XALIMANEWS : Cet homme a vraiment une dent contre nos dirigeants. Ce, suite aux révélations de la BBC, impliquant Aliou Sall et Frank Timis.
Sur un ton ferme, il fustige le comportement des dirigeants africains, face aux « blancs ». « Les européens s’enrichissent sur notre dos sans qu’on s’en rende compte. Les hommes noires sont complexés devant les «blancs », tonne t-il. Avant d’alerter l’opinion publique sur ce scandale qui secoue la toile dernièrement. Et invite les africains à un changement d’attitude, qui selon lui serait la cause de la main mise des européens sur nos ressources. « Nous devons avoir plus de considération pour nous-mêmes. Et savoir prendre des décisions », martèle t-il.
« C’est honteux que Frank Timis puisse entrer dans notre et piller nos ressources sans grande difficulté. Les dirigeants africains ne pensent qu’à leur propre intérêt. C’est honteux », crache t-il.
Scandale pétro-gazier : Un sénégalais déverse sa bile sur Macky et Aliou Sall
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Rien à ajouter ! Sa khol diekhna mais t’as raison …
C’ est assez triste.Le monsieur a raison sur toute la ligne.Ce message devrait être écouté par tous.
Oui il a raison,car nous devons abandonner le complexe devant ces occidentaux sinon ils nous dirigent vers le K.O maintenant!
vraimen triste!
Quelle pertinence
vraiment triste!
A dire vrai, si nous étions comme les autres peuples, les Européens ne se seraient pas imposés chez-nous pour y mener un commerce d’esclaves pour ensuite faire de nous des sujets pendant des siècles ! Réfléchissons pour avoir le courage de mer une révolution sociale qui pourrait être facilitée par les revenus pétroliers et gaziers dont les contrats seraient renégocier. Qu’à fait le président Moralès dès les premiers mois de son arrivée au pouvoir en Bolivie ? Lisez ci-dessous :
Il faut à chaque fois préciser que cette somme représente un cumul sur des décennies. En fait, Franck Timis va empocher plus de 147 milliards de FCFA par an, c’est écrit noir sur blanc sur le contrat. Par ailleurs, il faut signer, pour une meilleure compréhension des Sénégalais que la Mauritanie et le Sénégal vont se partager 10% de la production au départ.
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Morales nationalise les hydrocarbures en Bolivie
Par Le Figaro Mis à jour le 15/10/2007 à 18:59 Publié le 02/05/2006 à 06:00
RIEN DE TEL qu’un week-end à La Havane entre Fidel Castro et Hugo Chavez pour en finir avec les hésitations. Rentré de Cuba hier, le président bolivien Evo Morales a surpris tout le monde en annonçant…
RIEN DE TEL qu’un week-end à La Havane entre Fidel Castro et Hugo Chavez pour en finir avec les hésitations. Rentré de Cuba hier, le président bolivien Evo Morales a surpris tout le monde en annonçant la nationalisation des hydrocarbures de son pays. Après des mois de tergiversations, il a opté pour la manière forte. «Nous demandons aux forces armées, ainsi qu’à des bataillons d’ingénieurs, d’occuper dès maintenant tous les gisements», a-t-il déclaré. L’armée s’est exécutée, qualifiant la décision d’Evo Morales de «nationalisation intelligente». Les vingt-six compagnies étrangères installées dans le pays, dont la brésilienne Petrobras, la française Total, l’Espagnole Repsol ou encore l’américaine ExxonMobil, ont 180 jours pour négocier de nouveaux contrats, sous le signe, dit le gouvernement, «de l’équité et de la justice».
En privé, certains dirigeants des compagnies étrangères reconnaissent que cette équité a trop longtemps été absente des contrats boliviens. Non seulement la population n’a jamais profité des bénéfices engendrés par l’exploitation des ressources naturelles (mines hier, hydrocarbures aujourd’hui), mais ces derniers étaient faibles. Le Brésil et l’Argentine, puissants voisins voraces en énergie, avaient bien trop intérêt à s’approvisionner en gaz à bas prix pour se préoccuper des conséquences de ce partage inégal sur le pays le plus pauvre d’Amérique du Sud. La Bolivie est depuis trois ans en ébullition, le débat sur l’exploitation des hydrocarbures ayant déjà entraîné la chute de deux présidents. Evo Morales le sait : depuis cent jours au gouvernement, il doit déjà affronter une vague de mouvements sociaux lui rappelant ses engagements.
Une popularité historique
C’est fort d’une popularité historique (près de 80%), que le chef d’Etat bolivien décide d’imiter un de ses voisins, Hugo Chavez. Le président vénézuélien a imposé plus que négocié une transformation des contrats avec les multinationales étrangères contraintes d’accepter ses propositions avant le 31 mars dernier, ou d’abandonner certains de leurs champs. Hormis l’américaine ExxonMobil, elles ont toutes accepté, avec la grimace. Le niveau historique des cours du pétrole (plus de 70 dollars le baril), les en a convaincus. Mais la Bolivie a beau être à la tête du deuxième plus grand gisement de gaz du continent, elle n’est pas dans la même situation. Ses capacités financières inexistantes et l’absence de savoir-faire la font dépendre des entreprises étrangères. Surtout, Evo Morales prend le risque de braquer le Brésil, dont les entreprises contrôlent un bon tiers de l’activité du pays, dans les hydrocarbures, l’agriculture ou les mines.
Ayant annoncé qu’il gouvernerait sans tuteur, Evo Morales passe pourtant progressivement dans l’ombre d’Hugo Chavez. Un mouvement qui s’explique sans doute en partie par le repli du Brésilien Luiz Inacio Lula da Silva sur son pays, à six mois de l’élection présidentielle. Ce week-end, à La Havane, Evo Morales a décidé de faire de son pays le troisième membre de l’Alternative bolivarienne pour les Amériques (Alba), un projet régional d’intégration économique et politique dont la dynamique dépend exclusivement des pétrodollars d’Hugo Chavez.
Ok c’est triste… on fait quoi maintenant!
Curieusement, on dirait que les dirigeants de l’Afrique pourraient tous faire comme le président Général Egyptien Al Sissi qui a imposé aux Italiens de la société ENI un partage en 50/50 de la production de gaz aux larges des côtes de son pays, après avoir refusé de mettre un seul dollars dans la phase de recherche qui ont duré deux ans dans des conditions très difficiles annoncées à l’avance. Les Italiens ont un peu hésité avant d’accepter après quelques jours de réflexion. Curieusement, aucun journaliste Sénégalais n’a cherché à savoir comment cela a été possible en Egypte, alors que la production va débuter avant la fin de l’année 2019 sur la base d’un parage de 50/50 imposé. I suffirait pourtant d’aller à l’ambassade d’Egypte à Dakar pour avoir des informations sur ce contrat ô combien avantageux pour le peuple Egyptien. Je pense que notre président Macky Sall est bien au courant de cela.