En début 2013, le régime de Macky Sall ordonnera la levée des mandats d’arrêt lancés contre des chefs rebelles. Ce qui serait un autre pas vers la paix dans la région Sud du Sénégal. Désigné par le président, Mgr Théodore Adrien Sarr, archevêque de Dakar, discute en ce moment avec César Atoute Badiate, chef militaire d’une autre faction du Mfdc, nous apprend Jeune Afrique.
Prenant acte de ces avancées, Yahya Jammeh, le président gambien, voudrait lui aussi être associé au processus de paix en Casamance. Dans les jours à venir, il initiera une rencontre entre les représentants des factions dirigées par César Atoute Badiate et Salif Sadio, afin de définir une plate-forme commune.
Quant à Robert Sagna, ancien maire de Ziguinchor et ancien ministre d’Etat et ministre de l’Agriculture sous Abdou Diouf, il travaille d’arrache-pied lui aussi pour le rapprochement des frères ennemis.
Lesenegalais.net
Le president de la Republique dans tout pays qui se dit Etat de droit ne peut faire arreter ou ne faire arreter quelqu’un.Donc en principe le president Sall ne peut faire interompre un mandat d’arret lance contre un individu.Maintenant le gouvernement peut trouver d’autres subterfuges legaux ou statutaires pour mettre fin a d’eventuelles poursuites judiciaires contre des rebelles potentiels mais ce ne serait pas le president ou02 son gouvernement qui vont demander la justice d’arreter une procedure judiciaire.Maintenent il peut gracier qui il veut ou l’Assemblee Nationale peut voter une loi d’amnestie.Donc la facon dont l’information est relatee si cela s’avere vraie est dangereuse dans un pays dit de democratie et c’est une remise en cause systemetique de la separation des pouvoirs.