Et si le moins politique était le moins exposé et donc le plus apte – en interne comme en externe – à réussir le pari consensuel d’unité autour de l’idéal qui nous réunit ?
De tous les candidats de la mouvance présidentielle à la succession du Président Macky Sall (et à y regarder de très près), il y a un qui peut être celui qui gêne le moins, en interne comme en externe et ferait parfaitement l’affaire : Mouhamed Boun Abdallah Dionne.
L’ancien Premier ministre du Sénégal porte un actif positif, en interne comme un externe, de par son exemplarité multidimensionnelle : un patriote et haut commis de l’État totalement au service de la République, un homme pieux de dimensions humaine et intellectuelle exceptionnelles qui marque par sa compétence, sa simplicité et son accessibilité. Tous ceux qui l’ont pratiqué le savent et le lui reconnaissent.
Homme loyal, très pointilleux sur le travail et qui fait de la sacralité des institutions une religion. Il le dit souvent « le fondement de notre cohésion sociale est dans le respect : respect des uns et des autres, respect des valeurs , respect des institutions, respect des lois et reglements de notre pays ».
Mouhamed Boun Abdallah Dione est au sein de la mouvance présidentielle l’un des hommes les plus respectés pour son serieux, sa probité, son esprit d’ouverture et démocratique, mais aussi pour sa capacité à prendre de la hauteur sur des situations inédites avec une maitrise de soi exceptionnelle. Une identité et une maturité politique qui mettent en evidence ses similitudes avec …le Président Macky Sall. Un des plus fidèles, si ce n’est pas le plus fidèle des compagnons du Président de la République, Boun Abdallah reste en toute circonstance lui-même : digne, discret et toujours disponible pour la République.
En interne, il ne peut être décrit comme une figure politique qui gêne. Ni ses discours et encore moins ses actes n’ont une seulement fois été de nature à aller dans le sens de la désunion. En véritable général de guerre, il a su fédérer l’action politique et électorale du camp présidentiel jusqu’à la brillante victoire de mars 2019 (la reconduction du Président).
Mouhamed Boun Abdallah Dionne est en odeur de sainteté avec toutes les personnalités politiques de la mouvance présidentielle, avec tous les foyers religieux, le secteur privé national et les syndicats. Et les sénégalais le respectent pour son dévouement à la Nation et sa manière de pratiquer la politique (respect des autres, discours courtois, dignes et toujours mesuré).
Mouhamed Boun Abdallah Dionne a aussi l’avantage d’avoir été de ceux qui ont conçu et piloté le Plan Sénégal Émergent (PSE).
Alors qui de mieux pour succéder au Président Macky Sall ?
Cheikh Mbacké SENE
Mackyste et cadre Républicain
Expert en communication et Intelligence économique
cheikh Mbacke Sene ton Boune Dione est le bon pour recolter 2% des suffrages on ne sait meme pas d’ou il sort ce type
Il a montre une incompetence telle a la primature que Macky Sall a juge le poste de premier ministre inutile
je me demande ou il va recolter des voix ce monsieur peut etre chez toi !!!
Booune dione c’est juste du macky sall mais en moins-value. La présidentielle c’est la rencontre d’un homme avec son peuple. Dans cette perspective malheureusement pour boune dione il n’a aucun charisme, aucune aura aucune popularité et plus grave aucun projet de société ne vient de lui-même jusque-là.
Les sénégalais ont une seule VOLONTÉ pour la présidentielle de 2024 : se départir et laver à grande eau tout ce qui a rapport avec la gestion de macky sall en particulier sa gestion ethniciste halpoular du Sénégal. Les sénégalais ne veulent plus d’un autre halpoular comme président dans le court et moyen terme. Assez c’est Assez.
Président de la République : halpoular
premier ministre : halpoular
président assemblée nationale : naturalisé halpoular
président du CESE : halpoular
Toutes les directions d’organismes ou de ministères ainsi que les ambassades du Sénégal à l’étranger sont remplies de halpoulars. À partir de 2024 il va falloir pour le prochain président de travailler à rétablir l’équilibre et purger toutes ces personnes installées dans ces structures de façon clanique c’est-à-dire sans compétence.