Traité de griot de Jammeh : Ouza Diallo flingue les Y’en a maristes

De quoi parlent les « Y’en à Marriste » ? Comment parler de la GAMBIE de Yaya Djammeh, si on n’a aucune idée de celle d’avant son accession au pouvoir ?
Ceux qui, comme moi, connaissent bien ce pays, ne disent jamais que ce pays n’a pas fait des bons qualitatifs dans tous les domaines! La Chine, que ces « Y’en Marriste » admirent tant, est passée par un régime presque totalitaire avant d’arriver à sa position envieuse de deuxième puissance économique mondiale, avant d’en être la première avant 2015, si ce n’est 2014 !
Comme il est aisé de permettre à tout un peuple de dire ce qu’il pense, de blablater nuit et jour de manière stérile ! Moi aussi, si je devais choisir entre le monopartisme réfléchi et accepté par tout un peuple Sénégalais et ce bordel et ce charivari auxquels nous assistons au Sénégal depuis vingt ans, je choisirais le monopartisme au Sénégal évidemment, comme avec Ahmet Cheikhou Touré en Guinée, Thomas Sankara au Burkina, Mouammar Kadhafi en Lybie et Saddam Hussein en Irak. Ceux qui se battent corps et âmes pour leurs peuples trouvent toujours des collaborateurs internes qui œuvrent pour les faire chuter pour des intérêts inavoués !
Le Président Yaya Diammeh ne peut être seul dans son combat pour le développement de son pays et pour la souveraineté politique de tous les pays d’Afrique. Ceux qui pensent pouvoir déstabiliser le régime de Yaya Djammeh en festoyant dans les salons feutrés de Dakar vont vite déchanter, à moins qu’ils aient au moins le courage de s’organiser pour en finir avec le peuple Gambien qui dans une grande majorité dirait oui à la continuité avec Yaya Djammeh !
Les ennemis du Présidents Yaya et non ses adversaires politiques doivent se le tenir pour dit: « Nous sommes au moins des dizaines de milliers de Sénégalais au Sénégal et à l’extérieur à nous battre pour que ceux qui prennent le wagon de la diabolisation de Yaya Djammeh par l’occident et sanctifient ce que l’occident veut sanctifier ne puissent jamais gagner ce combat contre l’un des derniers Africains qui ose dire ceci n’est pas bon pour mon pays, c’est plutôt cela, et ce n’est pas donné à tous les dirigeants de pays pauvres »!