INTERVIEW XALIMA : « le citoyen qui a perdu confiance en sa justice depuis longtemps ne s’immole pas par le feu devant les grilles du palais, il fait comme Barthélémy DIAZ c’est à dire qu’il prend en charge sa propre sécurité… »
Xalima : Monsieur Yoro, à quand remonte votre adhésion au Jëf-Jël ?
Mr. Yoro BA : Mon adhésion formelle au Jef Jel date de 2003. Mais à vrai dire, je suis membre de cœur de ce parti depuis 2000 au moins, puisqu’ en tant qu’observateur de la scène politique, je n’avais pas manqué de noter la pertinence des positions du Jef Jel sur toutes les questions qui intéressaient la nation.
Xalima : Aujourd’hui vous êtes à la tête de ce parti. Pouvez-vous décliner aux lecteurs de Xalima votre feuille de route ? Quelles sont vos priorités en tant que président du Jëf-Jël ?
Yoro BA : En réalité, ma première expérience en tant que Président du Jef Jel remonte à 2007 à l’occasion du retrait pour raison de santé du Président fondateur Talla SYLLA. Depuis le 21 janvier 2011 et conformément aux textes du parti, j’en suis de nouveau le Président, suite à la démission du Président Talla SYLLA désigné candidat de la coalition Benno Taxawal Sénégal. Vous imaginez que dans un contexte pareil, la feuille de route a pour priorité la conception et la mise en œuvre de stratégies à même de mener notre candidat à la victoire.
C’est ainsi que les cadres du parti, après avoir décliné la vision du candidat Talla SYLLA, sont en train de la traduire en programme acté et daté.
Mais en même temps, nous avons fait le choix au Jef Jel de travailler en silence à la restructuration et à l’élargissement des bases du parti. Le conseil national du mouvement des femmes s’est tenu avec la mise sur pied d’un nouveau bureau. Sous notre impulsion également, le Jel Jef a pris part à l’assemblée générale constitutive du M23 et en est membre du comité de coordination.
Notre parti a également pris une part très active aux concertations sur le processus électoral avec deux représentants dans le comité de veille.
Les jeunes du parti ont organisé les « journées du Wallu » qui furent des journées au cours desquelles ils ont apporté secours et assistance à la mesure de leurs moyens aux populations de la banlieue de Dakar touchées par la pauvreté, les inondations et les maladies…
Le parti se porte donc bien à deux mois de l’élection présidentielle même si des moyens sont inexistants.
Xalima : Depuis le congrès de Tamba, Talla Sylla est votre candidat à l’élection présidentielle de 2012. Quelles sont les chances réelles du président du Mouvement Wollu ?
Yoro BA : Dans un contexte de candidatures multiples et ne disposant d’aucun outil de mesure fiable, il serait hasardeux d’évaluer les chances des uns et des autres. Toutefois, la carence éthique qui a marqué la politique sénégalaise depuis 50 ans, et le fait que le candidat Talla Sylla soit perçu comme le candidat de la vertu par les populations sénégalaises, nous fait penser que ce candidat peut constituer la surprise de ces élections présidentielles de 2012.
Xalima : Que pensez-vous de cette pléthore de candidatures à l’élection présidentielle de 2012 ?
Yoro BA : C’est une mauvaise stratégie à mon avis. Le Jef Jel a travaillé de toutes ses forces à la réalisation d’un candidat de l’unité et du rassemblement parce que c’est cette option de rassemblement des forces patriotiques qui avait permis au 2009 à l’occasion des élections locales d’ébranler le régime de Wade et de mettre en échec l’odieux projet de dévolution monarchique du pouvoir.
Mais très tôt, nous nous sommes aperçu que cette vision n’était pas partagée par tout le monde et nous en avons tiré les conséquences en quittant la coalition BSS sur décision du Bureau politique. Quant à la lecture que nous faisons de la fissure intervenue, nous pensons très humblement qu’il a manqué de générosité aux structures qui ont porté les différents candidats.
Xalima : Votre candidat privilégie la voie référendaire à l’arbitrage du Conseil constitutionnel dans l’affaire concernant la candidature de Maître Abdoulaye Wade. Est-ce qu’une telle démarche est pertinente ?
Yoro BA : Dans un contexte de tension sociale extrême où le risque est grand de voir le pays sombrer dans la violence avec des conséquences que personne ne peut prévoir, un homme politique avisé doit réfléchir à des solutions qui préservent la paix, tout en offrant une porte de sortie honorable au Président de la République, car sans celle-ci il n’ya aucun moyen de satisfaire aux besoins fondamentaux des populations sénégalaises. Notre candidat précisément a dit « Wade renonce ou le peuple se prononce ». Sous quelle forme ? Elle est à déterminer, mais notre coalition considère que si le référendum est le prix à payer pour que le Sénégal saute l’étape de la violence, que ce pays reste et demeure le havre de paix qu’il a toujours été, nous sommes preneurs.
Xalima : En cas de deuxième tour sans votre candidat, seriez-vous prêt à soutenir le candidat de l’opposition le mieux placé et dans quelles conditions ?
Yoro BA : Je ne saurai parler au nom de la coalition Benno Taxawal Sénégal dont le Jef Jel est un membre éminent certes, mais un membre parmi d’autres. Toutefois, le Jef Jel soutiendra effectivement le candidat le mieux placé de l’opposition pourvu que celui-ci prenne en compte les recommandations et orientations qui constituent les bases programmatiques de notre candidat.
Xalima : Justement, pouvez-vous nous parler des grandes lignes de votre programme de gouvernement de votre candidat ?
Yoro BA : Il serait difficile, voire fastidieux dans le cadre de cette interview de dérouler le programme de gouvernement que nous comptons proposer aux sénégalais. Toutefois, dans ses grandes lignes, il faut retenir que notre candidat, soucieux de respecter les conclusions des assises nationales, n’en porte pas moins un projet présidentiel, et qu’il estime donc pertinent de mettre en adéquation ces deux documents. Notre programme s’inspirera des priorités du peuple sénégalais à court et moyen termes et dont le premier résultat attendu sera non pas de réduire la pauvreté mais de l’éradiquer : « yokku ba yeek ko »
Bien entendu, la réforme des institutions de notre pays dans le sens de rééquilibrer les pouvoirs d’une part, de renforcer l’indépendance et les moyens de la justice d’autre part, et de rendre le pouvoir aux citoyens en ouvrant la politique à d’autres acteurs enfin, est un préalable indispensable.
En ce qui concerne l’agriculture c’est le triptyque augmentation, diversification et transformation de notre production agricole qui accompagnera la transition d’une agriculture de type familial à une agriculture industrielle qui assurera au pays la sécurité alimentaire.
Au plan de la santé, c’est à un changement de paradigme que nous allons procéder en faisant primer les soins de santé sur les dépenses de santé : se soigner d’abord, payer ensuite
Nous avons déjà mis à la disposition de la presse deux documents qui, dans le détail, donnent les solutions du candidat Talla SYLLA face à la crise énergétique d’abord, et aux problèmes de l’éducation et de la santé ensuite. Au fur et à mesure que nous avancerons dans la pré campagne et durant la campagne, nous proposerons aux sénégalais des idées et des propositions réalistes et réalisables à court, moyen et long terme.
Xalima : Quelles sont, objectivement, vos griefs contre le régime de Wade ?
Yoro BA : La mal gouvernance et son projet de dévolution monarchique du pouvoir. Combien de scandales ont jalonné les 12 ans du régime de Wade ? d’ailleurs, c’est cela qui justifie que Wade ourdisse un plan clair, limpide et impitoyablement orienté vers la confiscation du pouvoir et sa dévolution monarchique – Voilà essentiellement ce que nous reprochons à ce régime finissant.
Xalima : Donc, vous ne faites pas partie de ceux qui pensent qu’il est temps de limiter l’âge des candidats à la présidentielle ? Vous n’en parlez pas dans le résumé de vos griefs contre Wade et son régime. Pourquoi ?
Yoro BA : Si, il est plus que temps ! Voyez à travers le monde les nouveaux dirigeants, de l’Angleterre à la France en passant par les USA.
Voyez l’âge de ces dirigeants ! Qu’on ne nous oppose surtout pas la différence culturelle car chez nous, s’il est vrai que « mag matna bayi cim reew » il reste que personne ne demandera à son grand père de 86 ans, d’aller labourer son champ
75 ans, à notre avis doit constituer l’âge plafond au-delà duquel une candidature à l’élection présidentielle devra être rejetée.
Xalima : En tant que membre du M23, êtes-vous pour que le peuple réitère le 23 juin pour s’opposer à la candidature de Wade ?
Yoro BA : Oui bien sûr, et autant de fois qu’il le faudra jusqu’à ce que Wade se rende enfin compte qu’on ne peut pas gagner une bataille contre le peuple.
Xalima : Monsieur le président, nous ne vous avons pas beaucoup entendu sur l’affaire Malick Noel Seck, qu’elle est, selon votre parti, les actions à mener pour sa libération ?
Yoro BA : Il ne faut pas réduire la légitimité politique à la légitimité médiatique, d’autant plus que la légitimité médiatique ne se décrète pas! Ce sont les journalistes qui choisissent leurs cibles et ils n’ont pas jugé utile de nous interroger sur cette question. Mais Pour combattre un acte politique injuste, seul un acte politique de puissance supérieure peut le permettre. A notre avis, le Parti Socialiste doit être à l’initiative d’une mobilisation politique gigantesque et permanente, un peu à l’image du printemps arabe s’il veut obtenir la libération de Malick Noël SECK. En dehors de cela, ce régime le gardera au frais pendant longtemps.
Xalima : Cela nous permet de rebondir sur l’affaire Barthélémy DIAZ…
Yoro BA : J’entends souvent les tenants du régime nous rappeler avec insistance que » seul l’État détient le monopole de la violence légitime ». Mais ce qu’ils oublient ou ne savent pas, c’est que lorsque Max Weber nous l’enseigne, il considère que la domination légale qui confère à cet État ce monopole, suppose des règles rationnellement établies et respectées par tous y compris l’État. Weber ajoute d’ailleurs qu’un pouvoir qui ne reposerait que sur la violence ne pourrait pas subsister. En termes clairs, dans une société que la violence de tous contre tous risquerait de détruire, la fonction de l’État est de limiter et de canaliser cette violence. Or que voit-on? Le cas du Sénégal est un précédent historique et unique dans les démocraties du monde puisqu’ici, la violence est non pas le fait d’une opposition ou d’un peuple opprimé, mais des détenteurs du pouvoir et de la puissance publique!! Lorsque devant une situation pareille, le citoyen qui a perdu confiance en sa justice depuis longtemps ne s’immole pas par le feu devant les grilles du palais, il fait comme Barthélémy DIAZ c’est à dire qu’il prend en charge sa propre sécurité. Je suis peiné par la mort du jeune Ndiaga Diouf, mais j’espère tout de même que le niveau critique d’inféodation du pouvoir judiciaire au pouvoir politique, n’accouchera pas d’une impunité des agresseurs, ce qui malheureusement a été le cas depuis que ce régime est au pouvoir.
Xalima : dans son adresse à la nation du 31 décembre 2011, le Président ne semble pas prendre en compte ces préoccupations supra citées. Quel Commentaires vous inspire son discours ?
Yoro BA : Un discours pathétique dans la forme, décousu dans le fond. Pour une fois dans l’analyse d’une adresse à la Nation, les considérations sur la forme l’emportent sur celles du fond.
Dans le fond justement, alors que le Président Wade achève son deuxième et dernier mandat à la tête du pays, il refuse de dresser son bilan et se projette sur son »avenir » à quatre vingt sept ans HTVA!! De plus, ce discours ressemble étrangement à celui de l’année dernière dont la plupart des promesses n’ont pas été tenues, notamment dans les domaines stratégiques de l’agriculture et des transports.
Quant à la forme, nous avons tous noté le retard de plus de deux heures, son maquillage excessif, sa voix inaudible, ses doigts tremblotants signe peut-être d’un début de Parkinson, etc.
Tout ceci dénote d’une fin de règne d’un brave homme, mais d’un vieil homme, qui n’en peut plus et à qui son entourage immédiat rendrait un énorme service en l’aidant à partir. J’en profite d’ailleurs pour demander au M23 en plus de proclamer l’inconstitutionnalité de la candidature de Wade, de plaider ce que les anglo-saxons appellent « l’empêchement ».
Xalima : Avec les sorties récentes de Macky Sall qui semble vouloir accepter Karim dans son équipe, n’avons-nous pas des raisons valables d’être sceptique vis-à-vis de son engagement à tourner le dos aux pratiques politiciennes de son anciens parti, serait-il en train de négocier une alliance avec la famille présidentielle ?
Yoro BA : En toute sincérité, je ne crois pas que le Président Macky SALL soit capable de négocier une quelconque alliance avec la famille présidentielle. Il n’y a aucun intérêt, bien au contraire.
Xalima : Ne craignez-vous pas que le pays tombe de nouveau entre les mains des libéraux vu l’émiettement qui est en train de s’emparer de l’opposition ?
Yoro BA : Je l’ai dit en début d’interview, cette élection présidentielle est très ouverte et il serait hasardeux en l’absence de données fiables, de faire de pronostics dans un sens ou dans un autre.
Xalima : Monsieur Yoro BA, nonobstant le processus électoral très critiqué par une bonne partie de l’opposition, un leader de la mouvance présidentielle vient de dire qu’il existe des gouverneurs wadistes. Quelle lecture en faites-vous ?
Yoro BA : C’est la traduction de « l’informélisation » de l’Etat, de la faillite de la République. Par une remise en cause systématique depuis l’avènement de l’alternance de la validité d’acquis démocratiques arrachés après de longues décennies de lutte politique, le régime actuel en est arrivé à casser tous les ressorts de l’Etat et le résultat est là : « des gouverneurs Wadistes » !!!J’en ai honte en tant que homme politique.
Xalima : Monsieur le maire-adjoint, pouvez-vous nous parler de votre mission à la mairie de Dakar ?
Yoro BA : A la Mairie de Dakar où je suis le 3éme Adjoint au maire chargé des relations extérieures et de la coopération décentralisée, ma mission consiste à prendre en charge sous la supervision du maire, l’animation, l’impulsion et le suivi des relations extérieures et de la coopération de la Ville de Dakar. Je rappelle que Dakar a établi des relations de jumelage et/ou de coopération avec une vingtaine de villes, qu’elle est membre d’une dizaine d’association de villes, et qu’elle s’apprête après avoir accueilli avec succès le dernier Forum Social Mondial (FSM), à organiser AFRICITE en décembre 2012. Je signale qu’aussi bien pour le FSM que pour Africité, c’est ma modeste personne qui préside le comité ville en charge de l’organisation.
Xalima : Votre formation explique-t-elle à la facilitation d’une mission ?
Yoro BA : Peut-être. Je suis titulaire d’un DEA en sociologie après avoir fréquenté le Prytanée Militaire de Saint Louis.
Xalima : Monsieur le président du Jëf-Jël, Xalima vous remercie.
Yoro BA : Je vous en prie.
Entretien réaliqé par Tafsir Ndické Dièye
J’ai déjà préconisé la réforme du mode de traitement des sommes allouées aux élus de la République. En effet, étant donné qu’une grande majorité de nos concitoyens ont des préjugés défavorables à l’égard de tous les hommes politiques de notre pays eu égard à leur degré d’engagement désinterêssé dans la politique, des modifications s’imposent, à mon avis. Pourquoi ne pas multiplier par trois le salaire de l’élu ou le nommé, salaire qu’il avait au moment de son changement de statut? Ainsi, avec les avantages inhérents à sa fonction : voiture, carburant, frais de missions(perdiums) on verrait si vraiment ils ne sont là que pour leurs interêts personnels ou bien pour ceux du peuple. Cette idée , Wade-opposant et moi, l’avions effleurée dès 1990. Je ne désespère pas que d’autres patriotes y réfléchissent. Dans un pays comme Cuba, depuis le début de la révolution Castriste, ni un ministre, ni le chef lui-même n’a eu un traitement de salaire supérieur à 200.000(l’équivalent)cfa.
J’ai déjà préconisé la réforme du mode de traitement des sommes allouées aux élus de la République. En effet, étant donné qu’une grande majorité de nos concitoyens ont des préjugés défavorables à l’égard de tous les hommes politiques de notre pays eu égard à leur degré d’engagement désinterêssé dans la politique, des modifications s’imposent, à mon avis. Pourquoi ne pas multiplier par trois le salaire de l’élu ou le nommé, salaire qu’il avait au moment de son changement de statut? Ainsi, avec les avantages inhérents à sa fonction : voiture, carburant, frais de missions(perdiums) on verrait si vraiment ils ne sont là que pour leurs interêts personnels ou bien pour ceux du peuple. Cette idée , Wade-opposant et moi, l’avions effleurée dès 1990. Je ne désespère pas que d’autres patriotes y réfléchissent. Dans un pays comme Cuba, depuis le début de la révolution Castriste, ni un ministre, ni le chef lui-même n’a eu un traitement de salaire supérieur à 200.000(l’équivalent)cfa.Désolé messieurs de la censure je n’ai pas envoyé de doublon!!!!!!!
Non cher oncle TALLA SYLLA n’est pas un homme de vertu encore moins un homme qui tient à sa parole. Depuis 2007 avec tous les problémes que vous avez eu pour financer votre campagne je consentis de vous louer une sono comprenat Camion groupe electrogéne et sono vous ne m’avez pas régler mes sous. sous la direction de Mme RAHMET vous promettiez de me régler mon reliquat que dalle, J’ai contacté Mr SECk ami et Bras droit de Talla sylla qui le nourrissait et qui a beaucoup fait pour talla SYLLA qui m’a demandé de patienter avec ce qui lui est arrivé.J’ai patienté et je l’ai croisé d’homme à homme face à face les yeux dans les yeux que j’avais besoin de mon reliquat, ce type m’a promi de me régler dés que sa situation s’améliore. En plus il est rentré dans mon espace de travail avec les gens de Benno Sigguil senegal lors de leurs réunions en vue de des locales de 2009 il a été stupéfait de me voir, je lui ai réitéré mon du dans le soutoura devant son garde du corps il a promis. Maisrien ne s’est encore passé j’ai perdu mon business je l’appelle au secours il ne réagit pas c’est ensuite que j’ai mis la pression sur lui et sur Mr seck j’ai pu recevoir 500 EUROS sur un reliquat de 1600 euros. L’année passée je reviens à la charge depuis ue j’ai appri son retour je l’entend par la voie de son garde du corps qu’il ne me doit absolument rien que les 500euros il les a donné juste pour rendre service. Voilà ce qui est choquant pour un être humain comme Talla sYLLa que je pouvais trainer en justice, ou meme le séquestrer quand il s’est présenté dans mon bureau comme l’on fait certains de ses fournisseurs qui lui avaient louer des voitures. C’est triste que l’on vienne dire que Talla est un homme de vertu moi qui ai attendu qu’il se rétablisse pour lui demander mon du qui date de 2007 pour ensuite m’entendre dire qu’on ne me doit rien.Seule la femme RAHMET et MAKHA dans ce staff sont digne de foi car MME RAHMET gérante du Budget de campagne avait refusé de les folies de TALLA mais ce dernier à pris l’engagement de porter sur lui les frais additionnels de cette campagne et quand les propriétaires des véhicules faisaient du bruit pour récupérer leur du ce que je pouvais faire mais mon éducation ne me le permettait pas.Bref jamais au plus grand jamais Tala ne sera président du Sénégal car son malhonnéteté est flagrante.Le peupke sénégalais n’oubliera jamais ce que tu à fait faire au jeune étudiants des années 89 que tu as poussé vers des gréves politiques sous le régime de DIOUF Vous êtes l’un des responsables de la politisation de l’université cheikh anta diop, vous vous en êtes sorti mais le bas peuple qui vous suivait aucun de ceux làn’a vu le bout du tunnel rien que pour cela votre candidature est sans espoir mon trés cher ami pour les sous tu les paieras sur terre ou en enfer car dieu n’aime pas les menteurs et on ne va pas au paradis avec des dettes contractées mon cher candidat.DIDIER DIOUF