baisse qui pourrait intervenir à l’horizon 2035.

    «Le pétrole en Afrique concerne essentiellement l’Algérie et la Libye au Nord, et l’Egypte pour une moindre mesure. Quant à l’Afrique subsaharienne, les deux gros producteurs de pétrole, c’est d’une part le Nigeria et d’autre part l’Angola. La production de pétrole du Nigeria et de l’Angola s’élève à deux millions de barils par jour pour chaque pays. Soit au total, environ 4% de la production mondiale», explique Jean-Pierre Favennec à Géopolis Afrique.

    Quant aux autres pays producteurs africains, il note que leurs productions restent limitées.

    «La production du Ghana est montée récemment à 300.000 barils par jour. Et vous avez traditionnellement des pays comme le Gabon, le Congo Brazzaville et la Guinée Equatoriale qui produisent entre 200.000 et 300.000 barils par jour. Ce sont des productions pétrolières qui existent depuis longtemps, qui se maintiennent et qui devraient rester au même niveau à mon avis.»

    Des enjeux importants autour du gaz naturel liquéfié

    En 2015, Jean-Pierre Favennec avait été impressionné par les découvertes de gaz naturel dans le canal du Mozambique. Il estimait à l’époque que le Mozambique et la Tanzanie allaient, à eux seuls, peser l’équivalent du Qatar en termes de gaz naturel liquéfié. Il a depuis revu ses estimations à la baisse.

    «Actuellement, le Qatar produit à peu près 80 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié par an. Le Nigeria doit être entre 20 et 25 millions de tonnes. Les projets qui sont envisagés, que ce soit au Mozambique, au Sénégal ou en Mauritanie, sont de l’ordre de 5 millions de tonnes au maximum. Donc on n’est pas sur les mêmes ordres de grandeur. Maintenant, il est clair que pour ces pays, ce sont des enjeux importants», précise-t-il.

    Sur le continent, quatre principaux projets de liquéfaction de gaz naturel sont en activité, notamment au Nigeria, en Algérie, en Angola et en Guinée Equatoriale. Des unités qui vont se multiplier avec les découvertes récentes de champs gaziers un peu partout.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_img

DEPECHES

DANS LA MEME CATEGORIE
EXCLUSIVITE

Fonction publique : Une nouvelle loi va désormais encadrer le mode de recrutement ( Autorité)

XALIMANEWS- Le recrutement à la Fonction publique sénégalaise va...

Le Président Diomaye Faye élevé au rang de citoyen d’honneur de la Ville de Thiès

XALIMANEWS – Le conseil municipal de Thiès a élevé,...

Urgent: Abdou Karim Gueye et Lamine Sonko arrêtés devant l’Assemblée nationale

XALIMANEWS: Le rappeur Abdou Karim Gueye dit “xrum xacc”...

Mesures de suspension de certains lotissements dans les régions de Dakar et Thiès

XALIMANEWS- Le secrétaire général du gouvernement portait à la...