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«Rewum ngor», creuset de valeurs, de convictions, de principes et de témérité

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La «République des valeurs» (Rv), Rewum ngor, et son leader, Thierno Alassane Sall, n’ont personne à rattraper. Ils ne marchent pas et ne courent pas non plus sur les sentiers qu’on leur indique, mais sur le chemin qu’ils se sont choisi, avec une prestance et une magnificence sans commune mesure. Le statut de fille aînée de la Rv, dans la grande famille «des Valeurs, Vertus, Convictions et Principes», requiert d’elle de s’extirper de ces coalitions politiques composites, douteuses, suspectes et prêtes à cloner et donner un nouveau souffle pour perpétuer un «Système» sexagénaire dispendieux. C’est pourquoi la Rv s’extrait volontairement de ce cadre infantile, où les ­leaders politiques et/ou ­d’opinions œuvrent à tuer dans l’œuf tout débat pluriel et démocratique, pour imposer dans l’espace politique, une pensée unique ou «unifiée».


Elle refuse de porter les œillères qu’on lui propose et se fait le pari d’analyser froidement les événements, avec l’objectivité requise. Elle se détache également de cette course effrénée de marchandages et négociations irresponsables pour arriver aux stations de pillage de nos maigres ressources publiques et mettre irrémédiablement en danger les conditions sociales, politiques, économiques et naturelles du pays.
La seule urgence de la Rv est d’être à la hauteur de ses convictions ; et elle ne saurait s’y soustraire, parce que composée de patriotes détachés, lucides, tempérants, sereins et réfractaires aux émotions négatives.
Son leader, Thierno Alassane Sall, n’a jamais su tenir sa tête qu’autrement haute et n’a jamais varié dans ses opinions. Il ne connait ni les pirouettes politiques, ni la supercherie, ni l’humiliation de la honte. Il a toujours eu la prétention d’être utile à ses compatriotes et s’il ne représente pas aujourd’hui un danger pour les honnêtes gens et pour les fonctionnaires consciencieux qui servent fidèlement la République, il l’est pour les autres, aussi bien dans le domaine administratif que dans le champ politique. Son Clan à lui, c’est le Sénégal, son Maître, après Dieu, c’est la Nation ; ses passages à l’Artp, au ministère des Infrastructures et des transports et à celui de l’Energie l’illustrant éloquemment.
Quand on a des hommes de cette dimension (qui nous rappellent Mamadou Dia et Ibrahima Seydou Ndao, Jaraaf), avec des valeurs et des principes moraux aussi élevés, il faut en faire des monuments et les montrer en exemples pour aider une jeunesse en quête de repères souvent étrangers, n’en déplaisent aux caisses de résonnance et autres insulteurs publics. A l’instar de Dia, TAS fait peur, et cette peur ankylose le pouvoir et tétanise une bonne partie de l’opposition qui, faute d’arguments devant ses prises de position tranchées, le traite d’aigri, de rancunier, d’envieux, d’égocentrique, oubliant volontairement que la personnalité de l’homme transcende ses sentiments négatifs.

Le Quotidien

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