Dans le malaise qui caractérise les relations entre Macky Sall et Moustapha Cissé Lô, les jeunes apéristes de Touba voient « la main malfaisante » de Abdou Abel Thiam. « Il attache du prix à la mort politique de Cissé Lô. Il l’a combattu depuis le début et use de tous les subterfuges pour l’éliminer ». Accusation faite par « le Général » Diène Guèye et ses camarades. Des menaces ont été proférées contre le porte-parole du président.
La pression continue de monter à Touba, chez les souteneurs de Moustapha Cissé Lô. En l’espace de 72 heures, une dizaine de conférences de presse ou de réunions ont été organisées pour dénoncer le limogeage de Moustapha Cissé Lô de son poste de ministre-conseiller. La mise à l’écart de celui que la presse surnomme El Pistolero est perçue comme une humiliation par certains républicains de la cité. Seulement, jusqu’à présent, c’est le président Macky Sall qui était pointé du doigt comme étant celui qu’il faut attaquer. Ce lundi, un autre groupe de protestataires est sortie de terre pour faire porter le chapeau à un proche du chef de l’Etat. En à croire « le Général » Diène Guèye, le journaliste, porte-parole du président de la République, est l’unique responsable de ce qui arrive à leur leader local. « Il en veut à mort à Moustapha Cissé Lô. C’est son principal ennemi. Cissé Lô le gêne et nous ne savons pas les raisons de cette haine viscérale. C’est lui qui est à l’origine de ce malaise qui existe entre notre coordonnateur départemental et le président Macky Sall. Il complote contre lui », dira M. Guèye. Sous le contrôle de Cissé-Pds (devenu depuis son ralliement Cissé-Apr), le porte-parole du groupe invitera le président de la République à se séparer de celui qu’il compare à « un faiseur de troubles ». « Macky Sall gagnerait à se séparer de Abou Abel Thiam qui ne vibre que pour le séparer de ses alliés les plus proches. L’on s’étonne de voir qu’il saute toujours sur la première occasion pour attaquer Moustapha Cissé Lô. Nous lui déclarons la guerre et lui interdisons de fouler le sol de la cité religieuse de Touba ». Des accusations et des menaces, tout sur le dos d’un journaliste qui peut-être n’a rien à voir avec cette crise qui secoue le parti républicain.
Mama Moustapha MBAYE (Correspondance)
loffice.sn
La conclusion de l’article resume l’essentiel. Abou Abel Thiam ne trouve aucun interet a ce que LE President Macky Sall se separe de Moustapha Cisse LO. Ce dernier doit savoir sa place. SON seul handicap c’est qu’il n’est qualifie pour diriger cette douzieme legislature qui ne doit pas ressembler a celle de traubadours etd’applaudissements qu’on a connue dans le passe.Je pourrai comprendre que Abou Abel Thiam se dispute d’un poste avec El Hadji Kasse car ils sont tous les deux des journalistes. Ils peuvent avois donc des interets en commun.
Ensuite les militants de Touba doivent cesser a chaque fois de menacer les gens de ne fouler le sol de Touba. Cela n’a aucun sens car Touba est une partie integrante du territoire senegalais.
Quand Cissé Lô et Mbaye Ndiaye se sacrifiaient pour Macky Où etaient Abou abel et les autres qui sont aujourd´hui entrain de timpaniser les gens. Du serieux svp.
Qui veut tuer son chien l´accuse de rage.
Cissé Lô est beaucoup plus meritant que ses gens nouvellement connus et qui cherchent une popularite par tous les moyens. Cissé Lô il faut aller jusqu´au bout en deposant ta candidature.Tu es dans tes droits,comme quand tu defendais Macky.
Personne ne tue Cissé LO, c’est lui-même qui s’en charge et très bien même. Quand on cherche la position de Président de l’Assemblée Nationale on évite de dire tout et n’importe quoi, n’importe où et n’importe comment. Ce type n’a pas de « soutoura » et sa propension a tout étaler en public lui nuira toujours. Qu’il revoie son comportement et il y gagnera. De plus, on est en démocratie : il n’appartient pas à Macky SALL de nommer le Président de l’Assemblée. Tout au plus, peut-il soutenir un candidat, c’est tout !!! Cissé LO DOIT IMPERATIVEMENT arrêter de proférer des menaces contre l’autorité publique !!! Nul sénégalais n’a à subir sa dictature.