Urgent – Macky Sall rétablit le poste de premier ministre !

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XALIMANEWS-Supprimé par Macky Sall, le poste de Premier ministre sera rétabli “en procédure d’urgence” à  l’Assemblée nationale . Un projet de loi portant révision de la Constitution a été adopté à cet effet lors du Conseil des ministres de ce mercredi 24 novembre 2021.

Selon le communiqué du conseil des ministres, le président de la République a informé le Conseil de sa volonté d’initier une révision de la Constitution en vue de l’instauration du poste de Premier Ministre.

5 Commentaires

  1. C’est de la diversion, de la manipulation et le resultat d’un gros echec de qq’un qui n’aurait jamais du etre president du senegal. Macky est le prototype d’un chauffeur senegalais qui a eu un permis de conduire sans jamais lire le code de ls route.

    • Echec, encore échec, et encore échec sur échec, échec sur toute la ligne. Ce président médiocre de premier plan, ne sait que faire dans la politique « politichienne ». Les manœuvres dilatoires, les complots, les ruses et autres coups fourrés, demeurent ses domaines de prédilection. Ce grand faussaire prétentieux veut se fourrer dans un manteau républicain, qui dépasse largement sa pointure. La république c’est vraiment du sérieux, elle fonctionne sur un ensemble de lois et de règlements. Elle ne saurait être appréhendée, encore moins incarnée par quelques incultes du droit et de la démocratie.

      Je l’ai déjà dit après sa « victoire » « emportée », chipée de l’élection présidentielle de 2019, que ce président incongru ne réussira plus rien de bon dans ce pays. La situation de crise et léthargie dans laquelle se trouve le pays aujourd’hui, me donne amplement raison. c’est à se poser la question qu’est ce qui marche dans ce pays? Dans quel secteur est ce qu’on note une réelle progression?

      Il a beau changer de casting, faire des chamboulements, procéder à des alchimies, rien ni fait. En vérité c’est le capitaine qui n’est pas à la hauteur, il manque d’hauteur, d’honneur et de noblesse, qualités caractéristiques des grands chefs. Tout au plus on lui reconnait son destin présidentiel, procédant du décret divin, immuable. Ce destin est un couteau à double tranchants prompte à élever ou à rabaisser, avilir. Ce que d’aucuns considèrent comme une chance, peut être source de malheurs et de malédiction et finalement une fatalité. C’est plutôt une grande épreuve que de diriger une quelconque structure, au demeurant un pays. Une très lourde responsabilité auprès du Seigneur Maitre et Créateur des Univers, Allah(SWT), à Qui inéluctablement nous rendrons compte fidèlement de tous nos actes, sur cette terre. Cela devrait devrait donner à réfléchir au commun des mortels.

  2. Le Sénégal, à l’image de tous les pays anciennement colonisés par la France, excepté ceux du Maghreb, ont tous fait du copié-collé de leur constitution à celle de 1958 en France ! Le président Macky Sall aurait-il le droit constitutionnel de modifier substantiellement l’esprit de la Constitution de la République du Sénégal ? Pourquoi d’ailleurs la France avait-il affublé cette dénomination à ses anciennes colonies, au lieu de République Sénégalaise, Gabonaise, Togolaise, comme on dit république Française, Algérienne, Tunisienne ? Ces deux pays Africains du Maghreb se sont débarrassés du Francs CFA, deux ou trois années après leur accession à la souveraineté internationale, preuve que leurs peuples avaient une autre consciente politique que leurs frères au Sud du Sahara !
    Nos experts, juristes et surtout nos constitutionnalistes en particulier le talentueux et savant professeur Mouhamadou N. Mboup nous réservent sans doute des soirées de débats très intéressants, dans les jours qui viennent, voire dès ce soir avec « 90 MINUTES CHRONO » de la SEN TV, une émission où la langue de bois est bannie de manière tacite, entre les animateurs-chroniqueurs, et les invités pour la plupart d’entre ces derniers chaque Jeudi soir !

    Pourquoi se décarcasser à faire travailler nos méninges, alors que la CONSTITUTION FRANCAISE DE 1958 dont celle du Sénégal a été copiée, intégral est à notre disposition ?

    Quels sont les rôles respectifs du Président et du Premier ministre en matière administrative ?
    La Constitution de 1958 organise un partage des pouvoirs administratifs entre le président de la République et le Premier ministre qui sont, avec les ministres, les autorités de l’administration d’État.
    Compétence de principe du Premier ministre
    Le rôle essentiel revient au Premier ministre en tant que chef du Gouvernement : « Il (le Gouvernement) dispose de l’administration »
    L’administration lui est donc subordonnée, et est tenue d’exécuter les décisions gouvernementales. Le Premier ministre nomme aux emplois civils et militaires et exerce le pouvoir réglementaire, sous réserve des privilèges accordés au chef de l’État dans ces domaines.
    En effet, le président de la République dispose aussi de compétences administratives. Les textes, et la pratique, lui ont reconnu un pouvoir réglementaire, puisque chaque ordonnance ou décret délibéré en Conseil des ministres doit porter sa signature.
    Lors de la première cohabitation en France (1986-1988), s’est posée la question d’un droit de veto dont disposerait le Président en refusant de signer ces textes, à l’exemple de François Mitterrand. En effet, le Conseil des ministres ne peut l’y contraindre.
    Prérogatives du chef de l’État
    Par ailleurs, la Constitution réserve au Président des prérogatives en matière de nomination. Le chef de l’État nomme ainsi à certains « emplois civils et militaires de l’État » précisés par l’article ? de la Constitution du Sénégal et par une loi organique (ex : conseillers d’État, conseillers maîtres à la Cour des comptes, ambassadeurs, recteurs d’académie, préfets).
    Cependant, ce n’est pas un pouvoir propre au chef de l’État, car le Premier ministre doit apposer lui aussi sa signature sur ces actes de nomination : on parle de contreseing.
    La Constitution dispose également qu’une loi organique prévoit les autres nominations auxquelles le chef de l’État procède. De ce point de vue, une importante évolution, résultant de la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, est intervenue en France. Ce pouvoir discrétionnaire a été mieux encadré.
    Désormais, en vertu de la nouvelle rédaction de l’article 13 de la Constitution, pour certains emplois essentiels pour la garantie des droits et libertés ou la vie économique et sociale de la Nation (déterminés par une loi organique du 23 juillet 2010), ce pouvoir de nomination s’exerce après avis public de la commission permanente compétente de chaque assemblée parlementaire. La nomination est impossible en cas de vote négatif à la majorité des 3/5e au sein de ces commissions

    Le Sénégal, à l’image de tous les pays anciennement colonisés par la France, excepté ceux du Maghreb, ont tous fait du copié-collé de leur constitution à celle de 1958 en France ! Le président Macky Sall aurait-il le droit constitutionnel de modifier substantiellement l’esprit de la Constitution de la République du Sénégal ? Pourquoi d’ailleurs la France avait-il affublé cette dénomination à ses anciennes colonies, au lieu de République Sénégalaise, Gabonaise, Togolaise, comme on dit république Française, Algérienne, Tunisienne ? Ces deux pays Africains du Maghreb se sont débarrassés du Francs CFA, deux ou trois années après leur accession à la souveraineté internationale, preuve que leurs peuples avaient une autre consciente politique que leurs frères au Sud du Sahara !
    Nos experts, juristes et surtout nos constitutionnalistes en particulier le talentueux et savant professeur Mouhamadou N. Mboup nous réservent sans doute des soirées de débats très intéressants, dans les jours qui viennent, voire dès ce soir avec « 90 MINUTES CHRONO » de la SEN TV, une émission où la langue de bois est bannie de manière tacite, entre les animateurs-chroniqueurs, et les invités pour la plupart d’entre ces derniers chaque Jeudi soir !

    Pourquoi se décarcasser à faire travailler nos méninges, alors que la CONSTITUTION FRANCAISE DE 1958 dont celle du Sénégal a été copiée, intégral est à notre disposition ?

    Quels sont les rôles respectifs du Président et du Premier ministre en matière administrative ?
    La Constitution de 1958 organise un partage des pouvoirs administratifs entre le président de la République et le Premier ministre qui sont, avec les ministres, les autorités de l’administration d’État.
    Compétence de principe du Premier ministre
    Le rôle essentiel revient au Premier ministre en tant que chef du Gouvernement : « Il (le Gouvernement) dispose de l’administration »
    L’administration lui est donc subordonnée, et est tenue d’exécuter les décisions gouvernementales. Le Premier ministre nomme aux emplois civils et militaires et exerce le pouvoir réglementaire, sous réserve des privilèges accordés au chef de l’État dans ces domaines.
    En effet, le président de la République dispose aussi de compétences administratives. Les textes, et la pratique, lui ont reconnu un pouvoir réglementaire, puisque chaque ordonnance ou décret délibéré en Conseil des ministres doit porter sa signature.
    Lors de la première cohabitation en France (1986-1988), s’est posée la question d’un droit de veto dont disposerait le Président en refusant de signer ces textes, à l’exemple de François Mitterrand. En effet, le Conseil des ministres ne peut l’y contraindre.
    Prérogatives du chef de l’État
    Par ailleurs, la Constitution réserve au Président des prérogatives en matière de nomination. Le chef de l’État nomme ainsi à certains « emplois civils et militaires de l’État » précisés par l’article ? de la Constitution du Sénégal et par une loi organique (ex : conseillers d’État, conseillers maîtres à la Cour des comptes, ambassadeurs, recteurs d’académie, préfets).
    Cependant, ce n’est pas un pouvoir propre au chef de l’État, car le Premier ministre doit apposer lui aussi sa signature sur ces actes de nomination : on parle de contreseing.
    La Constitution dispose également qu’une loi organique prévoit les autres nominations auxquelles le chef de l’État procède. De ce point de vue, une importante évolution, résultant de la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, est intervenue en France. Ce pouvoir discrétionnaire a été mieux encadré.
    Désormais, en vertu de la nouvelle rédaction de l’article 13 de la Constitution, pour certains emplois essentiels pour la garantie des droits et libertés ou la vie économique et sociale de la Nation (déterminés par une loi organique du 23 juillet 2010), ce pouvoir de nomination s’exerce après avis public de la commission permanente compétente de chaque assemblée parlementaire. La nomination est impossible en cas de vote négatif à la majorité des 3/5e au sein de ces commissions

    Le Sénégal, à l’image de tous les pays anciennement colonisés par la France, excepté ceux du Maghreb, ont tous fait du copié-collé de leur constitution à celle de 1958 en France ! Le président Macky Sall aurait-il le droit constitutionnel de modifier substantiellement l’esprit de la Constitution de la République du Sénégal ? Pourquoi d’ailleurs la France avait-il affublé cette dénomination à ses anciennes colonies, au lieu de République Sénégalaise, Gabonaise, Togolaise, comme on dit république Française, Algérienne, Tunisienne ? Ces deux pays Africains du Maghreb se sont débarrassés du Francs CFA, deux ou trois années après leur accession à la souveraineté internationale, preuve que leurs peuples avaient une autre consciente politique que leurs frères au Sud du Sahara !
    Nos experts, juristes et surtout nos constitutionnalistes en particulier le talentueux et savant professeur Mouhamadou N. Mboup nous réservent sans doute des soirées de débats très intéressants, dans les jours qui viennent, voire dès ce soir avec « 90 MINUTES CHRONO » de la SEN TV, une émission où la langue de bois est bannie de manière tacite, entre les animateurs-chroniqueurs, et les invités pour la plupart d’entre ces derniers chaque Jeudi soir !

    Pourquoi se décarcasser à faire travailler nos méninges, alors que la CONSTITUTION FRANÇAISE DE 1958 dont celle du Sénégal a été copiée, intégral est à notre disposition ?

    Quels sont les rôles respectifs du Président et du Premier ministre en matière administrative ?
    La Constitution de 1958 organise un partage des pouvoirs administratifs entre le président de la République et le Premier ministre qui sont, avec les ministres, les autorités de l’administration d’État.
    Compétence de principe du Premier ministre
    Le rôle essentiel revient au Premier ministre en tant que chef du Gouvernement : « Il (le Gouvernement) dispose de l’administration »
    L’administration lui est donc subordonnée, et est tenue d’exécuter les décisions gouvernementales. Le Premier ministre nomme aux emplois civils et militaires et exerce le pouvoir réglementaire, sous réserve des privilèges accordés au chef de l’État dans ces domaines.
    En effet, le président de la République dispose aussi de compétences administratives. Les textes, et la pratique, lui ont reconnu un pouvoir réglementaire, puisque chaque ordonnance ou décret délibéré en Conseil des ministres doit porter sa signature.
    Lors de la première cohabitation en France (1986-1988), s’est posée la question d’un droit de veto dont disposerait le Président en refusant de signer ces textes, à l’exemple de François Mitterrand. En effet, le Conseil des ministres ne peut l’y contraindre.
    Prérogatives du chef de l’État
    Par ailleurs, la Constitution réserve au Président des prérogatives en matière de nomination. Le chef de l’État nomme ainsi à certains « emplois civils et militaires de l’État » précisés par l’article ? de la Constitution du Sénégal et par une loi organique (ex : conseillers d’État, conseillers maîtres à la Cour des comptes, ambassadeurs, recteurs d’académie, préfets).
    Cependant, ce n’est pas un pouvoir propre au chef de l’État, car le Premier ministre doit apposer lui aussi sa signature sur ces actes de nomination : on parle de contreseing.
    La Constitution dispose également qu’une loi organique prévoit les autres nominations auxquelles le chef de l’État procède. De ce point de vue, une importante évolution, résultant de la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, est intervenue en France. Ce pouvoir discrétionnaire a été mieux encadré.
    Désormais, en vertu de la nouvelle rédaction de l’article 13 de la Constitution, pour certains emplois essentiels pour la garantie des droits et libertés ou la vie économique et sociale de la Nation (déterminés par une loi organique du 23 juillet 2010), ce pouvoir de nomination s’exerce après avis public de la commission permanente compétente de chaque assemblée parlementaire. La nomination est impossible en cas de vote négatif à la majorité des 3/5e au sein de ces commissions

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