Seydou Guèye : « La participation de Macky Sall contribue à la lutte contre le terrorisme »

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Xalima News: Le porte-parole de l’Alliance pour la République (Apr), Seydou Guèye, approuve la participation du chef de l’Etat, Macky Sall, à la marche de Paris contre le terrorisme, suite à l’attaque contre le journal Charlie-Hebdo. Pour Seydou Guèye, le Sénégal doit contribuer à la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme.  » Cette marche devrait à mon sens constituer un marqueur décisif dans la lutte contre le terrorisme et servir de point de départ pour une mobilisation internationale en vue de garantir notre sécurité collective face à un risque nouveau qui n’épargne pas l’Afrique et qui est à nos portes » a t-il dit dans le quotidien Le Soleil.
K. NIANG

5 Commentaires

  1. tout simplement et cela ne merite pas tout ce bruit et puis il faut faire la distinction des choses puisque le president macky sall est un musulman il ne peut pas cautionner de telles pratiques sur le prophete psl donc c’est juste un faux debat et cela ne fera que ralentir ce processus de developpement qui est déclenché et c’est ce qui est essentiel

  2. Vous avez beau faire , l’outrecuidance de votre mentor sera châtiée comme cela se doit !!! Comment peut-il ôter le pain de la bouche de la veuve et de l’orphelin afin de payer les taxes aéroportuaires à Paris , pour aller manifester à côté des insulteurs du prophète ( psl ) ??? Il s’est apostasié , avec son gros bide , s’il nous disait qu’il partait accoucher d’un enfant en France , puisque arrivé au terme de sa grossesse , on l’aurait mieux compris , mais aller prêter mains fortes à ceux qui vilipendent celui que nous avons de plus cher dans notre foi , nous offusque et il en paiera le prix. Ce mec ne sert à rien , sinon qu’à détruire notre cohésion , raison pour laquelle sur RMC ce matin , dans l’émission les grandes gueules , il fut traité de faux cul ; vouloir ménager la chèvre et le choux : manifester pour Charlie et interdire la vente du même journal le lendemain au sénégal , les animateurs de la radio n’ont pas hésité à le brocarder , le traitant de faux cul , et à juste titre !!! Vivement que ce cauchemar prenne fin , qu’il soit laminé aux prochaines élections , direction rebeuss !!! Rien ne sera pardonné à ce type , autant qu’à sa dynastie . Il faut qu’ils soient éradiqués comme la peste en son époque !!!S’il pense qu’en allant manifester à Paris ferait qu’il ne soit pas un CHARLOT mais plutôt Charlie , c’est peine perdue , il demeure toujours ce CHARLOT que nous nous ferons le plaisir de bouter hors du pouvoir qu’il a tendance à transformer en népotisme , ça lui en cuira !!!

  3. Pourquoi il ne fallait pas marcher à Paris.
    1/ Parce que gouverner c’est prévoir. Et ne serait ce que pour éviter de mettre les répondeurs, genre SJD, dans l’obligation de gymnastiques pour répondre aux prochaines attaques, Macky ne devait pas marcher. Une comparaison qui permet de comprendre: le Maroc a refusé de marcher et la raison donnée est que dans la marche même il y a des pancartes de caricature du prophète. Macky a cheminé avec ces pancartes. Et la marche dite « républicaine » se terminait devant une synagogue.Quelle est le rapport avec le terrorisme ? Les morts sont-ils juifs ? La république est elle juive ? La république française n’avait pas d’autres symboles plus républicains qu’une synagogue ?
    Et une consultation préalable des religieux du Sénégal aurait pu l’éclairer.
    2/ L’attentat a eu lieu le 07, la marche le 11, soit 3 jours francs pour tout préparer. La présence de Macky à la marche a été annoncée dans la presse dés le 09. C’est dire qu’il a été invité le jour même de l’attentat ou le lendemain. Pour dire que tout est fait pour ne pas laisser le temps de comprendre. Tout est fait pour accélérer une marche qui devait avoir pour but de taire les interrogations. Une marche qui devait s’imposer pour enterrer, sinon la vérité, en tout cas toute idée de rechercher autre chose que ce que la marche est chargée d’imposer aux esprits. La marche a été une récupération d’un drame pour en faire une arme d’attaque contre l’Islam. Et de là à penser que le drame est justement fabriqué pour en faire une arme contre l’Islam, le chemin est ténu. Dans tous les cas de figure le doute devait être une cause de ne pas marcher
    3/ Rien n’est fait dans cette marche et dans sa préparation pour éviter une stigmatisation de l’Islam. Cette stigmatisation était même recherchée. Un crime dont il n’était pas certain (et il ne l’est toujours pas) que ce sont des musulmans qui l’ont fait est présenté comme un crime de l’Islam. Et justement parce que le Sénégal est un pays de « Foi et de Liberté, modèle de coexistence pacifique entre différentes croyances », Macky ne devait être présent à une marche qui pouvait remettre en cause ces valeurs du Sénégal. Parce qu’il s’est agi d’une marche qui stigmatise une foi et une seule d’entre les autres.
    Macky ne devait tout simplement pas marcher à cause de tout ce que sa marche aurait pu signifier. Et dire qu’il ne peut trouver de prétexte pour ne pas y être, à l’image d’un Ouattara, d’un Déby, c’est faire insulte à tous les diplomates sénégalais.

  4. Ces dirigeants qui étaient «Charlie» dimanche, qui ne le sont plus aujourd’hui
    Camille KAELBLEN et Léo MOUREN 16 janvier 2015 à 17:55
    Le roi Abdallah II de Jordanie, à côté de sa femme, la reine Rania, en discussion avec le Premier ministre finlandais, dimanche 11 janvier à l’Elysée, avant la marche. (Dominique
    Plusieurs chefs d’Etat ou de gouvernement ont participé dimanche 11 janvier au rassemblement parisien. De retour dans leur pays, ils ont critiqué l’hebdomadaire, voire l’ont fait interdire.
    Une épidémie de schizophrénie s’est abattue sur quelques-uns des dirigeants étrangers présents dimanche dernier à la marche parisienne, en hommage aux victimes des frères Kouachi et de Coulibaly, et notamment aux douze «Charlie» tués à la kalachnikov. Une marque de solidarité envers la France, touchée par le terrorisme, mais qui pourrait s’interpréter comme un soutien de leur part à la liberté d’expression… Cela ne les a pas empêchés de critiquer, voire faire interdire, la dernière édition de l’hebdomadaire satirique.
    Sénégal. Macky Sall, le président sénégalais, était présent en personne à la marche républicaine, dimanche.
    Mais il a fait interdire mercredi, «par tout moyen», la diffusion du dernier Charlie Hebdo ainsi que de l’édition du jour de Libération, qui reprenait la une avec Mahomet. Il s’est justifié en expliquant que la liberté d’expression «ne doit pas entraîner vers ce qu’on peut considérer comme une provocation, tout à fait inutile.» Le Sénégal est un pays à 95% musulman.
    Russie. Le ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov était à la marche de dimanche, à côté du président ukrainien Petro Porochenko. Mais Moscou ne semble pas être très solidaire. Un militant russe a été condamné vendredi à huit jours de prison pour avoir manifesté au pied du Kremlin, samedi, son soutien avec une pancarte «Je suis Charlie». Il a été condamné «pour violation des règles d’organisation d’un événement public». Le manifestant n’avait pas demandé l’autorisation des autorités municipales, a précisé la porte-parole. Les militants ultra-religieux qui avaient sortis des pancartes «Les blasphémateurs de France ont reçu la punition qu’ils méritaient» n’ont, quant à eux, pas été inquiétés.
    Les médias, surtout ceux proches de Vladimir Poutine, relaient l’idée que la France avait sa part de responsabilité dans ces attentats, à cause de l’échec de sa politique d’intégration ou de son intervention au Moyen-Orient contre l’Etat Islamique. Dans ce pays profondément orthodoxe, les religions occupent une place importante. Le vice-premier ministre Dmitri Rogozine a d’ailleurs déclaré dans un tweet: «On ne peut pas confondre la liberté d’expression et la liberté d’offenser les sentiments profonds des gens.» Un appel à manifester le 25 janvier à Moscou a aussi été lancé par des «militants pour les droits des musulmans».
    Jordanie: Les présences du roi Abdallah II de Jordanie, et de sa femme Rania al-Yassin, ont été très remarquées.
    Abdallah II a cependant dénoncé, jeudi, la caricature de Mahomet en une de Charlie Hebdo, qu’il considère comme «un comportement condamnable, irresponsable et inconscient». Il a rappelé la nécessité «en ce moment précis de faire preuve de sagesse, d’un esprit de dialogue et d’ouverture».
    Turquie. Le président conservateur Recep Tayyip Erdogan a envoyé son Premier ministre Ahmet Davutoglu à la marche de dimanche. Ce même Premier ministre qui a déclaré jeudi que la caricature de Charlie Hebdo constituait «une grave provocation». «La liberté de la presse ne signifie pas la liberté d’insulter», a dit le chef du gouvernement d’un Etat qui est loin d’être une référence en matière de liberté d’expression. En 2012, Reporters Sans Frontières qualifiait la Turquie de «plus grande prison du monde pour les journalistes». Un quotidien d’opposition turc s’est cependant risqué à reproduire les caricatures.
    Tunisie. Le chef du gouvernement tunisien Mehdi Jomaa a exprimé ses condoléances suite aux terribles attentats qui ont frappé la France, et a participé à la marche pour défendre la liberté d’expression dimanche. Jeudi, son ministère des Affaires étrangères a pourtant demandé aux médias «d’éviter de toucher au sacré». Le dernier numéro de Charlie Hebdo n’a pas été publié en Tunisie.

  5. La question capitale est la suivante:est ce que ceux qui ont tue les caricaturistes de charlie hebdo sont des terroristes.Ni Macky Sall encore moins ce guignol de Seydou Gueye,aux dents jaunies par l alcool et le tabac n ont encore repondue

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