Tout ce sang qui coule, une simple brise selon Wade. Le pire reste donc à venir Par Marvel

Pour qui connait un tant soit peu ce vieil homme que tout éloigne de la dignité, du sens de l’honneur, de la probité, de la morale, de la foi, du patriotisme, de la fidélité, bref de tout ce qui fait la valeur d’un homme, l’entendre qualifier de simple brise les 7 cadavres, les centaines de blessés, graves pour certains qui ne risquent pas de survivre à leurs blessures dans les hôpitaux ou centres de santé que la cleptomanie du vieil homme a transformés en mouroirs, les centaines d’arrestations, les énormes dégâts matériels dans les différents villes appauvries par son insatiabilité, l’entendre dire cela donc n’est certainement pas une surprise

Qualifier de simple brise ce bilan macabre après seulement 5 jours de la matérialisation par ses 5 singes de son obstination à sortir du palais qu’en état de cadavre, ou alors uniquement au profit de son simplet de fils, nous donne ici une idée claire sur les limites qu’il est prêt à franchir sans aucune hésitation, même si il lui aussi obstruer par bien plus de cadavres et de chairs arrachées aux blessés toutes les issues du palais afin de ne pas y être délogé

Arrivé au palais par pure imposture et étalage de mensonges qui n’engagent comme il le dit que ceux qui y croyaient, sa première action de grâce a été au bénéfice des assassins du juge Babacar Seye. Ce qui prouve déjà, avant les aveux précis de Pape Ibrahima Diakhaté (l’un des assassins), qu’il a bien marché sur des cadavres pour arriver au palais, au contraire de ses propos qui ressemblent toujours à ceux d’un démocrate, mais sortis de la bouche d’un autocrate sans vergogne

Depuis lors, il n’a cessé de collectionner les cadavres. D’abord en étant le principal auteur de la plus grande tragédie maritime de l’histoire, le naufrage du Djola qu’il a fait remettre à la mer après avoir détourné les fonds qui devaient servir à la réparation de l’un des moteurs du bateau.

Ensuite au fils des années, en faisant éliminer par des lâches, corrompus, écervelés en tenue de policier ou de gendarmerie, ou en  treillis, des étudiants, des enfants qui passaient par là, des femmes qui sortaient d’un marché, des papas qui allaient à la pharmacie, des patriotes qui voulaient défendre leur constitution, des témoins gênants, des militants de partis politiques, des adversaires de son systèmes cancéreux, ……., des éliminations souvent faites dans les circonstances les plus atroces, lorsqu’il ne les fait pas découper tout simplement en guise de sacrifice humain pour obéir aux charlatans qui savent exploiter son appétit sans limite du pouvoir et de l’argent.

Abdoulaye Wade est un lâche et il l’a toujours été, même si il a su tromper la vigilance de bon nombre de ses proches ou souteneurs. Il ne combattra jamais à armes égales, et jamais sur un terrain neutre, mais seulement dans le sien qui est insoutenable à l’odorat.

Abdoulaye Wade est un bonimenteur. Il est totalement incapable de prononcer une seule phrase vraie. Son premier réflexe en toute chose est le mensonge, que ce soit sur sa propre personne, sur ses origines, son âge, son cursus, ses véritables aptitudes, sur sa famille dont des enfants incapables en tout même avec 10 fois plus de moyens que ceux qui y parviennent. Sortir de sa bouche des propos du genre « ma wokhone, wakhète », ou « seuls les imbéciles ne changent pas d’avis », sauf que lui ne change pas d’avis mais de mensonges, n’est que l’affirmation à haute voix de la pensée qui l’anime en tout.

Abdoulaye Wade est un perdant. Après 26 années d’échec en tant qu’opposant, il est arrivé au palais grâce à l’usure de ses compagnons et adversaires, entre dans ce palais à un âge où les plus sages en sortent, arrive dans un contexte tellement favorable où même une chèvre aurait pu effectuer un ou deux mandats et sortir par la grande porte après 7 ou 12 années de grâce d’une population qui ne voulait qu’en finir avec de vieilles pratiques socialistes que lui Wade a multiplié au centuple et avec plus de grossièreté, moins de subtilité, moins de classe.

Avouant dès le soir du 19 mars 2000 qu’il n’est là que pour en finir avec ses  « ennuis financiers », il a vite fait de se débarrasser de tous ceux qui empêcheraient sa cupidité de franchir les barrières du paranormal, vite renforcé dans ses activités de crimes économiques par un fils à qui il n’a semble-t-il appris qu’à voler et à attaquer dans le dos ceux qui se sont faits tout seul et qui lui rappellent le petit nullard à son papa qu’il est.

Abdoulaye Wade est lui-même un nullard et mauvais perdant, choses très faciles à démontrer.

– Il réécrit à sa guise une nouvelle constitution qu’il ne devait ainsi plus avoir besoin de retoucher durant des décennies. Mais dès la 1ère année il y entame ses premières ratures avant de battre le record mondial en très peu de temps, signe de sa nullité et de son manque de vision.

– Pris en flagrant délit de mensonge sur l’esprit et la lettre de la constitution quant à la limitation limpide des mandats de quiconque à 2 (1+1), y compris de lui-même sinon cela n’a plus aucun sens, mis devant les enregistrements vidéo et sonores de son interprétation authentique de cet esprit et de sa lettre, il n’a que 2 réponses, 1° Ce n’est pas moi. Premier réflexe du menteur. Ou encore  2° Même si  c’était moi, alors ma wokhone wakhète. Réflexe du mauvais perdant

–  Ayant pris une profonde raclée aux élections locales de Mars 2009, il refuse sa défaite et l’impute aux divergences dans son propre camp. Mais il oublie de nous dire avec qui il avait des divergences dans son propre bureau et centre de vote, dans ceux de sa femme, dans ceux de son fils ?

– Il disait que le jour où les sénégalais descendraient dans la rue pour réclamer son départ, il s’en irait. Combien de fois les sénégalais ne l’ont pas aidé à s’en aller dans ce cas ? Mais pour minimiser leur nombre, il leur interdit de se regrouper, il les menace, il les blesse ou il les tue. De toutes les manières, malhonnête comme il est, même si 12 millions de sénégalais descendaient dans la rue pour lui  montrer la porte de sortie, il ferait dire par Iba Der ou Djibo Ka qu’il reste des milliers de sénégalais qui eux ne sont pas encore sortis, des milliers auxquels ces deux rats rajouteront des zéros pour en faire des millions comme ils ont l’art de le faire chaque fois qu’ils amassent du bétail dans leurs meetings.

– Wade va demander à Gbagbo ou à Khadafi de quitter le pouvoir où ils ne se maintiennent plus que par la force,  alors que lui qualifie de brise les éliminations et répressions sanglantes qu’il opère dans son propre pays pour étouffer la contestation qui s’accentue chaque jour davantage
– Lorsque nos partenaires internationaux le regardent « droit dans les yeux », comme lui l’avait fait bien plus lâchement à Khadafi qui était déjà à terre, et lui demandent de quitter le pouvoir, il les accuse d’ingérence. Indésirable dans tous les pays démocratiques, le voilà obligé de ne plus rendre visite qu’aux derniers dictateurs, ou répondre à des invitations fantoches d’associations en tous genres qui animeraient même leurs rassemblements avec des clowns de cirque.

Wade est fini, et il le sait depuis plusieurs années. Il n’a jamais cherché à sortir par la grande porte car il ne sait se mouvoir que dans les caniveaux, accompagné de toute la racaille que compte le Sénégal, politiciens sans valeur, technocrates incompétents, marabouts charlatans, femmes objets, transhumans, …… Le moment est venu de les cueillir par tous les moyens, y compris et surtout par la force car ils sont malhonnêtes pour comprendre un autre langage. Ne faiblissons pas. Bouchons-nous le nez et allons les cueillir dans leurs caniveaux, leur milieu naturel. Ils osent qualifier de brise le carnage qu’ils opèrent sur nos familles et compatriotes. Nous allons leur montrer de quoi un peuple en colère est capable, à eux et aux forces du désordre lâches et complices qui se reconnaîtront

MARVEL
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