XALIMANEWS : L’Association de la Presse pour l’Entraide et la Solidarité fustige avec la derniére énergie le saccage des locaux du journal Les Echos après la publication de l’article sur l’hospitalisation de Serigne Moustapha Sy guide des moustarchidines pour raison de Covid 19.
Des ordinateurs de la rédaction, des machines de la salle de montage ainsi que d’autres matériels ont été détruits par les malfaiteurs.
En attendant que l’État prenne une mesure ferme pour protéger les acteurs de la presse et leur outils de travail, L’APRES condamne fermement cet acte lâche et ignoble survenu ce Lundi 3 Aout 2020 et marque sa solidarité et son soutien à l’endroit des confréres, qui n’ont fait que relater une information.
L’APRES dit prendre acte et invite l’Etat à situer les responsabilités pour que cela ne se reproduise plus et que les auteurs de cette barbarie répondent de leurs actes devant la justice.
Sambou BIAGUI
Le Président de l’APRES
Inadmissible, nous condamnons fermement ces actes de vandalisme que rien ne justifie. La justice doit être saisie, et la loi appliquée sans aucune complaisance. Si cette information livrée par cet organe de presse s’avère être une diffamation, pourquoi ne pas saisir en toute légalité la police et procéder à une plainte en bonne et due forme. Nul n’est censé ignorer la loi, donc tout celui qui use de la violence gratuite doit absolument en répondre devant la loi. La citoyenneté passe avant tout par le respect des lois et règlements en vigueur dans le pays.
Il faudrait que les sénégalais se ressaisissent et fassent du respect de l’état et de ses institutions ,un principe sacro saint. En aucun cas nous ne tolérerons l’impunité face à de tels agissements qui relèvent de comportements barbares, ignobles. En conséquence la justice doit sévir sans état d’âme, quelque soit par ailleurs les individus mis en cause. Il y va encore une fois de la crédibilité de l’état et de son Chef, garants du bon fonctionnement des institutions républicaines.
HUMMM !!!! , Ça commence à faire trop
Kidnapping a la mafia sicilienne, milice organisée qui a fini d’infiltrer tous les services et l’état ne fait rien .
Le processus qui crée la tuerie des policiers en 96 est entrain de se recréer petit à petit