Convocation de Karim et consort à Paris : Les dessous de l’enclenchement de la procédure en France

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Le choix d’une plainte de l’Etat sénégalais en France contre Karim Wade et « complices » dans la traque des bien mal acquis est loin d’être fortuit. Et pour cause…
La liste des infractions visées par la plainte est longue, si l’on en croit à l’Observateur. En effet, les personnalités ciblées sont poursuivies pour détournement de deniers publics, recels de deniers publics, abus de biens sociaux, corruptions, entre autres délits visés. Si l’Etat a pris ce que notre source a qualifié de « risque » pour saisir le Parquet de Paris d’une plainte contre de puissants hommes et pour des infractions clairement indiquées, c’est parce que les recherches effectuées par les enquêteurs ont produits des éléments d’informations capables d’assoir la procédure enclenchée par le Sénégal. Des niches cachées sont identifiées, des liens de complicités établis et des preuves suffisantes rassemblées pour prouver la culpabilité de toutes les personnes citées.

En clair tout semble évident sur le choix du Parquet de France. Car d’une part, souligne t-on des sources judiciaires confient que la plupart des infractions supposées commises par les personnes citées l’ont été en terre française. Aussi, certains biens cachés par les malfaiteurs sont repérés en France. D’autre part, la décision de l’Etat du Sénégal d’impliquer un Etat souverain dans la traque des biens mal acquis cache une volonté de ne plus arrêter la machine mise en marche. En outre, soutient-on l’indépendance de la Justice française étant une réalité, les pressions de certains cercles d’influence et lobbies sénégalais seront impuissants devant cette procédure enclenchée par l’Etat à l’étranger.
setal.net

2 Commentaires

  1. Tout ceci n’est sdorti que de l’imagination fertile de quelqu’un qui est installé confortablement dans son bureau et qui n’y connaît que dalle ! Comme tout ce qui avait été insidieusement distillé au sujet du fameux avion falcom 50 qui était, selon le même journal la proprété exclusive de ce même Karim Wade. Qu’est-ce qui n’avait pas été dit par ce journal, quand M° Moussa Félix Sow était allé à paris pour une plainte similaire, avant que la justice Française les déboutât ? C’est la même chose qui risque d’arriver cette fois-ci encore !

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