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Sénégal, le pays où le temps de parole est systématiquement supérieur au temps de travail (Wakh rek) – Par El Hadji Abasse Ngom

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Stop aux ragots et commérages sur le couple Présidentiel (Macky SALL et Marième Faye Sall). Il est d’une sottise, d’une illusion et d’un Thomas Moore même, que de parler de dynastie FAYE-SALL. Il n’y a point de dynastie FAYE-SALL au Sénégal. Arrêtez de parler et consacrez votre temps au travail (WAKHDJI DAFA DOYE). Le Sénégal est fait, maintenant il reste à faire des Sénégalais (patriotes). Au-delà des clivages partisans, j’exhorte tous les partis politiques du Sénégal à s’unir et se mobiliser pour soutenir le Président de la République dans son combat pour mener à bien notre pays. Cette union et mobilisation pour le soutien du Président de la République ne doit pas être vu comme une faiblesse pour l’opposition mais plutôt comme un acte de courage et de grandeur pour l’intérêt du Sénégal. Force est de reconnaître que le problème du Sénégal n’est certainement pas Macky SALL, mais plutôt les Sénégalais eux-mêmes. L’œcuménisme se veut de laisser Macky SALL travailler sereinement. Personne ne nous a forcés à l’élire avec 65,80% des suffrages. Il est intéressant de souligner que, ce n’est seulement qu’à la fin de son mandat que l’on pourra éventuellement émettre un jugement sur son bilan. Dans ce pays, nous sommes totalement dans une sorte d’ethos et d’habitus de groupe où tout le monde critique tout le monde gratuitement. Cette façon de faire relève plutôt des sentiments et des émotions. Il faudrait impérativement arrêter ce prosélytisme, prendre de la distance et sortir de cet ethos et habitus de groupe, pour mieux analyser et comprendre les choses. Oui la raison, c’est une règle simple de calcul, comme un plus un égal deux. Dans cette dynamique rationnelle, contrairement à l’émotion et au sentiment, nous pourrons ensemble, comprendre et aider le Chef de l’Etat dans sa tâche lourde qu’est le redressement du pays. Faisons des propositions au Président de la République, au lieu de tomber dans le « Bashing » systématique. Un pays marche certainement en créant, innovant, inventant, proposant, dialoguant, s’entre aidant, faisant avancer le schmilblick, … Oui, le travail. Un Etat ne fonctionne jamais quand on passe tout son temps à critiquer, à parler et surtout pour ne rien dire. C’est une idée simpliste que de dire que c’est Marième Faye SALL qui nomme. L’on me dira que c’est Mbagnik NDIAYE qui l’a dit. Je leur répondrais volontiers que, c’est totalement faux, puisque les paroles verbales n’ont aucun sens juridique. Qui peut nous montrer au Sénégal, un document officiel signé par Marième Faye SALL ? Je réponds vite : Personne. Ce n’est surtout pas Marième Faye SALL qui nomme, mais plutôt le Chef de l’Etat, son excellence Monsieur Macky SALL. L’heure est strictement au travail et non à la parlotte. Les Sénégalais doivent soutenir leur Président afin que ce pays aille de l’avant. Macky SALL a hérité d’un pays qui marche sur la tête. Karl Marx soutenait dans le « Capital » que la dialectique Hégélienne marchait à l’envers et qu’il fallait la remettre sur ses pieds. Macky SALL est entrain de faire exactement comme Karl Marx pour remettre le Sénégal sur ses pieds. De l’enchantement de Senghor et d’Abdou Diouf, en passant par le désenchantement d’Abdoulaye Wade (dafa yakhe réwmi, dépravation des mœurs), Macky SALL est entrain de ré enchanter le Sénégal (retour aux valeurs qui demande énormément de travail). Macky SALL est arrivé au pouvoir en constatant les dégâts causés par : « khalisse kéne douko liguéye daniou koye lidjenti », « défar bamou bakh », « wakh wakhète »…, je dirais même l’Etat de nature où chacun était libre de faire ce qu’il voulait sans suite judiciaire. Une fois au pouvoir, le Président de la République a réactivé la CREI, la bonne gouvernance, le PSE, l’Acte 3 de la décentralisation, misé sur l’éducation, la couverture maladie universelle, combattu la corruption, l’impunité, … Mais bon nombre de nos concitoyens ne l’entendent pas de cet oreille car s’inscrivant dans une dynamique de facilité, de « NAFéKH » et de « TAPALé ». Le retour à nos valeurs est primordial, puisqu’un pays ne peut pas se développer sans la conservation de ses valeurs. Samuel Phillips Huntington l’a bien illustré dans son livre : « The Clash of Civilizations and the Remaking of World Order », en s’appuyant sur les exemples de la Chine et l’Inde. Ces deux pays ont connu le développement grâce à la conservation de leurs valeurs en rejetant systématiquement l’occidentalisation (oui à la modernité et non à l’occidentalisation qui est source de dépravation des mœurs). Un pays qui veut se développer a vocation impérativement à conserver ses valeurs. Quand tu ne sais plus où tu vas, retourne-toi et regarde d’où tu viens. Auguste COMTE l’a bien compris, lui qui au début de sa pensée, critiquait fortement la religion en créant le Positivisme qui est le signe du désenchantement. Ce même Auguste COMTE a ré enchanté en créant à la fin de sa vie une religion (sur le drapeau Brésilien : ordre et progrès). Auguste COMTE a pacté avec la religion qu’il a tant dénigré au début de sa pensée (WIRI WIRI DIARI NDARI). Peuple du Sénégal, arrêtons de parler et consacrons notre temps au travail pour les générations futures. Dans cette perspective de redressement du pays, Macky SALL ne doit nullement transiger avec ses détracteurs. Le travail entamé par le Président de la République doit continuer, jusqu’à ce que l’on ait un pays où on parle moins et agit plus. Cependant, il est fort important de savoir que dans une société démocratique, l’Etat détient le monopole de la violence physique et légitime sur son territoire. Ceux qui aspirent à troubler l’ordre public verront la force et la puissance de l’Etat s’abattre sur eux.
A bon entendeur salut !

NGOM EL HADJI ABASSE : Diplômé en master de science politique à la faculté de droit et de science politique de Montpellier (France). Mail : [email protected]

3 Commentaires

  1. El hadji Ngom Basse pour quelqu’un qui se dit titulaire d’un master en sciences politiques vous devriez relire votre texte avant de le publier
    Venons en au texte Vous accusez vos compatriotes de verser dans le bavardage au lieu de travailler
    Je suis d’accord avec Vous tres bien les senegalais ne travaillent pas tout ce qu’ils ont est tombe du ciel on ne fait rien chaque jour c’est Macky SALL QUI NOUS DONNE TOUT les millions de dakarois qui empruntent les transports urbains des 5h du matin le font pour aller se promener leurs familles sont entretnues par le gouvernement de Macky Sall qui paye les factures d’eau d’electricite et achete les medicaments pour eux l’argent qu’ils gagnent est tombe du ciel
    CELUI QUI VERSE DANS LE BAVARDAGE ET LES CALOMNIES C’EST TON PRESIDENT NUL ET INCOMPETENT QUI DEVIENT DE PLUS EN PLUS NERVEUX CAR IL SAIT QU’IL A LAMENTABLEMENT ECHOUE APRES DEUX ANS ET DEMI DE REGNE IL N’A RIEN FOUTU
    AU CONTRAIRE SON REGIME EST DEVENU UNE DICTATURE DES OPPOSANTS EMPRISONNES ET DES ETUDIANTS ASSASINES ET DES JOURNALISTES MENACES
    UNE EQUIPE DE MINABLES JOURNALISTES CORROMPUS RERUTES POUR DEVLOPPER UNE PROPAGANDE QUI PEINE A PASSER
    Y A PAS PLUS TRAVAILLEUR ET PLUS DIGNE QUE LS SENEGALAIS !!!! CE QU’ILS SUBISSENT DEPUIS 2012 DANS D’AUTRES PAYS IL Y A LONTEMPS QUE LE REGIME DE CE MINABLE INCOMPETENT MACKY EBOLA SALL SERAIT BALAYE ET SON CLAN FAYE-SALL AVEC

  2. Ne sommes -nous pas au pays du Verbe , de la grogne ?le pays où des fanfarons de l’accabit de Idrissa Seck veulent subjuguer les masses tantôt par des dérives à effets pervers qui ne laisseront aprés eux que ruines et désolations , tantôt par des exhortations à saveur morale pour immoler éthiques et valeurs patriotiques .Ceux qui pour le soutenir se font acquereurs de cet art oratoire ne se font du tort au’à eux -meme Ramenons les à la position de réfléchir à la maniere de faire triompher les combats d’idées sans opprobres ni anathemes

  3. « L’injustice est une mère qui n’est jamais stérile et qui produit des enfants dignes d’elle. »
    Adolphe Thiers.

    État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
    « Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

    Un recteur, qui ignorait royalement l’autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d’une telle gravité qu’il ne doit certainement son « salut » (c’est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce à la transhumance du PDS à l’APR à la 25ème heure. Les « amis » avant la patrie.

    LE RAPPORT D’AUDIT QUI MET À NU LA GESTION DE MARY TEUW NIANE
    (rapport commandité conjointement par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de l’Économie et des Finances, sur financement de la Banque mondiale)
    sur ndarinfo
    UGB-de-Saint-Louis-Le-rapport-d-audit-qui-met-a-nu-la-gestion-de-Mary-Teuw-Niane
    __________
    « Chaque fois qu’un homme défend un idéal, ou une action pour améliorer le sort des autres ou s’élever contre une injustice, il envoie dès lors une petite vague d’espoir. » Robert Fitzgerald Kennedy

    Sauvons nos universités publiques du naufrage.
    (leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

    Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos institutions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-elles pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
    Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
    En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
    A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.
    L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
    Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
    Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.
    ———–
    « Chaque fois qu’un homme défend un idéal, ou une action pour améliorer le sort des autres ou s’élever contre une injustice, il envoie dès lors une petite vague d’espoir. » Robert Fitzgerald Kennedy

    «LA JUSTICE DOIT FAIRE LA LUMIERE SUR L’ARGENT INJECTE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR»
    BIRAHIM SECK DU FORUM CIVIL
    sur seneplus
    la-justice-doit-faire-la-lumiere-sur-l%E2%80%99argent-injecte-dans-l%E2%80%99enseignement-superieur
    Publication 16/09/2013

    Actuellement, la polémique fait rage entre le Saes et ministère de l’Enseignement Supérieur sur l’utilisation des milliards injectés dans l’enseignement privé pour l’orientation des bacheliers. Qu’est ce que cela vous inspire ?

    Le Saes a tout à fait raison de demander des comptes au gouvernement sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur pour la prise en charge des bacheliers orientés dans les universités privées. Les dirigeant du Saes n’ont usé que des dispositions des articles 14 et 15 de la Déclaration des droits de l’Homme et des peuples qui fait partie intégrante du préambule de notre constitution qui prône la bonne gouvernance et la transparence. Il ne devrait y avoir même pas de polémique. Les autorités devraient même rendre compte avant que le Saes ne le demande. Les étudiants également doivent demander des comptes parce que les services sont pour eux.

    De plus, mon étonnement est plus grand sur le silence affiché par le gouvernement par rapport aux différents audits publiés sur l’enseignement supérieur qui intéressent les autorités de l’enseignement supérieur et au plus haut niveau. C’est grave et inquiétant au moment où nous dit que l’Etat veut injecter 302 milliards dans le domaine de l’enseignement supérieur.

    La justice traque des citoyens sénégalais et quand on produit des audits qui intéressent les membres du gouvernement ou des administrateurs, l’Etat ferme les yeux. Ce sont ces pratiques que les Sénégalais ont combattues. La justice sénégalaise doit également faire la lumière sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur. Les rapports d’audit sont là.

    Cependant la Banque mondiale est également interpellée car il ne sera logique ni acceptable que de l’argent soit à nouveau injecté sans que la vérité ne soit connu sur les faits invoqués dans ces rapports d’audit sur l’enseignement supérieur.

    Le Saes est bien dans son rôle et il appartient à l’Etat d’éclairer les Sénégalais si on veut avoir un enseignement supérieur de qualité dans un espace de sérénité et de lumière.
    _________

    « Ne l’oubliez jamais : celui qui laisse commettre une injustice ouvre la voie à d’autres injustices. » Willy Brandt

    «MARY TEUW NIANE MENE LE PRESIDENT DROIT AU MUR»
    SEYDI ABABACAR NDIAYE, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU SAES
    Oumar KANDE | Publication 23/08/2013
    sur seneplus «mary-teuw-niane-mene-le-president-droit-au-mur »

    « Seydi Ababacar Ndiaye, continuant son interpellation, demande quelle suite sera donnée à l’audit des universités où il a été noté une mauvaise gestion généralisée, «y compris la gestion du ministre actuel quand il était recteur de l’Ugb».

    «Est-ce qu’on peut continuer à faire confiance à des dirigeants qui ont été épinglés par différents rapports ? IL Y A AUSSI UN AUTRE DOCUMENT COMMANDITÉ PAR L’ACTUEL RECTEUR DE L’UGB AU NIVEAU DE LA DÉLÉGATION POUR LA RÉFORME DE L’ETAT ET DE L’ASSISTANAT TECHNIQUE (DREAT), QUI ÉPINGLE LE MÊME MINISTRE.

    Ce document à montré que l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur, quand il était recteur à l’Ugb, son jeu favori c’était de créer des postes de responsabilité, de direction. Il en avait créé dix-neuf dans une petite université comme l’Ugb et il y avait des conséquences sur la masse salariale car tous ces directeurs avaient l’équivalent d’un million d’indemnité.

    Ces manquements devraient édifier qu’il faut faire les bonnes enquêtes et prendre les individus qu’il faut pour les missions importantes.

    Quelqu’un qui dirige une simple université et qui a ces types de comportement, on lui confie le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il y a lieu de se poser des questions», a dit Seydi Ababacar Ndiaye. »

    ———————-kathior, 24 novembre 2012 00:18 de nettali —————-
    DÉCLARATION SAES
    La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.
    Devant le constat :
    d’une situation générale de mal gouvernance,
    de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
    de non respect des textes universitaires,
    de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
    de la dégradation des conditions de travail,
    de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
    de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.
    L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane….

    L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.
    Ainsi, l’AG exige :
    le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
    le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
    Heures Complémentaires du second semestre,
    perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
    le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
    le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
    L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et INTERPELLE LES POUVOIRS PUBLICS SUR LA NÉCESSITÉ D’AUDITER LES FONDS ALLOUÉS.
    Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
    Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.
    Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
    L’Assemblée Générale
    ————-
    SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).
    Saint Louis, 22/06/2012.
    APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.
    Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Dans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.
    LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.
    Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.
    Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
    C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.
    VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.
    L’Assemblée générale
    _

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