Le ministre des forces armées, Sidiki Kaba, a présidé hier mardi, la cérémonie officielle marquant le démarrage de la première promotion du cours supérieur de guerre, dans le cadre de la volonté du Commandement de former localement l’élite militaire. Cette initiative » s’inscrit dans le cadre global de la mise sur pied de l’institut de défense du Sénégal pour répondre aux multiples défis sécuritaires qui posent avec acuité dans nos sociétés actuelles » a déclaré le ministre des forces armées. Cette école de guerre, qui a pour vocation de devenir un » creuset de formation des cadres supérieurs, est l’une des composantes de l’institut de défense du Sénégal. Ce dernier réunira trois entités: une École d’Etat major, une école supérieure de guerre et un Centre de doctrine », a rappelé M. Kaba. La première promotion comprend 10 auditeurs stagiaires venus de différents corps des armées, a-t-il précisé.
Sécurité: le Sénégal se dote de son » École de guerre »
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Actuellement, le contexte géostratégique dans le monde est tel qu’il n’y’a plus de guerre entre deux pays frontaliers – surtout dans notre sous-région ; dès lors, se pose la pertinence d’une restructuration de notre armée nationale. Oui, dans notre pays, nous avons surtout besoin de policiers, de gendarmes, de sapeurs-pompiers pour assurer la sécurité intérieure que de militaires pour nous protéger d’une hypothétique agression d’un pays voisin (Gambie, Mauritanie, Mali, Guinée). Oui, dans notre pays, les enjeux de l’heure ne sont plus militaires ; ils sont éducationnels, économiques, sanitaires – un djihad contre le sous-développement et le néocolonialisme !!! …