Se?bastien Coe, double champion olympique Britannique et actuel Pre?sident de la fe?de?ration mondiale d’athle?tisme ou? il a succe?de? a? Lamine DIACK est, a? l’image du faussaire avocat Malick SALL, de ces trai?tres que Dieu ne cre?e qu’une fois par sie?cle.
J’en sais un bout sur lui. En 2005, ici en sa compagnie, dans les locaux de la direction de Jeune Afrique, je fais la campagne re?ussie pour l’organisation des Jeux Olympiques 2012 a? Londres.
De?s la victoire obtenue, il me met de co?te? pour inviter des africains de l’olympisme, dont il a besoin, afin qu’ils s’occupent du village africain aux JO. Une forme de corruption ! Il passe par Cheikh Thiare, un autre cas, alors Directeur de cabinet de DIACK a? l’IAAF. John Boulter et Keith Mills, deux figures de la campagne londonienne, sont dans la boucle.
Ils ne savaient cependant pas que Coe avait un autre agenda, secret.
C’est qu’il avait besoin d’endormir le gratin du mouvement olympique africain et de rouler dans la farine Diack, leur parrain, en plus d’e?tre le patron de l’athle?tisme mondial dont justement Coe lorgnait le sie?ge.
Rien n’e?tait beau pour faire plaisir a? DIACK y compris jusqu’a? venir lui rendre visite lors des assises de l’athle?tisme a? Dakar.
On voit les deux ici dans la capitale se?ne?galaise en Laurel et Hardy.
Je voyais venir le coup de poignard dans le dos de DIACK dont les errements financiers e?taient encourage?s par le perfide Coe.
Ce qui devait arriver, arriva.
Apre?s avoir pris son poste avec son aide, c’est maintenant Coe le procureur plane?taire de DIACK.
Il lui re?clame 24 milliards cfa de dommages et inte?re?ts pour des recettes publicitaires qu’il lui reproche d’avoir empoche?es avec son fils Massata.
Qui disait encore que Dieu me garde de mes …amis ?
Adama Gaye, Le Caire 22 juin 2020″