Une brigade de la police algérienne s’est déplacée hier, dans une des rues d’Alger, pour mettre un coq hors d’état de nuire, le chant du volatile supposé déranger une diplomate italienne.
Le cocorico triomphant du gallinacé n’a visiblement pas du tout été apprécié par cette diplomate. Suite à la plainte, des agents de la police algéroise se sont déplacés pour mettre la main sur le fauteur de troubles.
Dans une vidéo diffusée sur la toile, et largement commentée par les internautes, le propriétaire du coq raconte de quelle manière cinq policiers ont fait irruption chez lui et capturé son volatile pour l’embarquer au poste de police.
Les commentaires, pour la plupart ironiques, fusent en ce moment sur les réseaux sociaux.
Certains demandent l’intervention urgente de l’organisation «Coqs sans frontières», pour mettre fin à cette injustice.