Dans son ouvrage portant sur « les luttes de classes en France » Karl Marx a tenu ces propos : « Après la révolution de Juillet, lorsque le banquier libéral Laffitte conduisit en triomphe son compère le duc d’Orléans à l’hôtel de ville, il laissa échapper ces mots : « Maintenant le règne des banquiers va commencer. » Laffitte venait de trahir le secret de la révolution. » Et Marx, de préciser : « Ce n’est pas la bourgeoisie française qui régnait sous Louis-Philippe, mais une fraction de celle-ci : banquiers, rois de la Bourse, rois des chemins de fer, propriétaires des mines, propriétaires des forêts et la partie de la propriété foncière ralliée à eux. Installée au trône, elle dictait ses lois aux chambres, distribuait les charges publiques, depuis les ministères jusqu’aux bureaux de tabac. La monarchie de Juillet n’était qu’une société par actions fondée pour l’exploitation de la richesse nationale française dont les dividendes étaient pa
A propos du 50e anniversaire de l « indépendance » du Sénégal. L’édification d’un Etat néocolonial au prix d’un acharnement aveugle sans répit contre la gauche sénégalaise. Par Alla Kane.
Article précédent
DEPECHES
DANS LA MEME CATEGORIEEXCLUSIVITE
Le nouveau gouvernement face au choix cornélien (Par Abdou Mbar Faye)
Depuis leur accession à la magistrature suprême, Sonko-Diomaye sont...
Diplomatie parallèle (Par Malick Ndaw)
La présence du militaire putschiste, Doumbouya, lors de l’investiture...
Commentaires sur l’arrêté primatorial sur le littoral (Par Cheikh Oumar Sy)
Nous espérons que cet arrêté ne finira pas en...
Les dernières décisions du directeur général affectant des reporters aux services de la direction de l’information de l’APS dévoilent ce qu’elles étaient censées cacher
Thierno Ahmadou Sy a échoué à doter notre rédaction...