Sa télévision distribue des centaines de mille par jour. Pourtant la sœur de ce directeur de télévision vend des beignets.
Charité bien ordonnée commence par soi-même. Cet adage, le directeur général d’une télévision de la place ne l’a bien assimilé et pour cause. Tandis que sa télévision distribue des centaines de mille par jour, une de ses sœurs tire le diable par la queue. La dame est obligée de vendre des beignets à base de farine de mil ou « beignets dougoub » pour faire vivre sa maisonnée. Il lui rend visite de temps en temps mais ne se donne pas la peine de descendre de son véhicule. Les miettes qu’il lui remet, c’est dans son véhicule qu’il les lui donne. C’est ce qu’on appelle un « samba alaar ». Il est toujours aux petits soins avec les autres au détriment des siens.
Setal
Sa 1er femme qui habitait les H L M me va pas le nier as famille vie dans un apprt jusqu a present