Décidément, les assertions des Thiantakounes en font rugir plus d’un. Si ce qu’ils disent est la vérité, pourquoi s’offusquer ou avoir honte que d’autres l’entendent ?
Un certain Ibrahima Bocoum s’est permis de m’adresser une ahurissante lettre ouverte complètement à côté de la plaque. Serigne Bocoum, relisez ce que j’ai écrit et relisez votre « réponse ». Il n’y a aucun rapport. Je parle du baobab et vous m’accusez d’avoir insulté le tamarinier. Si ce n’est pas de la mauvaise foi, je me demande ce que c’est. Avez-vous fait l’effort de vérifier si ce que je raconte est vrai ou faux ? On ne dirait pas. Allez aux « thiant », vous y entendrez ce que j’ai rapporté. Et je défie tout thiantakoune de jurer que ces paroles n’ont jamais été émises chez eux. Je n’ai rien inventé. Eux-mêmes le savent. Où est donc la diffamation dont vous parlez, M. Bocoum ? Si vous ne pouvez pas ou ne voulez pas vous rendre à leurs cérémonies, vous pouvez écouter leurs chansons et discours sur leur site www.santati.net
[Guerre du blog] Serigne Bocoum, craignez Dieu si vous croyez en Lui Par Bathie Ngoye Thiam
Date: