Édité par « Maguilen-Michel Lafon », le livre « Abdoulaye Wade, le bâtisseur » est un essai consacré au parcours, à la vie et aux multiples réalisations du chef de l’Etat sénégalais, Me Abdoulaye Wade. Son auteur, M. Zachée Gwet, est un écrivain et homme politique camerounais. Il a été par deux fois candidat malheureux à l’élection présidentielle dans son pays.
« Abdoulaye Wade, l’architecte visionnaire est très certainement un bâtisseur comme l’indique le titre de cet essai. Ainsi, si j’ai pris la décision d’écrire sur un homme hors pair qui a marqué son époque et sa génération, ce n’est pas une clause de style, encore moins un souci de paraître, doublé d’une démarche de « voyez-moi ». C’est surtout parce que Maître Abdoulaye Wade est un être victorieux, un combattant suprême dont l’exemple mérite d’être magnifié », écrit dans l’avant propos, Zachée Gwet, auteur du livre : « Abdoulaye Wade, le bâtisseur ».
On peut se poser la question suivante : pourquoi un Camerounais juge-t-il nécessaire d’écrire sur la vie, l’œuvre et le parcours du président sénégalais ? L’auteur donne une réponse parmi tant d’autres : « malgré l’éloignement de mon pays natal, je suis frappé par le caractère et la démarche panafricaniste de Abdoulaye Wade ».
L’autre réponse à cette question vient du ministre d’Etat, directeur de Cabinet du président de la République, Habib Sy, lors de la cérémonie de dédicace : « Je ressens une infinie fierté et un immense plaisir d’être la personne choisie pour présider la cérémonie de dédicace d’un livre consacré au président de la République dont le titre est : « Abdoulaye Wade, le bâtisseur ». Vous conviendrez avec moi qu’au regard des valeurs positives qu’il incarne, de sa dimension planétaire et de la multiplicité de ses œuvres, Abdoulaye Wade reste un sujet infini pour les écrivains ».
Pour mieux cerner son sujet, l’auteur fonde sa démarche, à travers les différents chapitres du livre, sur des faits. Ainsi, il a décrypté son sujet « Wade » en six chapitres : « l’universitaire et l’intellectuel », « Abdoulaye Wade, le politique », « quelques photos du maître », « Abdoulaye Wade, le bâtisseur », « Les défis de l’Education nationale et de la santé du président Wade », « le président Wade, l’homme du dialogue islamo-chrétien » et « Le Sport et la Culture sous Wade ». « Les grandes œuvres naissent difficilement, mais avec la vérité des faits, elles résistent toujours à la furie du temps », nous apprend l’auteur.
Parlant de l’intellectuel Wade, l’auteur soutient qu’il « reste un homme de pensée et non un illuminé, mais un intellectuel, réaliste, certes, déroutant parfois, mais jamais en rupture avec les idées positives. En lui, l’Afrique a trouvé l’homme symbole, l’homme destin, l’homme lumière. Et s’il était président au moment des indépendances, l’Afrique serait comme le Japon, la Malaisie, le Brésil ou l’Inde. C’est dans cet espoir et dans ce rêve que je ferme le premier chapitre ».
Il ouvre le chapitre éponyme par ce paragraphe : « Un grand président, c’est d’abord de grands travaux. Abdoulaye Wade l’a toujours compris, mais entre la pensée et l’action, il y a un fossé qu’il faut combler très tôt. Pour cela, Abdoulaye Wade s’est donné les moyens de la réalisation ».
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En tant que membre du parti c’est à nous de mettre un terme à ses attaques contre ce Magistrat. En quoi faisant ? tout simplement en demandant à son Excellence Maître Abdoulaye Wade de le démettre car sa présence nuit plus à M° Wade qu’il ne l’aide vraiment. Un « arbitre » contesté depuis sa nomination ne peut donner aucun verdict qui trouvera l’assentiment général. D’emblée quelque soit la décision qu’il prendra surtout en cas de victoire de la coalition bleue.
Pour ne pas entacher ce que je prévois comme une victoire prochaine de la large coalition de partis, de mouvements de soutiens, d’acteurs politiques et ou citoyens autour du «candidat» du PDS, il nous faut asseoir les bases d’une victoire claire nette et sans bavure. C’est volontairement que j’ai mis « candidat » du PDS car je persiste et signe que nous nous devons de choisir dés à présent une figure de proue à même de mener les espérances libérales et d’être le porte flambeau du renouveau de la mouvance présidentielle.
Dans le landerneau politique actuel il n’ya que de vieux grizzlis, à la veille de leur retraite politique. Ces vieux râleurs pros qui pour certains ont raclé dans tous les râteliers avant de se rappeler au bon souvenir des Sénégalais sous les traits d’une jouvencelle pure alors qu’au dessous de leurs habits immaculés se sont les guenilles sales de leurs comportements pernicieux, prévaricateurs qui prouvent à volonté que le masque qu’ils montrent au peuple ne reflète pas leur vraie personnalité ! Ces gens ont pressés le peuple, sucé son sang jusqu’à épuisement et se pavanent dans les medias de la place en moralisateurs et en objecteurs de conscience !! Fi !!
Le mal du PDS, c’est.. le PDS !! Dans son entêtement obstiné de réfléchir en termes de « unique constante » ! Il n’y a qu’une seule constante.. C’est Allah swt !! Nul n’est irremplaçable, nul n’est éternel ! Alors chers frères et sœurs libéraux il est grand temps de réfléchir ensemble, de façon sereine, sans parti pris à la mise en place d’une équipe nouvelle, dynamique, qui puisse refléter toutes les sensibilités qui gravitent autour du « SOPI » et partant revigorer et remettre d’aplomb le parti qui semble essoufflé et en léthargie.
Le pape du SOPI a mené sa vie tambour battant, avec fougue et passion autour d’un idéal auquel l’on retrouvés beaucoup d’hommes épris de changement, mais il faut noter qu’au terme de son deuxième mandat que beaucoup de ses compagnons de lutte qui jadis humaient avec lui l’âcre odeur des lacrymogènes socialistes sont laissés en rade au profit de marchands d’illusions plus prompt à ourdir des complots, à médire qu’à conseiller et accompagner les politiques de M° Wade. Ces violeurs de l’alternance ont terni l’image de la République par leurs agissements et causés du tord à l’image du Président. Alors que de nobles serviteurs, désintéressés et patriotes sont là, l’honneur en bandoulière avec comme seul sacerdoce, le suivi et la mise en place effective des politiques du chef de l’Etat !
Ce n’est pas tout de gagner une élection, le choix des hommes et des femmes capable de porter les charges et les orientations du Président est fondamental pour la réussite et le succès d’un mandat. Maître, revoyez votre copie quand à certaines nominations, il y va de la crédibilité de notre victoire (Inch Allah) et pour le cas du Président du conseil constitutionnel, cela nous permettra de couper l’herbe au pied des opposants qui craignant une débâcle aux prochaines joutes électorales entament le chant du cygne.
DonQuichotte
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Toi là tu as besoin d’être chicoté !
Ce minable Camerounais cherche de la PITANCE. Il veut seulement de l’argent. Il a de quoi ecrire sur le dictateur Biya et la passivite incomprehensible du peuple camerounais.