Souleymane Ndéné Ndiaye : « Je sortirais du PDS, si…… »

na sa ngelaww nangou…PDS sokhlawoula…on a fait les primaires et tu n as pas gagne…reste un homme tee bayi wakhjou bari bi

Ce part estla propriété de qui on sait. Comme une bonne monarchie, il prône : Apres lui, son fils ! Qui n’est pas d’accord avec cette constante vision, Bye 1

enfin,quelqu’un qui sort du lot,je ne suis pas du parti,mais j’apprecie beaucoup l’attitude de ce monsieur.LE PDS etant le parti le plus important et qui a beaucoup contribuè à parfaire notre democratie meriterait une democratie interne plus serieuse,il est moralement inacceptable de positionner KARIM a travers cette parodie de primaire.j’ai comme l’impression que le PDS est un troupeau guidè par WADE FAMILY.

aurais certainement adhéré pour une candidature de N’déné N’diaye pour représenter le PDS à la prochaine Présidentielle, mais à la seule condition qu’il ait été choisi de manière démocratique face à d’autres candidats !
Malheureusement, apparemment, monsieur N’déné N’diaye est prêt à aller seul sans l’aval de son parti ! Si tel est le cas, comme dans tous les partis démocratiques du monde, son exclusion serait presque de facto !
Je ne serais même pas surprise d’ailleurs, car je ne sais pourquoi, mais N’déné se croit avoir les qualités requises pour être le seul, au PDS, à pouvoir battre Macky Sall en 2017 ou 2019 ! Comment peut-on dire, quand on est dans un parti politique, que rien ne vous empêchera d’être candidat, alors que le choix du candidat ne s’est pas porté sur vous ? Monsieur N’déné devait, à juste titre s’il le voulait, demander que le choix du candidat de son parti soit fait autrement que ce qu’on a vu récemment mais, de là à dire que rien ne l’empêchera de…, c’est gros !
P/S Monsieur N’diaye doit cesser de prendre ses frères et les Sénégalais pour des demeurés !
Depuis plus de 8 mois, j’ai dit ici même que le ver qui est dans le fruit du PDS est bien N’déné N’diaye. Un homme qui pouvait avoir l’adhésion de beaucoup de ses frères et mêmes des autres mouvances au Sénégal, n’eut été son orgueil très mal placé, et sa suffisance qui transparaissent dès qu’on l’interviewe plus de trente minutes ! Chasser le naturel, il revient toujours au galop, dit l’adage !
N’déné prenait trop de haut ces camarades depuis plus de deux ans, et ce comportement n’est bon dans aucun parti politique au monde ! N’déné s’en ira, on le sent dans les mots qu’il emploie après avoir tout pesé, et son départ a été programmé depuis plus de deux ans !
Ce serait du sabotage en faveur de son ami Macky Sall, quand bien même il n’aurait pas plus de 5%, s’il se présentait en dehors du PDS, mais ces 5% pourraient empêcher que le PDS soit au deuxième tour pour faire face à son pire adversaire, pour ne pas dire ennemi, l’occupant du palais et candidat à sa succession, Macky Sall ! Je suis convaincu qu’une victoire de Macky Sall lors de la prochaine présidentielle ferait plus plaisir à N’déné, hors du PDS, qu’une victoire de ce PDS !

Le « j » de aurais a été escamoté!

ndene t as pas la carrure d un presidentiable ni l intelligence…..poukoi vouloir attendre t es plus du PDS depuis tres lgts…..mieux vaut aller soutenir ton ami maki sall….ou creer ton parti et prendre tes responsabilites……et repondre aussi a la crei….dont forget please ……t es un frimeur…avec maki on a assez de ces petits politichiens….el hadj diouf rekk a baax ci yow hahaa

Il est encore aigri, mais le monsieur, à la fois Brutus et Caïn, devrait nous épargner le théâtre des faux-fuyants et atermoiements hypocrites. Aussi bien de par ses prises de position que dans sa pratique politique quotidienne, il est, depuis belle lurette, du côté de Macky Sall et ne cherche plus que les occasions, la fenêtre de tir, pour enfoncer des portes largement entrebâillées, les laïus et habillages de sa transhumance amicale et participative étant déjà dans la boîte. Tout le monde sait / voit que, déjà comme Directeur de campagne inoffensif, il n’était pas à 100%, tiraillé qu’il était dans ses loyautés (?) antinomiques entre le crépuscule de son mentor et l’aube politique de son ami devenu opposant.
Piètre demi-directeur de campagne et, de toutes façons, déjà demi-premier ministre, visiblement inassouvi et mécontent, vu la toute-puissance ministérielle octroyée à Karim et la boulimie de celui-ci, on peut même penser qu’il était déjà une taupe de Macky pour lequel il a ainsi, énième Brutus de Wade, « tué » le père, mais aussi, d’une certaine manière, le frère qui lui bouchait l’espace de vie et les perspectives.
Les « retrouvailles » de Souleymane avec Macky sont programmées. Les écrans de fumée et les prétextes à mettre en avant et cousus de fil blanc, ce n’est pas la peine ! Tôt ou tard, il finira par retrouver son compère de président et sera servi (ou plutôt : récompensé (?) par ce dernier.
En tout cas, il n’a pas l’étoffe de prendre en charge ce qui restera du PDS – qu’il a contribué à exploser – lorsque, les uns, aujourd’hui en route détourné, seront déjà arrivés dans les prairies brunes (savanneuses?) de son pote, les autres allés rejoindre leur ex-numéro 1 bis et « actionnaire principal », ne survivront plus dans le moignon du parti de Wade que ceux qui ne peuvent pas partir ou dont on ne veut (encore) nulle part.
Le problème principal pour Souleymane Ndéné, c’est a) de devoir prendre le dernier train, b) de venir de l’ennemi et, donc, d’être traité comme tel par des militants APR rancuniers et jaloux de leurs investissements et prébendes, c) de devoir, alors, se battre, pour une fois, pour se faire une place.
Que sa mue identitaire se fasse avec ou sans fioritures, les Sénégalais avertis ne seront pas pris au dépourvu, vaccinés et blasés qu’ils sont devant les incontinences séculaires de leurs dirigeants et élites de tous bords. On est bien dans un pays extraverti où l’État s’est vu imposer, du dehors, une structure et des rituels démocratiques alors que, dans son ADN, la société est demeurée profondément (semi-)féodale.