A la Société sénégalaise du droit d’auteur et des droits voisins (Sodav), la guerre entre Ngoné Ndour et Bouna Manel Fall fait rage. La sœur de Youssou Ndour, présidente du Conseil d’administration de la boîte, est accusée de tout faire pour retourner les agents contre le Directeur-Gérant sorti recruté après un appel d’offres. Quitte à leur «promettre» de revoir la dette des employés. Et parmi les débiteurs de la Sodav, il y a «son candidat» Aly Bathily qui traîne une dette de plus de 7 millions de nos francs.
La Société sénégalaise du droit d’auteur et des droits voisins (Sodav), en eaux troubles actuellement du fait du bras de fer qui oppose Ngoné Ndour et Bouna Manel Fall, n’a pas fini de révéler ses secrets. Au moment où en effet les gens se triturent les méninges à essayer de comprendre les véritables raisons qui sont à l’origine du combat à mort que livre Ngoné Ndour pour éjecter Bouna Manel Fall, il nous revient aussi qu’Aly Bathily, sur qui le Conseil d’administration a misé pour devenir le nouveau Directeur-Gérant, traîne aussi des casseroles. De grosses mêmes !
Le jusque-là secrétaire général de la boîte, nouveau «pion» de Ngoné Ndourdans sa bataille contre Bouna Manel Fall doit actuellement à la boîte plus de 7 millions de nos francs. Selon un document que «Les Echos» s’est procuré et qui fait le point sur l’endettement du personnel à la date du 31 décembre 2016, Aly Bathily fait partie des plus endettés de la boîte.
Aussi, Ngoné Ndour est en train de draguer le personnel. Le Conseil d’administration, selon toujours les sources de «Les Echos», a tenu une réunion avec le personnel pour s’engager à trouver une solution pour cette dette. L’état de dettes contractées par le personnel est actuellement d’un montant global de 82.532.472 FCfa.
Madou MBODJ
jotay.net
le bsda était devenu une vache à lait. la sodav hérite de l’actif et du passif du bsda.
mounirou sy qui faisait son petit malin auprès de isaac yankhoba ndiaye ci-devant vice-président
du conseil constitutionnel) devrait se prononcer sur sa gestion et être sanctionné au besoin pour cette gabegie
qui ne dit pas nom. il peut toujours fanfaronner.